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mardi 28 octobre 2014

« La jeunesse est une ivresse continuelle...»


Les enfants, aujourd'hui j'ai 23 ans ! 

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lundi 27 octobre 2014

"Soirée posée" chez Thibaut. - Chapitre 3.

De temps à autre, j'allais retrouver mes vengeurs agglutinés autour de la chicha alors que j'essayai de repousser subtilement L. qui, totalement bourré, essayait par tout les moyens de me soutirer câlins et bisous... Sur les coups de 6h30, Thibaut a commencé à congédier gentiment les gens tandis que, malgré la fatigue, je ne pouvais m'empêché d'être déçue de devoir (déjà) dire au-revoir à Ju'. Sauf que - retournement de situation - au moment de se quitter, il m'a proposé de l'accompagner chez un pote à lui histoire de prolonger la soirée autour de quelques verres.

Devant raccompagner les gars et ne sachant pas où habitait son pote, Ju' a finit par monter dans la voiture avec nous... Nous avons donc ramené respectivement P-A Monaco et Jules avant de revenir sur nos pas et d'aller chez son pote, qui habitait à deux minutes de chez Thibaut. De là, je me suis retrouvée chez Baptiste (le fameux pote), avec Ju' et Antoine (un autre pote de Ju'). Nous avons alors débriefé sur la soirée que nous venions de passer en faisant un dernier jeu d'alcool "pour la route" au cours duquel les gars se sont encore pas mal déchaînés sur moi. Là aussi, j'ai vraiment passé un bon moment d'autant que les gars se sont révélés super cools et que ça me permettait de passer plus de temps avec Ju'.
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Nous sommes restés à discuter ainsi une petite heure et j'ai finit par ramener Ju' chez lui vers 8 heures. Au préalable, il faut préciser que nous avons passé une bonne vingtaine de minutes dehors, à chercher les clés de ma voiture via les lumières de son portable, car j'avais trouvé le moyen de les égarer quelque part dans le jardin de Baptiste. Evidemment, cela a donné l'occasion à Ju' de bien se foutre de moi tandis que je me sentais à la fois honteuse et morte de rire. Je l'ai donc ramené chez lui et, en partant, il m'a dit qu'il avait été vraiment content de m'avoir rencontré et que je l'avais beaucoup fait rire. (Tellement dommage qu'il ait une copine...). A l'heure où j'ai écrit cet article, on est dimanche soir : je n'ai pas son numéro, je ne sais même pas si je le reverrai un jour et je n'ai toujours pas trouvé le courage de l'ajouter sur Facebook. Histoire de fierté, je me dis que je vais attendre jusqu'à demain...

Mise à jour du lundi 27/10 : J'ai ajouté Ju' ce matin sur Facebook et, même s'il m'a accepté immédiatement, nous ne nous sommes pas encore reparlés. En revanche, je parle non-stop à son pote Antoine qui m'a rajouté dès dimanche et à Hugo G., un autre pote de Thibaut qui est passé furtivement à la soirée. Quoi qu'il en soit, ça me redonne du baume au cœur de rencontrer des mecs comme ça. Malgré tout, il est encore possible d'avoir un feeling instantané résultant d'une rencontre fortuite avec quelqu'un d'autre que Hugo. Et ça, c'est une révélation juste énorme...

"Soirée posée" chez Thibaut. - Chapitre 2.

Je ne me rappelle plus exactement comment se sont enchaînés la suite des événements si ce n'est que j'ai fini sur la piste à danser comme jamais en compagnie de mes vengeurs et des potes de Thibaut avec qui j'avais particulièrement accroché à savoir : Joris, Ju', Charlotte et Fanny. J'alternais ainsi entre danses endiablées et chants à tue-tête collectifs, sans parler des portées diverses et variées sur les épaules des uns ou des autres (nb : un des nombreux avantages d'être petite est que vous finissez toujours par dominer la soirée d'une manière ou d'une autre).

Rapidement, je me suis rendue compte que j'avais tapé dans l’œil de Joris qui n'arrêtait pas de me suivre de part et d'autre de la pièce et profitait ainsi de la moindre occasion pour se rapprocher de moi. Sauf que moi, bien que très flattée, j'en avais quasiment rien à taper vu que j'avais craqué sur son pote Ju'. Il faut savoir que ce mec faisait partie des "personnes populaires" de mes années collège que je n'avais jamais eu l'occasion de rencontrer même si je le connaissais de nom. Histoire de vous faire un topo rapide, Ju' n'est pas spécialement beau mais a un charme de malade (qui me rappelait étrangement celui de Hugo) avec des yeux clairs à tomber.

Il s'agit d'une "grosse tête" (soit très intello) qui étudie actuellement dans la ville voisine où réside mon père pour devenir ingénieur chimiste, soit un fabriquant de médicaments. Je ne sais pas pourquoi, mais dès que mon regard a croisé le sien, j'ai directement été subjugué. Sans doute car Ju' est le compromis parfait entre le mec intelligent et le fêtard qui sait mettre l'ambiance en soirée. Vous me connaissez, je ne l'ai évidemment pas lâché vu qu'en plus, le feeling avait l'air d'être réciproque. Manque de bol, il a une copine (qui n'était pas là) et - cerise sur le gâteau - la fille avec qui je me suis particulièrement bien entendue (Charlotte) s'avère être son ex depuis le début d'année d'une relation qui a quand même duré 2 ans et demi.

Pourtant, nous avons passé toute la fin de soirée à gérer la musique ensemble en choisissant les pires chansons qui feraient danser les gens à coup sur (genre Gangnam Style !). De là, nous avons commencé à délirer sur tout et n'importe quoi en buvant ensemble, dansant ensemble, riant ensemble et en nous charriant constamment. Bref, nous étions collés, en bien tout honneur.

(Et j'ai vraiment adoré...)

"Soirée posée" chez Thibaut. - Chapitre 1.

Je viens de passer un week-end vraiment génial...

Nous sommes arrivés avec P-A Monaco et Jules, chez Thibaut, aux alentours de 22h. Et bien qu'au départ, c'était censé être une soirée "posée", nous avons été assez surpris du monde qu'il y avait. Ainsi, il y avait toute une partie de notre groupe habituel (P, sa copine, L., JR, Guigui, Sam, sa copine, l'autre P-A...) ainsi qu'une bonne vingtaine de potes à Thibaut que nous ne connaissions pas forcément. Enfin surtout les gars puisque, pour ma part, j'ai eu la surprise de découvrir que la plupart de ses amis étaient des anciennes connaissances de primaire et/ou lycée. Bizarrement, une majorité de ses personnes se rappelaient de mon visage et de mon prénom alors que je n'avais qu'un vague souvenir de notre cohabitation furtive dans tel ou tel établissement.

Au début de la soirée, il y avait donc deux groupes : le notre et le groupe de Thibaut. Pourtant, on pouvait déjà voir que l'alcool commençait à affluer de toute part et que tout le monde riait par-ci par-là. J'ai notamment eu l'occasion de parler davantage à Marion (la copine de P.) qui s'avère réellement sympa et particulièrement drôle. Les bonnes habitudes ne changeant pas, nous avons eu des délires entre "vengeurs" accompagné de photos parfois grotesques qui ornent désormais nos murs Facebook respectifs. Au fur et à mesure du temps qui passait, je n'arrêtais pas de me resservir ayant pour l'effet de doper considérablement ma sociabilité envers "l'autre groupe"...

