Pages

vendredi 14 février 2014

#FuckValentinesDay

Après une énième tentative de ma part vis à vis de Mr. X, j'ai décidé d'abandonner le projet jugé totalement irréalisable. En effet hier soir, je me suis décidée à lui envoyer un sms : "Hey si tu retrouve une boucle d'oreille dorée c'est la mienne ^^ et merci pour la soirée de samedi ;)La simplicité et la froideur de sa réponse fut assez difficile a accepté : "Oh c'est vrai je l'ai retrouvé j'ai oublié de te le dire"

Voilà, 6 mois que je me prends la tête pour ce mec, je pensai enfin que nous avions franchi un cap depuis ce week-end et finalement........ nous voilà de retour à la case départ. Moi faisant le premier pas, moi attendant sa réponse, moi me prenant la tête, moi faisant face à mes faux espoirs.... Tandis que lui sait pertinemment qu'à la minute où il pointera le bout de son nez, je vais revenir vers lui en même pas un quart de seconde. Alors STOP.


Niveau travail, le démarchage à domicile s'avère toujours aussi éprouvant. Pourtant ma première journée autonome s'est relativement bien passée : j'ai ainsi réussi à décrocher mon premier contrat avec une cliente assez sympa (bien qu'un peu bizarre sur les bords). Le reste de la journée fut remplie de visites en HLM fatiguantes (des marches, encore des marches) et ennuyantes (toujours le même discours commercial). En revanche, je dois avouer que l'équipe est plutôt sympa et mes 2 collègues ont été assez fiers de moi à propos de mon "number one". De plus, le matin nous avons fait des sketchs de vente où j'ai eu le droit à de nombreux compliments.

Ainsi hier soir, place au mode "décompression" chez Guigui avec Jules... J'ai finit par ramener ce dernier chez lui (étant donné qu'il n'a pas de transport). Dans la voiture, nous avons encore parlé de mon désarroi par rapport à Mr. X et il m'a fait la leçon comme quoi ça l'énervait de me voir dépitée depuis plusieurs mois encore et toujours à cause de la même raison. Et alors le pire est arrivé : j'ai laissé Jules m'embrasser (alors qu'il est officiellement avec Léa). Et le plus horrible c'est que ce baiser fut suivi non pas d'un silence gêné mais d'un refus simple de sa part de descendre de la voiture. J'ai donc coupé court à ce qu'il pensait en prétextant un besoin urgent de rentrer chez moi : je voulais m'extirper de cette situation que j'ai aussitôt regrettée.

Sur le chemin du retour, je me suis littéralement effondrée en larmes en repensant à tous mes espoirs déçus : ma relation avec Mr. X, mon amitié avec Jules, ma reprise du boulot...

Tout cela se révèle être en fait un large désastre