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dimanche 28 décembre 2014

... And a Happy New Year !

« Grâce au calendrier, les nouveaux départs arrivent chaque année. Réglez vos montres sur
Janvier ! Ce qui nous amène à la grande tradition des résolutions du nouvel an... »
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Résolution n°1 : Apprendre à relativiser. Rien n’est jamais aussi génial ou désastreux qu’on le croit. Et en cas de désastre, vérifier qu’il s’agit bien d’un désastre, en procédant comme suit :
a) Penser « Oh et puis merde ! », b) Essayer de voir le côté positif et, à défaut, le côté comique de la situation. Si aucune des méthodes ci-dessus ne donne de résultat alors c’est peut-être un vrai désastre. Auquel cas, rester rationnelle ("on s'arrête, on respire, on réfléchit") en cherchant toutes les issues possibles même si, sur le coup, l'impasse parait hermétiquement close.

Résolution n°2 : Réussir à vraiment ranger mon appart. Je veux dire, à un autre moment que quand il y a un très joli garçon devant ma porte et que je dois lui interdire l’accès à l’entrée le temps que je fasse semblant que je suis une personne adulte qui est capable d’essayer six tee-shirts et de les ranger, au lieu de les laisser sur la chaise, chaque matin, sept matins par semaine, quatre semaines par mois.. (Je ne sais pas à quel moment ça a dégénéré).

Résolution n°3 : Ne jamais rien regretter. Se dire qu’il n’aurait pas pu en être autrement, compte tenu de ce que l’on est et de l’état du monde à ce moment-là. La seule chose que l’on peut changer étant le présent, il ne reste plus qu’à tirer les leçons du passé. (et si on commence à se dire « j’aurai du faire ci ou ça… » s’empresser d’ajouter « oui mais j’aurai pu me faire écraser par un camion… »). Dans la même veine, je dirai qu'il faut toujours garder espoir dans toutes aventures, aussi stupides ou insignifiantes soient-elles. On n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise...
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Parce qu’il y a des jours où quand je me regarde dans un miroir, je me dis qu’il y a encore un milliard de choses que j’aimerai faire autrement. Des petites manies qui sont pas mauvaises et qui font un petit peu ce que je suis, mais que quand même, on voudrait modifier... Et puis y’a ces jours où on se dit qu’en fait, c’est quand même pas si mal, d’avoir une marge de manœuvre, question d’être bien sûr que y’aura jamais personne de parfait. Et peut-être que les gens qui arrivent à avoir un disque dur très bien trié/rangé, avec des dossiers dont les noms sont tous homogènes (un rêve), ben peut-être que dans leur tête, c’est encore plus le bordel que dans mon tiroir à culottes.

« Accepter les habitudes, les vieux souvenirs... Ce qui est important, c'est que nous 
n'arrêtions jamais de croire que nous avons le droit à un nouveau départ. »


jeudi 25 décembre 2014

We wish you a Merry Christmas...


Noël. Ou l'importance de la famille

"Avoir un endroit où aller est un foyer, avoir une personne à aimer est une famille, 
Avoir les deux à la fois est une bénédiction."
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(On s'est même souhaités "Joyeux Noel" avec Hugo.)


lundi 22 décembre 2014

Pourquoi être amoureux quand on peut être heureux ?

De retour d'un week-end épique, avec les vengeurs, qui restera gravé dans nos mémoires... 

On retiendra : les virées au Mcdo d'Avranches (avant et après la soirée), les shooters exceptionnels préparés par Matthieu (un pote de P-A Monaco qui tient son propre bar), les retrouvailles avec Kevin H (toujours aussi délirant et expansif), les 6 bouteilles de whisky commandées et durement englouties, des rencontres vraiment sympas (Martin et Patate), ma première visite dans un casino qui a donné lieu à de l'argent perdu dans des machines à sous et à mon apprentissage des règles du Black Jack, une vue imprenable de la plage via une terrasse VIP, un groupe musical vraiment sympa, un kilomètre et demi de marche pour rejoindre l’hôtel, un arrêt de bus renversé, un rétro volé, une nuit agitée par l'alcool et un réveil plus que difficile...

Le lendemain fut tout aussi mouvementé vu que nous nous sommes tous retrouvés à prendre le petit-déjeuner chez Kevin, en compagnie d'une bonne partie de sa famille qui était là par hasard et qui nous a limite forcé à reprendre de l'alcool aussitôt arrivés. Après avoir refusé 2 fois la lampée de whisky que me proposait son père, je me suis décidée à accepter de goûter son calva entre deux pains au chocolat histoire de montrer un minimum de courage (ce qui a donné un résultat particulièrement horrible en bouche). Nous avons donc repris le chemin du retour bien plus tard que prévu, par les petites routes de façon à apercevoir le Mont-Saint-Michel en passant par les lieux qui ont marqués l'enfance de P-A Monaco. Sur un coup de tête, les gars m'ont proposé de nous arrêter prendre un café chez mon père vu qu'on était sur la route...