Ainsi, j'ai rapidement trouvé le moyen de m'incruster dans un jeu d'alcool avec une partie des potes de Thibaut (= 6 personnes ) et j'ai pu me rendre compte qu'ils étaient tous particulièrement sympas. Ils m'ont tout de suite intégré en me faisant rattraper aussi bien mon retard sur la partie que sur les gorgées d'alcool que j'avais pu louper. De là, nous avons beaucoup rigolé et appris tranquillement à faire connaissance, sachant qu'à ce moment-là, j'étais la seule "étrangère" de leur bande. Au fur et à mesure, le reste de la soirée s'est amené autour de notre table ce qui a définitivement brisé les deux "clans" pour former une super ambiance collective.

C'est alors que j'ai commencé à le remarquer... 

jeudi 23 octobre 2014

Les folies que l'on regrette le plus sont celles que l'on n'a pas commises quand on en avait l'occasion.

Chers amis, je crois que j'ai franchi un nouveau cap dans mon célibat : celui où je kiffe (vraiment) être toute seule.

Après tous mes beaux discours sur cette fameuse situation (pour essayer de me convaincre moi-même) et mes derniers amoureux, je me rends compte qu'en fait, je suis dans la période où je ne veux absolument et réellement personne dans ma vie. Pourquoi me direz-vous ? Parce qu'il n'y a rien de mieux que de pouvoir danser en petite culotte, musique à fond, dans son appartement... C'est ça le vrai bonheur ! (Et accessoirement, vu que je suis censée avoir trois gosses, autant que je profite de mon quotat de tranquillité avant qu'il ne soit trop tard ... Haha). Pourtant, cela ne m'empêche pas d'avoir accepté de passer la soirée de jeudi en compagnie de Florian, même si je me tâte encore à annuler par un mélange de flemme et de futurs regrets à l'idée de ce qu'il pourrait se passer. 

A part ça, je traverse une vraie crise de ras-le-bol professionnel. Je n'arrive pas à vendre mes p****** de produits d'entretiens et les clients m'excèdent plus que jamais. Entre ceux qui t'envoient bouler comme un chien, ceux qui ne daignent pas t'accorder un bonjour - ou pire, un regard - et ceux qui attendent mollement avec une chaussure à la main en plein milieu du magasin au lieu de venir te demander clairement d'essayer le modèle (ceux-là sont les pires), c'est bien simple : j'ai tous envie de les tuer. Avouez-le : en ce moment les gens sont particulièrement cons et insupportables, n'est-ce-pas ? Ça ne vient pas de moi ? (...)

The Affair.
Ainsi, je suis dans une phase où je passe mon temps à vérifier l'heure, comme si l'observation du cadran avait un quelconque pouvoir d'accélération sur les minutes qui s'écoulaient, alors qu'en l'occurrence cela a plutôt un effet inverse. Il n'y a qu'une seule chose qui me motive pour la journée : rentrer chez moi pour me réfugier dans mon lit, bien au chaud. Sur un tout autre sujet, je viens d'accepter une invitation à la soirée qu'organise Thibaut V. (aka, le voisin de P-A qui est "un peu" sur moi), chez lui, ce samedi. Apparemment, je ne connaîtrais quasiment personne, mais bon, pourquoi pas après tout. Dans tous les cas, vendredi ce sera sûrement soirée avec les vengeurs... 

Enfin, je me dois de conclure cet article par ma série coup de coeur de la rentrée : The Affair.  L'histoire d'une liaison entre Noah, père de famille a priori comblé, et Alison, jeune femme fragilisée par un grave accident. Une affaire de cœurs, de corps… et de crime, racontée en flash-back à travers les souvenirs divergents des deux amants. En effet, chaque épisode se découpe en deux partie : l'une narrée par Noah, l'autre par Alison, et ce n'est qu'à la fin du pilote qu'on réalise que cette histoire est racontée rétrospectivement, au cours d'un interrogatoire de police.

Un mauvais présage qui nous indique que cela va mal finir. Le spectateur est immédiatement enfermé dans l'histoire, cherchant d'une part à deviner qu'est-ce qui a pu conduire les deux protagonistes à se retrouver comme témoins (voire suspects ?) devant la police, et d'autre part, à démêler le vrai du faux, le mensonge de la réalité, l'imagination de l'un et les intérêts cachés de l'autreL'histoire est suffisamment bien tournée pour nous donner envie de voir ce qui se cache derrière ces beaux flashforwards... Et le mieux ? La mise en scène est juste... magique
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lundi 20 octobre 2014

Le vent se lève, il faut tenter de vivre.


" Because of you I'm never alone
I walk on the streets and I peek on my own
Because of you the day looks brighter
The clouds ride away and you're lifting me higher.."


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dimanche 19 octobre 2014

Mes vengeurs, les meilleurs. (Part - 3)

Sinon, la soirée du samedi fut très très très tranquille car personne n'était spécialement motivée pour sortir : la majorité du groupe ne bougeait pas (P., L. et compagnie) tandis que P-A monaco et Elo étaient en repas de famille pour l'anniversaire de la mère de celle-ci. Autant dire que ça faisait plusieurs années que ça ne m'était pas arrivée d'avoir absolument aucun plan un samedi soir, hormis les rares moments où je décidai de rester tranquille. Même Julien était malade et préférait rester chez lui...

Du coup, nous nous sommes faits un Mcdo à 3 : Jules, JR et moi. De là, nous avons refait le monde en parlant de tout et de rien jusqu'à la fermeture dudit restaurant (on a même finit par littéralement nous mettre dehors). A la base, nous étions censés manger rapidement et aviser de ce que nous ne ferions après sauf qu'à 1 heure, il était manifestement trop tard pour aller en ville et aucun de nous n'était spécialement motivés pour retourner dans les bars. Alors pour une fois, je suis rentrée chez moi relativement tôt (sur les coups de 1h30) me permettant ainsi de ne pas me coucher trop tard et même de rattraper mon retard sur le visionnage de mes séries...

Le bonheur est un état d’esprit, pas une destination.

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Mes vengeurs, les meilleurs. (Part - 2)

Or, justement, cela fait plusieurs mois que je recherche un bar nommé sobrement "Le Labo" qui a la réputation de servir ces excellents cocktails dans des fioles et autres tubes à essai dérivés du monde scientifique. J'ai donc trépigné auprès des gars qui ont bien voulu suivre mon idée et, franchement, nous n'avons pas été déçus. L'ambiance y est vraiment très sympa et chaque table est illuminée par une bougie rendant l'univers de la salle très intimiste (les "vraies lumières" ne sont réservées qu'à l'endroit où se trouve le barman préparant les cocktails).

