On passe par le déni
car la perte n’est pas envisageable, on ne peut imaginer que c’est réel.
On s’énerve contre tout le monde, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte.
On s’énerve contre tout le monde, contre nous-même. Puis on trouve un arrangement, on supplie, on implore, on offre tout ce qu’on a, on offre nos propres âmes en échange d’un jour de plus. Quand les négociations échouent la colère est difficile à contenir, on tombe dans la dépression, le désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte.
Le
truc vraiment merdique, la pire partie du chagrin est que vous ne pouvez le
contrôler. Le mieux que l’on puisse faire est d’essayer de laisser nos
sentiments quand ils viennent. Et les laisser partir quand on peut. La pire
chose c’est qu’à la minute où vous pensez l’avoir surmonté, ça recommence. Parce que quand on est accros, ça fait mal. Mais parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
Elo. me dit de croire au destin. Que si je suis faites pour finir avec lui, alors ça se passera. Il se peut aussi très bien que je rencontre un mec qui me le fasse oublier en un claquement de doigts. Il parait que ça arrive quand on s'y attend le moins, un peu comme quand j'ai rencontré Mr.X en fait. Mon seul regret est de ne pas lui avoir dis clairement que je l'aimais. Même si j'avais peur que ce soit déplacé, même si j'avais peur que cela créer des problèmes, même si j'avais peur que ça vienne tout bouleverser. Tant pis, j'aurai du lui dire. Lui dire haut et fort.
Malgré mes plaintes acharnées (pauvre blog), le ciel tend à s'éclaircir petit à petit. J'apprends à renoncer, à me faire une raison. J'ai hâte de découvrir le calme après la tempête et de me féliciter d'avoir surpasser ça.
Demain, j'irai bien.