Lucky me, il n'était pas là, d'autant que je n'avais pas spécialement envie de le voir vu l'état dans lequel j'étais. Continuant sur notre lancée, nous avons finalement décidé de nous poser chez JR, afin de prendre ce fameux café (on en avait tellement besoin !) et un goûter (on s'était arrêté au préalable dans une boulangerie) avec ses parents qui se sont révélés vraiment adorables. JR avait alors prévu de retrouver ses cousins de passage en ville, pour aller se faire des tours de kartings, non loin de là. Toujours dans l'impulsion du moment, nous avons suivi le mouvement et, après quelques parties de baby-foot pour "patienter", nous sommes entrées en piste pour deux tours de 10 minutes qui se sont révélés très très mouvementés (sauf Jules qui était bien trop dans le mal pour se mettre au volant de quoi que ce soit). Et là encore, on a juste profité à fond... 
" Hey hey hey
Ba de ya, say do you remember?
Ba de ya, dancing in September
Ba de ya, never was a cloudy day "

samedi 20 décembre 2014

" Qui sait ce que l'avenir nous réserve ? "

J'avoue que j'ai été totalement perturbée par ce message que j'ai reçu en plein milieu d'une soirée de retrouvailles avec Y. qui était de retour en ville quelques jours pour les fêtes... (C'était une super soirée où nous avons rencontré ses "collègues" et où nous avons fini par boire un verre dans l'appart récemment acquis de Hugo), (Evidemment, ce dernier n'était pas là), (Il l'avait prêté à son frère), (Sinon je n'y serais pas allée), (Ou peut-être que si), (J'en sais rien).

Bref, moi qui voulait attendre d'être un peu plus au calme et ne pas me précipiter pour lui donner une réponse débile, j'ai finalement décidé de répondre "naturellement" et gentiment. Et bizarrement, le feeling s'est totalement intact..  Depuis ces "retrouvailles", nous n'arrêtons pas de nous envoyer message sur message pour nous rappeler de bons souvenirs et (re)faire connaissance en découvrant les nouvelles facettes de nos personnalités respectives qui sont apparues avec le temps. Nous avons donc prévu de nous revoir début 2015 pour rattraper le temps perdu. Au-delà de toute ambiguïté amoureuse, je pense qu'on était vraiment faits pour se retrouver.

Sinon ces derniers jours ont été marqué par un rythme de travail assez soutenu : entre les fêtes, les ventes privées et la préparation des soldes, il y a largement de quoi faire. Je fais pas mal d'heures supplémentaires ce qui me crève pas mal mais me permets d'aborder la fin de l'année sereine, en profitant de mes temps libres à fond. Pour le coup, je pars demain avec les vengeurs dans cette lointaine contrée qu'est la Normandie, alias le coin d'origine de notre P-A Monaco. Celui-ci nous a proposé de l'accompagner lors de son excursion afin de nous faire découvrir la ville et nous faire rencontrer ses amis d'enfance. Cette escapade promet de très bons moments...

Bon et sinon, il fait vraiment moche mais on s’en fout parce que ça va être Noël. OH JOIE.

" De temps en temps, on a tous besoin que quelqu'un nous rappelle combien la musique 
du monde est belle, et que la vie ne sera pas toujours telle qu'elle est."


Parce que ma vie c'est pire que Sex and The City !

Je ne sais pas si c’est l’effet « fin d’année » ou si le destin veut à tout prix me faire prendre un nouveau départ pour 2015, mais les choses évoluent à un rythme alarmant...

1) Tout d'abord, j'ai totalement laissé tomber le cas Antoine étant donné que Baptiste et lui ont osé me planter la dernière fois pour aller faire leur soirée de leur coté ("ben finalement, on a un pote qui a sa baraque..."). Du coup, j'ai passé ma soirée à ressasser et, coïncidence, Thibaut est venu me choper sur Facebook le même soir pour me taquiner sur mes récents exploits. Evidemment, j'ai feints de ne pas comprendre, avant qu'il se décide à m'avouer que Antoine avait raconté à Ju' notre "nuit" qui, de son coté, l'a répété à tous leurs potes présents à la soirée de la dernière fois. Ok.. !

2) Dans le même temps, j'ai passé une soirée - et une nuit - avec Florian que j'ai automatiquement regretté. Je ne sais pas comment expliquer mais parfois il me manque, et parfois, je me sens juste étouffée par toutes ses attentions et ses attentes à mon égard. Et pour le coup, je me suis sentie mal à l'aise lors de la nuit passée à ses cotés, comme si je me "forçais" à lui faire plaisir. Une chose est sure : il faut définitivement que je mette un terme à cette histoire qui se trouve être de plus en plus malsaine. Pour le coup, j'ai refusé sa proposition de nous voir ce soir autour d'un ciné préférant ainsi rester tranquille et récupérer un semblant de volonté.