Ce bar-rhumerie propose un large choix de breuvages aux noms intrigants : les placebos (boissons sans alcool), les cryogénisés (cocktails frappés à consistance semi-solide) ou les Erlen-Meyers (avec des noms tels que hémoglobine, aide-soignante, désinfector..). Il y a également un grand choix de shooters arrangés avec des centaines de parfums originaux (hibiscus, basilic, thym, arlequin, schrubb...) mais également des rhums de dégustation venant des 4 coins du monde (Réunion, Cuba, Guadeloupe, Venezuela...). Le but est la découverte des saveurs, des odeurs et des couleurs, parfois même des textures pour le toucher, avec des shooters en gelée et d'autres servis dans des verres en glace. 

Quelques minutes après que nous nous soyons installés, l'autre P-A est venu nous rejoindre et nous avons vraiment passé une excellente soirée à tester et parler de tout et n'importe quoi.  Alors je ne sais pas ce que nous avions ce soir-là mais nous étions tous d'une humeur survoltée ce qui a donné lieu, encore une fois, à d'énormes délires. Par ailleurs, nous avons parlé de nos projets d'excursions à savoir la ville d'origine de P-A monaco et la ville où réside mon père histoire de découvrir de nouvelles soirées tout en ayant des moyens de nous loger sur place, de façon à ce que nous n'ayons pas à faire la route du retour en plein milieu de la nuit.

Nous avons également dans l'idée de nous procurer incessamment sous peu des champignons hallucinogènes histoire de tester au moins une fois ce que cela pourrait nous faire, juste pour l'expérience. (la seule substance illicite qui nous tente !). Sinon, j'ai été flattée par les regards d'un jeune homme qui n'arrêtait pas de me dévorer des yeux ce qui m'a fait ressentir l'impression d'être plus belle que jamais. (ça ne fait pas de mal !). En tout cas, nous avons tous passé une super soirée... (même s'il manquait JR).

Mes vengeurs, les meilleurs. (Part - 1)

Cela faisait longtemps que je n'avais pas passé un week-end aussi tranquille mais, de temps en temps, ça fait du bien.

Vendredi soir, nous avons décidé de faire la tournée des bars en compagnie d'une partie des vengeurs (Jules et P-A monaco) et des filles (Lulu et Elo.). Ainsi, dans un premier temps, nous sommes allés à "La Bodega", un bar réputé du centre-ville qui est souvent bondé. Nous avons ainsi commandé deux gros plats de tapas (accras, tortillas, piquillos, poulet au curry, potatoes, charcuterie, fromages...) ainsi qu'un litre de vin blanc arrangé à la pêche. Il faut alors savoir que ce bar a la particularité de servir ces différents alcools dans des carafes en forme d'alambic. Comme pour le thé marocain, le principe est donc de se verser le jet de la carafe directement dans la bouche en tenant la main le plus haut possible...

Evidemment, mieux vaux venir avec des vêtements qui ne craignent pas (ma bonne idée a été de porter fièrement et pour la première fois un pull acheté à Rome), comme le témoigne la pile de serviettes qu'on nous remet au moment de la commande. Cette forme de consommation donne ainsi lieu à des situations assez cocasses tout le monde s'en fout un peu partout ce qui provoque de nombreux éclats de rire. D'ailleurs avec ma maladresse légendaire, j'ai été la seule à ne avoir réussi à boire correctement m'obligeant ainsi à demander un "vrai verre" auprès du barman faussement offusqué. Ainsi, ce bar présente une ambiance très festive, qui est idéale pour commencer la soirée sous le meilleur signe. Après ça, les filles, qui ne voulaient pas rentrer trop tard, sont parties ce qui nous a motivé à changer de bar histoire de tester autre chose...


vendredi 17 octobre 2014

Mes petits loups.

Concernant ma propre situation, cette semaine m'a permis de beaucoup réfléchir et de me rendre compte que mes critères étaient on ne peut plus minimes : une attirance physique, un mec célibataire, pas trop méchant et je croyais à une potentielle histoire. Et bien j'ai vu que ce n'était définitivement pas la bonne méthode. J’en ai rencontré des mecs avec qui ça ne donnait rien, ou ces mecs pour qui j’avais l’impression de faire tout le boulot. Genre je me manifeste, je contacte, je réponds vite, je suis à l’écoute, enjouée, blablabla. Et au final, nada. 

Dans mon idée, j’avais l’impression de rechercher quelque chose de simple : quelqu’un avec qui je me sente bien. Concept totalement abstrait en fait. Mais ce n'est pas en m'éparpillant dans des histoires foireuses par-ci, par-là que je me donne les meilleures chances pour trouver le bon.
Les garçons comme Xavier, Jonathan, Sam, Jules ou Hugo m'ont indiqué la meilleure voie possible. Celle des relations que j'aime vivre. 

Alors, même s'ils m'ont tous fait galéré à leur manière...

Merci à eux. 

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Don't you forget about me, Don't, Don't...

En raison des nombreuses plaintes excédées des voisins de Guigui, cela faisait un petit moment que nous avions mis en pause nos traditionnelles "soirées du jeudi"...

Alors retour aux bonnes vieilles habitudes en charmante compagnie : Jules, P-A monaco et Alex. 
Il n'y a pas à dire, j'adore être la seule fille pendant ces petites soirées où j'ai l'impression de voir les gars sous leur "vrai jour". Depuis le temps qu'on se connait, ils me considèrent un peu comme "un des leurs" et, aussi bizarre que ça puisse paraître, j'aime bien cette situation. On parle alors de tout et de rien et le moindre sujet part dans des éclats de rire parfois considérables. Du coup, je leur ai raconté ma semaine en détaillant précisément la voyance à laquelle j'ai eu le droit et, contre toute attente, ils ont vraiment été à l'écoute et personne ne s'est moqué de moi ! (ce qui est un miracle, je le précise). Evidemment, cela ne nous a pas empêché de partir en gros délire sur le sujet.. 

Sinon, là aussi, tout le monde y va de son avis sur la situation actuelle entre Lulu et Dav' :
Se remettront, se remettront pas ensemble ? En tout cas, P-A Monaco et moi sommes d'accord pour dire qu'elle n'a pas l'air si "amoureuse "que ça puisque - sans aucun jugement - elle semble plus se préoccuper de son nouveau statut de célibataire que de l'échec de sa relation. Alors je n'ai jamais été dans ce genre de situation mais il est clair que ça doit être difficile de savoir si la personne nous manque par habitude ou parce que c'est vraiment "la bonne". En tout cas, je ne la sens pas spécialement vibrer et le fait de connaitre autre chose (Dav' était son premier vrai copain) lui permettra peut-être de vraiment s'épanouir et de sortir de sa fameuse routine. 

Quoi qu'il arrive, on sera là. 


jeudi 16 octobre 2014

Once upon a time there was light in my life...

