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mardi 11 février 2014

Un peu de toi est entré en moi pour toujours et m'a contaminé comme un poison.


" On la connaît tous, cette solitude qui nous mine parfois. Qui sabote notre sommeil ou pourrit nos petits matins. C'est la tristesse du premier jour d'école. C'est lorsqu'il embrasse une fille plus belle dans la cour du lycée. C'est Orly ou la gare de l'Est à la fin d'un amour. C'est l'enfant qu'on ne fera jamais ensemble. C'est quelquefois moi. C'est quelquefois vous. Mais il suffit parfois d'une rencontre ..."
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Et voilà, dernier jour officiel de chômage et... je déprime. 

Je ne sais pas si c'est le stress de commencer, la peur de décevoir, mais j'ai le sentiment de ne pas être à la hauteur de tout ça.

Et je n'ai pas de nouvelles de Mr.X alors que je l'ai constamment dans la peau...

Heureusement, le travail de demain va me permettre de me changer les idées parce que là, même le fait d'être aller chez Elo. cet aprem' ne m'a pas réconforté. Malgré toute l'amitié que je lui porte, elle ne comprend pas à quel point je tiens à lui et elle continue à essayer de faire ressurgir ma raison alors que celle-ci a été engouffrée depuis bien longtemps par mes sentiments amoureux. 

J'aimerai tellement qu'il ne fasse qu'un pas, qu'un sms, qu'un "j'aime" sur Facebook, juste un signe, un geste qui me montre qu'il ne regrette pas le week-end qu'on a passé ensemble.

Je ne pense qu'à le revoir, à croiser son regard, à être dans ses bras et sentir son odeur.. l'amour ça fait tellement mal parfois. J'ai toujours la peur au ventre de ne jamais le revoir et ça me bouffe à chaque fois, de plus en plus.

A chaque fois que je reçois un sms, mon cœur tressaute à l'idée que ce soit lui, et je compte les jours avant le week-end espérant encore une fois le passer à ses cotés.

C'est le genre de soirée typique où même un pot de glace ne peut me réconforter. Comme dirait encore une fois Guillaume Mussot : "Certains disent qu'on reconnaît le grand amour lorsqu'on s'aperçoit que le seul être au monde qui pourrait vous consoler est justement celui qui vous a fait mal."

Et bien voilà, Mr. X, tu as gagné : tu es surement mon grand amour...