Brèves de la semaine :

Lundi soir : Raclette-party entre filles où nous avons passé une très bonne soirée. Comme à notre habitude, nous avons parlé en long, en large et en travers des hommes et de sexe en nous concentrant sur le sujet du moment : la rupture entre Lulu et Dav'... Alors après avoir passé la majorité du temps à essayer de la remotiver pour affronter le reste de sa vie (avec ou sans lui), j'avoue que j'ai décidé de la laisser faire ses propres choix et de ne plus l'influencer car c'est trop de responsabilités après tout. Et franchement, parfois c'est dur de penser aux autres quand on essaye de se sauver nous-mêmes. Accessoirement, c'est la première fois que j'ai osé aborder le sujet "Florian" avec elles (sans pour autant mentionner que c'était un pote d'Hugo)... Bizarrement, elles ne m'ont pas jugé mais sont persuadées que nous allons forcément finir ensemble !

Mardi matin : Opération voyance.. de laquelle je ne me suis toujours pas remise d'ailleurs. Franchement, entre ses constatations sur l'Italie, sur mes problèmes de voiture, sur mon parcours scolaire, sur la détresse de ma mère - et j'en passe - je ne comprends toujours pas comment Monsieur A. a pu viser aussi juste. Du coup, les prédictions vont-elles vraiment se réaliser ? A moins que le fait d'aller le voir ait déjoué mon destin ? Puis-je changer les choses ?.. Je sais, j'ai l'air totalement naïve mais franchement, il fallait être là pour le croire.
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Mardi soir : Soirée Mcdo-Cinéma avec P-A où nous avons été voir "Gone Girl", le coup de cœur des spectateurs du moment. Spoiler-Alert (!) : Ce film nous raconte la fuite d'une femme malheureuse qui a mis en scène son propre meurtre afin de faire payer à son mari le fait qu'il ait pu la délaisser. L'histoire y est réellement effrayante et présente là un scénario diabolique qui nous transporte aux tréfonds des retords humains. Mais après avoir lu tant de critiques élogieuses à l'égard de ce film, j'avoue que j'ai été un peu déçue par sa seconde partie qui manque un peu de crédibilité à mes yeux en partant dans des péripéties qui, à mon sens, sont trop "énormes". Par ailleurs, la première partie est réellement intrigante et présente une critique pertinente du monde des médias. 

Mardi soir (bis repetita) : Cela fait quelques semaines que ce n'est plus pareil entre P-A et moi. Déjà ses cachotteries par rapport à Hugo m'ont réellement déçue, même si je tends à admettre qu'il ne l'a sans doute pas fait par méchanceté. Mais le fait est que ses réactions à certaines de mes confidences ne me plaisent guère, et au lieu d'agir "normalement", il a l'air de jouer avec mes nerfs. Alors quand le nom de Hugo apparaît dans le film, il explose de rire en me regardant. Quand l’héroïne tient un test de grossesse, j'ai le droit à un "Haaa tu connais çaaaa". Et quand j'essaye de lui parler de ma visite du matin (que j'ai abordé avec d'énormes pincettes pour ne pas qu'on me prenne pour une folle), j'ai le droit à un mec totalement fermé d'esprit qui me regarde comme une guignole. Alors, je ne sais pas si je lui ai fait quelque chose en particulier mais il n'est plus le même. J'espère me tromper.

Jeudi soir : Direction chez Guigui... 

"And I need you now tonight
And I need you more than ever
And if you only hold me tight
We'll be holding on forever..."


mercredi 15 octobre 2014

Révélations, révélations... (3)

Niveau famille : Après avoir évoqué l'actuelle déprime de ma mère, il s'est mis à parler des difficultés professionnelles de mon beau-père qui ne retrouvera apparemment pas de boulot et qui risque de sombrer dans un alcoolisme déclaré (il boit !), avec les problèmes de santé qui vont avec, s'il ne se reprend pas en main. Il a notamment évoqué que ma mère et lui s'aimaient mais n'arrivaient pas à se comprendre ce qui expliquait le fait qu'il y avait actuellement deux espaces définis dans leur maison (à savoir que ma mère dort actuellement sur le canapé !). Ainsi, ma mère penserait à le quitter (ce qu'elle m'a déjà avoué au téléphone il y a une semaine de ça) mais ne serait pas prête à passer à l'acte et, même si les mois à venir seront difficiles, ils resteront quand même ensemble. D'un autre coté, il m'a affirmé que mon père était marié et qu'il était tout à fait heureux en mariage (et c'est vrai... !). Pour finir, l'esprit de mon arrière-grand-mère-paternelle veillerait sur moi...

Niveau personnel : Il m'a directement affirmé que je n'avais pas de chance avec mes voitures (OMG, ça s'invente pas) mais qu'il fallait que je me détende car, désormais, la saga des accidents était bien derrière moi. D'après lui, ma prochaine voiture sera de couleur framboise et je dois réapprendre à avoir confiance en ma conduite... (avouez que c'est trop trop bizarre !). Niveau voyages, je retournerai en Italie du coté de Florence et je vais également aller du coté de Londres avec une amie anglaise qui serait "farfelue". En revanche, aucun long voyage (style USA) ne serait à prévoir. A part ça, je vais reprendre à lire (je m'y suis remise il y a peu !) régulièrement et je dois prendre le réflexe d'écrire mes rêves. Dernier petit détail : je dois prendre garde à quelqu'un qui se prénomme "Sara" qui ne me veut pas forcément que du bien...

Alors, je ne sais pas si tout ou partie de ces prédictions se réaliseront mais en tout cas, je suis ressortie de cette expérience toute chamboulée... Mine de rien, j'ai été sciée (genre les yeux comme des soucoupes) par la majorité de ces constatations qui se sont révélées totalement vraies et ces pressentiments pour la suite m'ont permis de reprendre confiance en mon avenir..

Je le confirme : il faut le faire au moins une fois dans sa vie.

Révélations, révélations... (2)

Je serais ainsi destinée à reprendre des études et apparemment, je serais vouée à travailler avec les enfants soit en tant que professeur des écoles (j'ai fait mes stages dans des écoles avant de me diriger vers le commerce...) ou dans un poste lié au développement psychomoteur des petits (genre orthophoniste). Il a été ainsi plus loin dans les précisions en me disant que je reprendrais une période de formation à l'âge de 25/26 ans. Il s'agirait alors d'un cursus de 3 ans qui me permettrait de me retrouver un poste dans ce nouveau domaine pour mes 28 ans. Pour le coup, je retrouverais un poste dans la région, du coté de chez mon père auprès de qui je retournerai vivre temporairement entre "deux concours".. Flippant. 

Niveau sentimental : Il m'a affirmée d'emblée que j'étais totalement perdue sentimentalement et que, même si je pensais savoir ce que je voulais, c'était loin d'être le cas. D'après lui, je veux être amoureuse mais je ne veux pas perdre mon temps avec la mauvaise personne (un peu comme tout le monde, je pense). Il a continué ses révélations en me disant que j'étais en phase de cicatrisation et qu'il fallait que j'attende l'été prochain avant que j'oublie celui que j'ai actuellement en tête (!!). A partir de là, même si une amourette semble à prévoir pour le printemps prochain, je ne rencontrerais pas "l'homme de ma vie" avant... 2017. Là encore, il a précisé son message en me disant que j'allais rencontrer le père de mes enfants dans un bar de la ville où habite mon père (??) et que malgré des débuts difficiles (la première année serait mi-figue, mi-raisin) où il aurait encore une fille dans la tête, notre histoire serait faite pour durer. Il s'éloignera donc les premiers mois pour mieux revenir et vraiment s'engager à mes cotés. (hum..).

D'après ses "visions", l'heureux élu serait châtain, charismatique et assez sensible. Charismatique (normal !), il aurait des origines bretonnes et adorerait la mer tout en ayant un fort caractère. Accessoirement, il travaillerait dans le secteur primaire avec de fortes chances d'être commercial dans les énergies (style EDF et compagnie). Et surtout, il aurait de fortes chances de s'appeler... Jérémy. Nous serions ainsi destinés à avoir 3 enfants : 2 garçons et 1 fille qui aurait notamment 8 ans d'écart avec ces aînés. (imaginez si c'est vrai, ce serait un truc de dingue !). La bonne nouvelle étant que j'ai bien un homme de ma vie qui m'attend quelque part, toutefois, je vais encore galérer quelques temps avant de le trouver. Dans tous les cas, je suis à "la croisée des chemins"..

« Parfois, la clé du progrès, c’est de savoir comment faire le premier pas. 
Puis, on commence le voyage… »

Révélations, révélations... (1)

Avant de vous parler des traditionnels potins de la semaine, je me dois de faire un article sur mon expérience "médiuminique" qui fut pour le moins... troublante.

Je suis donc arrivée chez Monsieur A. sur les coups de 11h et j'ai été agréablement surprise par la "normalité" et la gentillesse de son personnage qui m'a mis, je l'avoue, directement en confiance. Tout d’abord, je tiens à préciser que je ne lui ai absolument rien dit (à part mes prénoms de naissance et la date à laquelle je suis née) et je me suis simplement contentée d’écouter les messages qu’on lui « transmettait » au travers d’une sorte de pendule suspendu au-dessus de la flamme d’une bougie...

Moi qui suis pourtant relativement terre-à-terre (bien qu'ouverte d'esprit, la preuve), j'ai été littéralement bluffée par l'exactitude de ses propos à l'égard de ma situation actuelle. Bizarrement, dès les premières secondes, il s'est mis à me parler de la détresse sentimentale de ma mère et de la situation chaotique qu'elle vivait actuellement avec mon beau-père, en évoquant son alcoolisme et son chômage (ce qui s'avère par ailleurs totalement vrai !). Déjà, première révélation : je suis sciée. Il a ensuite enchaîné en demandant si j'avais été récemment en Italie car il voyait clairement des images dans ma tête, ce à quoi j'ai répondu que je revenais récemment de Rome (mais WTF ???!!). Et s'en est suivi de nombreuses révélations étonnamment précise à la fois sur mon passé, mon présent et (peut-être) mon futur... (God, god, god !)

Niveau professionnel : Au premier coup d’œil, il m'a affirmé d'un air très déterminé qu'il sentait que je courais souvent partout ce qui lui permettait de dire que j'étais vendeuse (touchée !), en me demandant confirmation quant au fait que j'étais régulièrement envoyée dans d'autres boutiques en évoquant de lui-même le centre-ville (ok... !). A partir de là, il m'a affirmé clairement que je n'étais pas dans la bonne voie comme le témoignait mon niveau d'études et m'a dit être étonné de mon parcours vu que j'avais un diplôme d'économie (je sors en effet d'un BAC ES!). Il a ainsi continué son analyse en me disant que je resterais encore chez Bocage quelques temps (2-3 ans) mais que dans les 6 mois à venir, j'allais avoir un déclic comme quoi ce n'était pas réellement ma place. D'après lui, je ne suis définitivement pas faite pour monter en grade car je serais trop stressée pour avoir un poste de responsabilités (style gérante de magasin), ce qui est totalement vrai au vue de mes précédentes expériences.

lundi 13 octobre 2014

Don’t grow up, it’s a trap.

Aujourd'hui j'ai commis une grave erreur : j'ai regardé sur Internet le replay du show de Hugo. 

Verdict : il est beau comme jamais et a la même perfection que dans mes souvenirs. Alors voilà, je suis en rechute amoureuse et je ne sais plus quoi faire pour me tirer de là. Je n'y arrive pas. Je me traîne. Je regarde des séries sans m'y intéresser. Je me lève. Je rumine. J'ai dans la tête des images, de tendres souvenirs ou des scènes fictives qui n'auront jamais lieu...

Je me torture. Je me flagelle. Je cauchemarde. Et le pire, c'est que je sais que je n'ai pas le droit de me plaindre. Parce que j'ai un toit sur la tête, une famille, des amis, un travail et la santé. Parce que mes plaintes ont déjà été trop entendues et lassent désormais tout le monde. Les "j’y arriverai jamais / je suis trop nulle / je suis perdue", tout le monde en a assez soupé et chacun commence à en avoir plein le dos ce qui est tout à fait normal. Alors je suis incapable d'être heureuse ou comment ça se passe ? Et puis merde, CE N'EST QU'UN MEC. Passe à autre chose ! Ce n'est pas comme s'il n'y avait pas d'autres poissons dans l'océan..
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Et pourtant... j'ai toujours ce sentiment de ne pas trouver ma place, d'être constamment paumée.
A regarder le reste du monde, j'ai l'impression d'être spectatrice d'une pièce dont je ne comprends pas l'histoire. Alors, je vais peut-être vous faire pitié (même moi je me suis étonnée sur ce coup) mais... j'ai pris rendez-vous avec un voyant. Pour ma défense, je n'ai pas pris le premier charlatan des pages jaunes mais je me suis renseignée via de nombreux forums pour choisir un des meilleurs de la ville. Et j'avoue que j'ai été largement influencée par un article du dernier Cosmo où de nombreux témoignages vantaient les mérites de cette expérience qui, même si elle n'est pas toujours concluante, a toujours été un bon souvenir.

Alors j'ai décidé que je n'avais rien à perdre (à part 60 euros) et j'ai pris un rendez-vous demain matin à 11h pour explorer un peu les différents domaines de ma vie. Au téléphone, le "médium" m'a demandé d'apporter une photo de mes proches, sans doute pour stimuler ses "énergies". Autant vous dire que je ne sais pas trop ce que j'attends de ce moment, mais je pense que ça fait partie des expériences à faire au moins une fois. Et je suis trop curieuse pour ne pas aller jusqu'au bout..
Et puis au pire ça me donnera un peu d'espoir, ce dont j'ai bien besoin. Et malgré tout, la journée n'a pas été totalement perdue puisque j'ai trouvé la motivation de faire le ménage de fond en comble (vaisselle, lavage de sols, lessive, poussière, nettoyage du frigo, courses...) et ce soir, direction chez Elo. avec Lulu, pour se goinfrer comme il se doit..

« Imbécile, je t’aime depuis toujours, depuis le début. J’ai continué à t’aimer quand j’étais en couple, j’ai continué à t’aimer quand j’étais seule, j’ai continué à t’aimer chaque seconde de chaque jour, j’ai continué… Je t’aime, je t’aime depuis toujours. »

dimanche 12 octobre 2014

Do you believe in Magic ? (Chapitre 2)

Malgré tout, le week-end n'a pas été totalement pourrie...

Déjà, j'ai passé la soirée de vendredi avec L., chez moi, où nous avons visionné le premier épisode de la nouvelle saison d'une de nos séries favorites : la fameuse American Horror Story.
Bien dans l'ambiance, nous avons continué sur notre lancée en regardant un film d'horreur en buvant des bières et en nous goinfrant de Kinder Country. Nous avons poursuivi la soirée chez lui, avec la partie du groupe qui avait répondu présente à son invitation. La soirée fut assez posée et Anna est passée en fin de soirée en emmenant avec elle S. et son copain que je ne supporte guère (le genre de mec qui passe 3 plombes à parler pour étaler sa science). Même si on parle bien virtuellement, Anna est définitivement le genre de fille assez superficielle dans le sens où elle cherche à être amie avec absolument tout le monde... Vraiment spéciale. 

Sinon, grosse surprise de samedi soir : Julien a repris contact avec moi. Il m'a donc appelé aux alentours de 2h30, un peu éméché, pour prendre de mes nouvelles, me raconter sa rentrée en licence et essayer de nous prévoir une soirée pour les week-ends à venir. Décidément, les mecs sont vraiment bizarres. On a perdu contact du jour au lendemain, et de la même façon il revient comme une fleur. Du coup, à la fois étonnée mais réceptive, nous avons parlé une bonne vingtaine de minutes, alors que nous étions chacun en soirée et nous avons décidé de nous gérer un truc le week-end prochain. Au pire, je me dis que ça peut me faire que du bien de décompresser lors d'une de ses fameuses soirées électro.

Enfin, dans la lancée des bizarreries, Flav' m'a dévoré des yeux lors de la soirée de vendredi comme s'il voulait me faire passer une sorte de message. Dans la nuit il m'a envoyé quelques sms avec de subtils sous-entendus sur la nuit que nous avions passé ensemble (il y a de ça un an), et nous nous sommes un peu cherchés avant que je ne tombe de sommeil aux alentours de 4 heures. Bref, de toute façon je n'ai plus la force de "jouer" ou de "flirter" étant donné que manifestement je n'ai toujours pas combler mes anciennes blessures.

   « La magie, ça n'existe pas. Pas au sens des traditionnels abracadabra... 
La vraie magie, c'est que même s'il y a des choses irréparables, 
On survit à presque tout ».

Do you believe in Magic ? (Chapitre 1)

Drame qui me fait oublier ma vexation de la semaine dernière : Lulu et Dav. ont rompu.

Alors, certes, j'en voulais aux filles mais quand il se passe un truc comme ça c'est bien simple : on met nos petites rancœurs sans importance de coté et on est là les unes pour les autres. Parce que c'était vraiment pas un week-end facile et, quand tout va mal, les copines restent ce qu'il y a de plus important. 

Ça faisait donc 5 ans qu'ils étaient ensemble. 5 ans de fusion totale. D'une relation à distance parfois difficile. Mais tout le monde y croyait, Lulu et Dav' c'était un des couples phares de notre bande, le genre qui te donne envie de croire en l'amour et au fait que les relations peuvent durer. Mais elle ne supportait plus la routine de leurs week-ends et avaient envie d'avancer alors que lui - malgré ses belles paroles - n'agissait jamais en conséquence pour faire évoluer tout ça et préférait repousser les grandes décisions encore et encore.

A partir de là, l'histoire de leur déménagement a été le poison qui a envenimé tout le reste de leur relation, rendant le moindre désaccord insupportable et les disputes anormalement longues.
Parce que parfois, les sentiments ne suffisent pas et je pense que Lulu a pris la bonne décision en s'éloignant (temporairement ou non) afin de les laisser réfléchir et souffler chacun de leur coté. Comme elle le dit, on ne sait pas de quoi la vie est faite mais je pense que, même s'ils tiennent énormément l'un à l'autre, ils ne sont pas forcément fait pour être ensemble à l'instant T de leurs vies respectives. Alors, Elo. et moi avons remplit notre devoir de copines en l'écoutant nous raconter ses doutes, ses souvenirs, ses attentes tandis que nous essayions de lui changer les idées en dansant sur des chansons pourries qui ont pourtant rythmé notre enfance (et oui, encore).

De mon coté, le moral n'était pas au beau fixe non plus étant donné que le monde entier tournait autour du show du grand Hugo. Et j'ai eu moi-même un coup de mou dans la soirée en m'effondrant quelques minutes à ressasser l'échec de ma relation avec celui que j'ai aimé plus que tout. 
Et j'ai été agréablement surprise par le fait que Jules s'est montré encore une fois très présent. Et là aussi, j'ai eu le droit à un câlin collectif des filles où on s'est montré que, malgré nos (très) forts tempéraments, on sera toujours là les unes pour les autres et ce, quoi qu'il arrive. En attendant, j'ai "survécu" à cette soirée que je redoutai tant, et la situation est même redevenue normale avec P-A (même si je ne veux rien savoir de sa soirée d'hier). Avec le recul, j'ai réalisé que son silence avait avant tout pour but de me protéger.

Maintenant on prend les mêmes, et on recommence la semaine sous de meilleures auspices... 


(PS : Demain, c'est raclette entre filles et mardi, soirée cinéma avec P-A. La suite ? On verra...)

vendredi 10 octobre 2014

Oh les filles, oh les filles... (Part.2)


Certes, peut-être est-ce simplement de la maladresse de leur part ou qu'elles agissent comme ça pour me protéger.. mais j'aimerai qu'on me lâche la grappe sur la manière dont je vis ma vie. 
Je devrai me justifier pour me dédouaner de quoi ? À croire qu’on ne peut se passer de l’avis des autres, de leur aval pour avoir notre conscience plus sereine. Mais si on est en accord avec nos actes, nos paroles, pourquoi on se justifie malgré tout ? Est-ce un besoin primordial ? Désormais j'ai suffisamment d'expérience (foireuse ou non) et de confiance en moi pour ne pas ressentir le besoin de me justifier. Alors, quand je rencontre un gars sympa en qui j'ai relativement confiance pour "sauter le pas", et bien oui je couche (rarement mais ça m'arrive). 

Même si je sais pertinemment que ce n'est pas forcément l'homme de ma vie. Et, soit dit-en passant, encore heureux que je ne leur ai jamais parlé de ma relation avec Florian... Donc voilà, c'est dommage mais désormais je ne serais pas aussi transparente dans mes confidences que j'ai pu l'être dans mon passé. Alors contre toute attente, je me rapproche davantage d'Anna qui vit un peu les mêmes galères que moi et qui comprend ma manière d'être et d'agir. Elle au moins, ne me considère pas comme superficielle si je parle maquillage et bijoux pendant quelques minutes, elle au moins, sait qu'un plan cul peut être parfois bénéfique et elle au moins, ne me juge pas sur ce que je suis vraiment.. Et ça fait du bien. 

Pour le coup, on a prévu de se retrouver toutes les deux chez P. et L. vendredi soir histoire de se bourrer la gueule (tiens les deux autres seraient choquées !) comme il se doit et de profiter de notre soirée en se racontant nos tribulations de célibattantes accomplies. Parce que parfois il n’y a pas d’explications, on ne peut pas expliquer pourquoi on s’entend mieux avec cette fille, pourquoi nos amies changent, pourquoi on évolue, pourquoi c’est cet homme qu’on aime et pas le voisin, pourquoi on n’aime plus… À quoi bon vouloir savoir ? Pourquoi se justifier de ce qu’on ressent ? On le ressent c’est bien tout ce qui compte non ?

" Nous pouvons décider comment nous allons vivre. Donc faites-le. Décidez. Est-ce la vie que vous voulez vivre ? Est-ce la personne que vous voulez aimer ? Donnez-vous le meilleur de vous-même ? Décidez. Inspirez, expirez et décidez. "

NOS ETOILES CONTRAIRES.


(PS : Je conseille vraiment ce film !)

jeudi 9 octobre 2014

Oh les filles, oh les filles... (Part.1)

En ce moment, je ne me sens pas comprises par celles que je considèrent comme mes meilleures amies : Elo. et Lulu.

Ça déjà fait plusieurs soirées que j’ai le droit à quelques remarques qui montrent qu’elles me jugent sur le fait que je profite un peu trop de mon célibat à leur gout. Alors, je sais pas, mais à ce que je sache je ne suis ni une marie-couche-toi-là ni une sainte-nitouche et le fait que j’ai des rencards réguliers m’apparaît juste normal. Et pourtant, elles passent leur temps à me renvoyer le fait que j’ai trop de « flirt » et maintenant, dès que je parle d’un quelconque garçon, j’ai le droit à leurs commentaires désobligeants sur son physique, son prétendu caractère ou sur le fait que « avec toi, ça va pas durer ». Sympa les copines.

Et le pire, c’est que ce sont elles qui me harcèlent de questions quant aux avancées de ma vie amoureuse. Alors autant vous dire que je n’ose même pas leur parler de mon abandon par rapport au cas "Maxime LC" sinon 1/ elle jubilerait, 2/ j’aurai le droit au fameux « haha on te l’avait dit » et 3/ elle me narguerait en me disant que j’en ai un de plus sur ma « liste »… C'est facile de juger quand on a rencontré le bon depuis déja plusieurs années et qu'on a eu bien le temps d'oublier nos précédentes galères sentimentales. Mais vous savez quoi ? Je les plains. Car du haut de leur 23 ans, toute leur vie semble déjà tracée : le fonctionnement de leur couple, leurs projets sur les 5 ans à venir... La préméditation de leur vie personnelle pourrait concurrencer un business plan. 
Vu que tout leur semble acquis, elles ne prennent quasiment plus soin d'elles, elles rentrent tôt des soirées, elles n'osent plus se lâcher alors que c'est maintenant que notre jeunesse se joue... 

Alors certes, moi je ne sais même pas où je serais demain.. mais c’est peut-être ça la vraie vie, non ? Parce que dans 10 ans, quand j'aurai rencontré le bon, et bien au moins j'aurai des anecdotes de jeunesse à raconter à mes enfants MOI. Et en y réfléchissant, je pense qu'une part d'elles est jalouse de ma "liberté" et de mes expériences alors qu'elles sont déjà enfermées dans leur petite routine et qu'elles ne laissent pas la place aux éventuelles surprises qui pourraient leur arriver. Du coup, elles me le font payer en m'envoyant des piques pour me faire comprendre que je ne suis pas comme "elles", comme si j'étais un cas désespéré... 

mercredi 8 octobre 2014

PHARRELL IN DA PLACE ! #DearGirlTour

" Dear diary, it's happenin' again
This energy, like I'm 'bout to win
I just close my eyes and visions appear.."

Mon dieu, mais je crois que je ne me remettrais jamais de ce concert ! 

Le show était tout simplement parfait aussi bien vocalement que visuellement et le grand Pharrell Williams a vraiment l'art de mettre le feu. C'était juste indescriptible, génialissime et j'en passe..
Ce que j'ai adoré c'est qu'on a eu le droit à la fois à un show à l'américaine tout en ayant une véritable cohésion grâce au fait que Pharrell n'arrête pas d'interagir avec son public, de faire monter des gens sur scène pour danser avec lui et sa fameuse équipe dont il n'est pas peu fier.
Moi qui m'étais déjà imaginée un spectacle de folie, ce concert a largement été au-delà de toutes mes espérances.. 

Car oui, l'artiste a vu grand, très grand. Articulé autour d'impressionnantes chorégraphies, et de jeux de lumières juste spectaculaires, le show envoie vraiment du lourd. Cerise sur le gâteau, de nombreuses surprises sont au programme avec notamment une pluie de paillettes lors de la chanson finale "Happy" où les 8500 spectateurs ont repris en chœur les paroles, en dansant comme des fous. Et juste avant, Pharrell nous explique que nous avons deux choix possibles dans la vie : être effrayé par ce que l'on voit aux informations le soir en vivant replié sur nous-mêmes ou accepter les difficultés et toujours voir le bon coté des choses en n'ayant pas peur d'être heureux. Parce que cette chanson est juste un hymne au bonheur... et vivre ce moment de fusion avec l'ensemble de la salle a été tout simplement magique. 

On a également eu le droit à tous ses tubes tous plus géniaux les uns que les autres : Lose Yourself to dance, Get Lucky, Marilyn Monroe, She wants to move, Blurred Lines... On a là un producteur de génie, touche-à-tout à l'optimisme vraiment communicatif. Et puis, son spectacle est une ode aux femmes ce qui n'est pas pour me déplaire.. On est donc tous ressortis de là euphoriques, plein d'étoiles dans les yeux (qui ne sont toujours pas parties à l'heure actuelle). Après ça, direction le restaurant avec Jules, Loulou, JR et son petit frère tandis que P-A était rentré directement avec sa sœur. De là, nous avons débriefé en long, en large et en travers sur ce que nous venions de voir et j'en ai profité pour repartir du bon pied avec Jules.

D'un autre coté, la situation était plutôt tendue avec P-A vu que je viens d'apprendre qu'il voyait Hugo samedi prochain et qu'il ne m'a rien dit... (mais rien ne pouvait me gâcher ma soirée !)

" I just want a different girl
Girl, girl, girl, girl..."


mardi 7 octobre 2014

You can't run away from your life...

"I got on too many dates, But I can't make 'em stay
At least, that's what people say, mmh mmh..."

Ce n'est évident de passer à autre chose quand tout le monde me parle de lui. Coïncidence ou pas, il fait un show très réputé samedi soir qui est retransmis dans "le" club de référence du centre-ville. Alors, évidemment, tous mes contacts Facebook m'en parlent et m'invitent au fameux visionnage en ignorant que je le connais personnellement, que j'ai été (et que je suis dans doute encore) amoureuse de lui et que ça me fait un mal de chien. Parce que jusqu'au bout, j’ai pensé que je pourrais être son point d’ancrage et qu’il aurait pu être le mien. Sans doute aurions-nous été heureux sur une île déserte, mais la vie n’est pas une île déserte… 

Evidemment, dans la lignée de cette retombée, j'ai arrêté de parlé à Maxime LC car, après réflexion, je ne veux pas être la fille de dépannage. Et finalement, nos récentes conversations me montrent que je l'ai pas mal idéalisé avec le temps et qu'il n'en vaut peut-être pas vraiment la peine. Bref, ce n'est définitivement pas celui que j'attendais. 
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A part ça, pour boucler la boucle, je me suis expliquée vite fait avec Jules... : 

Jules : Bon je vais pas y aller par quatre chemins la relation qu'on a en ce moment ça me saoule, je sais que c'est en partie de ma faute, mais sérieux tu me manques et  j'ai pas envie qu'on s'éloigne . j'aime pas quand c'est tendu et ça m'énerve j'aimerai que ça revienne comme avant.

Moi : A partir du moment où on se voit toujours, bien sur qu'on restera potes mais tant que je peux pas te faire confiance, que veux tu que je fasse ?

Jules : Bon ok je sais que je t'ai ignorer vendredi soir j'aurai pas du c'étais idiot mais bon fallait aussi que je retrouve un peu mes marques . Te mentir sur quoi ? Vas-y balance parce que la je vois pas t'es bien la seule a qui j'ai tout dis ces derniers mois.

Moi : Sur tes sentiments vis-à-vis de moi ! Bref, laisse tomber, moi aussi j'ai besoin de "reprendre mes marques", moi je te reconnais pas donc voila. Bref je m'arrête là mais viens pas me faire de grands discours et en attendant agis en conséquence. 

Jules :  Mes sentiments vis a vis de toi, ils ont jamais changé juste un soir ou j'avais trop bu je t'ai balancé des choses amplifiées par l'alcool c'est tout. Et toutes les discussions qu'on a eu sur notre amitié je le pensais. C'est juste un soir où je me sentais pas bien je t'ai fais une déclaration, ouais ok ! J'ai craqué une soirée et sorti a ma meilleure amie surement que je la kiffai ça remet tout en question ? Tu crois que je me la suis jamais posé la question " et si je m'attachais a nouveau à C. qu'est-ce-que je ferai ? ". Bien sûr que si mais j'aurai pas agis comme ça. Bref c'est juste que j'ai envie que tout ça se règle parce que ça me fais chier.

Moi : Ouais, ben t'es pas le seul. Allez, on se voit au concert. Bisous.
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"Shake it off, I shake it off

I, I, I shake it off, I shake it off
I, I, I shake it off, I shake it off..."


Can't stop this feeling.

« So am I wrong for thinking that we could be something for real ? »

Ce début de semaine est plus que prometteur... Professionnellement parlant, la journée d'hier a été une véritable réussite dans le sens où j'ai littéralement explosé les ventes de sacs à main du magasin ce qui me permet d'aborder le mois avec une avance confortable concernant mes statistiques personnelles. 

Motivée comme jamais, j'ai fait un chouia de shopping en craquant pour 2 pièces d'Undiz (un soutien-gorge + un boxer trop mignon) et un blazer de chez Pull and Bear. Oui, je sais encore une veste... mais pour ma défense 1/ elle n'est pas noire mais grise anthracite, or je n'ai qu'une veste grise, 2/ il s'agit d'un blazer long qui change de mes blazers habituellement court et 3/ ce n'est pas de ma faute si je suis juste accro aux vestes (puis il vaut mieux ça que autre chose !). 

Autant dire que tout pour être heureuse d'autant que ce soir.. J'AI LE CONCERT DE PHARRELL WILLIAMS ! Des mois que j'attends ça et on y est enfin ! Ce n'est pas trop tôt. Pour le coup, j'y vais avec P-A, Jules, JR (qui a réussi a dégoter des places au dernier moment pour lui et son petit frère) et Loulou que je vais chercher à la gare sur les coups de 18h. Celle-ci dort donc chez moi sachant que je dois la ramener à la gare tôt demain matin histoire qu'elle loupe le moins de cours possibles. En tout cas, même si je suis totalement crevée par mon week-end harassant et mon lundi bien mouvementé (où je bossai exceptionnellement car Fiona avait eu un mariage dans le week-end), je suis ULTRA-MOTIVÉE par la soirée qui s'annonce. 

Amoureusement parlant, je me suis surprise à rêver de Hugo la nuit dernière.. Ça faisait vraiment un moment que je n'avais pas "replongé" mais quand les sentiments sont si forts, je crains que ce ne soit impossible de complètement les éradiquer. Dans mon rêve, je m'étais retrouvée quelqu'un et Hugo me reprochait de ne pas l'avoir attendu, qu'il pensait qu'on avait vécu un "vrai truc" et qu'il était profondément déçu que je sois déja passer à autre chose. La vie, c'est bizarre parfois. D'autant que dans la réalité, la situation est totalement inversée car je suis persuadée qu'il ne se rappelle même plus que j'existe. Bref, moi il me manque.. 

« Now am I wrong for trying to reach the things that I can't see? »


dimanche 5 octobre 2014

Génération 90, te souviens-tu ? (Partie 2)

Dans un autre registre, la situation est toujours aussi tendue - si ce n'est plus - avec Jules.
Nous ne nous sommes quasiment pas calculés du week-end si ce n'est pour une discussion de quelques minutes au cours duquel je lui ai fait comprendre que je ne le reconnaissais plus alors qu'il me confiait ne plus savoir comment réagir à mon égard. Enfin, le couple Lulu/Dav est sous haute tension vu que celui-ci ne se déclare manifestement pas prêt à "répondre à ses attentes concernant leur relation"... Ça craint. 

Tout ça pour dire que, malgré tout, l’amitié c’est beau et que même si c'est compliqué, ça en vaut la peine. Car c’est tellement fort, entier et inconditionnel que parfois ça déborde, le trop-plein fait qu’on ne se comprend plus, qu’on craque… Et après ça revient et ça repart comme avant. Plus enrichi de l’autre, mieux compris, plus aimé, respecté. C’est comme l’océan et ses marées. Les vagues sont plus ou moins hautes, fortes, destructrices, enrichissantes, surprenantes… Et elles partent. Se retirent. Redeviennent calmes, douces, tranquilles…

L’amitié c’est du partage, du rire (enfin DES rires), des larmes, de la colère, de l’amour, des confidences, du soutien, de la présence, de l’honnêteté, de la pudeur et de l’impudeur aussi, de l’écoute, des bavardages, nombreux et animés. L’amitié c’est la vie. Des hauts et des bas. Des arrivées et des départs...J'aime chaque personne du groupe, chacune à leur manière vu que les affinités sont plus ou moins fortes avec les uns ou les autres mais je les kiffe. Qu’ils me fassent rire, pleurer, sourire, me poussent dans mes retranchements, me mettent hors de moi... 

Avec eux je suis moi. Juste moi. Et ça, ça vaut tout l'or du monde.


PS : Et vous voulez savoir la meilleure ? On remet ça le week-end prochain chez P. et L. ...