3) D'autant que cette dernière semaine a été marquée par mes retrouvailles avec Jonathan, un de ceux qui ont marqué ma vie, que j'avais évoqué brièvement ici lorsque je parlais de mes "vraies" histoires d'amour et de mes étés à Vias. Notre amour de vacances n'avait pas supporté le choc de la distance et de notre jeunesse de l'époque, mais il fait partie de ceux que j'ai réellement aimé. Il m'a retrouvé ainsi via les réseaux sociaux après facilement 5 ans de rupture totale de lien entre nous (sa dernière copine ne voulait même pas qu'on garde un semblant d'amitié ) : " Bonjour C. J'espère que tu vas bien? ...Comment expliquer la faute que j'ai commise. Pas d'excuses possibles, juste des regrets encore... J'espère que tu es heureuse et que tu reussis comme tu le souhaite dans ta vie. Desolé pour le dérangement si c'est le cas, bisous."

Tout cela, suivi de : " Je suis surpris et content que tu ais accepté ma demande d'ami... As-tu reçu mon message précédent ?"

TO BE CONTINUED...

vendredi 12 décembre 2014

Et toi, tu ferais quoi si t'avais peur de rien ? #2

Après ça, coïncidence ou pas, Baptiste (son meilleur pote) est venu me parler en me disant qu'il faudrait qu'on se refasse un apéro tous ensemble car ce serait définitivement cool de se revoir :

Baptiste : Soirée chez toi vendredi du coup ? :p
Moi : Tu perds pas le nord toi ^^ Mais oui si tu veux :)
Baptiste : On peut même ramener du monde si ça te dit.
Moi (paniquant) : Heu... par contre je te préviens c'est tout petit chez moi :)
Baptiste : De toute façon Antoine et moi ça suffit :)
Moi : Après si vous voulez ramener une ou deux personnes de plus, y a pas de soucis hein ;)
Baptiste : T'inquiète, on verra. En attendant, je prends note pour vendredi :)

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J’ai trois théories. Je sais que c’est idiot d’avoir des théories, que ça ne sert à rien. Mais je n’en ai que trois alors on peut bien me les accorder....

1. Ils ont envie d'apprendre à me connaitre, amicalement parlant (très probable)
2. Les deux sont à fond sur moi et espèrent quelque chose. (très peu probable)
3. Baptiste essaye de caser Antoine qui est à fond sur moi. (*fingers crossed*)

A ce stade-là, je préfère pas m'avancer sur quoi que ce soit et je me dis que je verrais bien ce que la soirée de demain me réserve...
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Et toi, tu ferais quoi si t'avais peur de rien ? #1

Le dimanche, j'ai revu Laura S. pour une séance jaccuzzi/hammam/sauna dans le centre de remise en forme aquatique tout près de chez moi. Ce que j'adore avec elle, c'est le feeling est toujours intact malgré le temps qui passe. Que ça fasse des jours, des semaines ou même des mois, le temps n'a aucun impact sur notre amitié et nous reprenons toujours nos délires là où on les a laissé. Je me suis beaucoup confiée sur mes dernières histoires de cœur (avec une grosse mise au point sur le cas Antoine) tandis qu'elle me racontait le début de son histoire d'amour avec un mec rencontré il y a quelques semaines de ça via Tinder.

Comme d'habitude, nous avons beaucoup ri en nous découvrant, encore une fois, de nombreux points communs. Nous avons ainsi pris la résolution de nous voir plus souvent, notamment les dimanches soirs vu que la semaine elle est toujours partie pour le boulot. Laura S. est ce qui se rapproche le plus d'une meilleure amie en ce moment et j'apprécie grandement le fait qu'elle ne me juge jamais et qu'elle me donne des conseils plus qu'avisés sur la marche à suivre. D'après elle, je devrais relancer Antoine car "Mais C., on est plus au XVème siècle, si tu veux un mec, tu te bats pour lui !". Fierté oblige, je ne l'ai pas fait.

A ce moment-là, je pensais que je ne le reverrais plus vu qu'il avait l'air de s'en foutre complètement. Mais c'était sans compter hier soir, où monsieur a (enfin) daigné à m'adresser la parole :
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A : Jolie Photo :)  ----> Je venais de changer de photo de profil sur Facebook
Moi : Dis-donc je savais pas que tu faisais des compliments :D Mais merci, c'est gentil. 
A : Je suis pas toujours méchant ;) 
A : Normalement, je fais pas de compliments aux filles qui ne se souviennent plus de leur soirée.. ;P
Moi : Non mais c'était rarissime, d'habitude je ne finis jamais comme ça ! En plus je me suis fais mal partout ^^
A : Quel dégât ! Ahaha
Moi : Saleté ! Et ton week-end du coup ?
A : Tu sais que j'ai raison :) Pas grand chose pour une fois, mais je me rattraperai vu que j'ai trois semaines de vacances à partir de vendredi ! 
Moi : Ah ben ça va tranquille... trois semaines c'est énorme ! Chanceux va.
A : Ca va, je m'en plaints pas ^^ Allez bonne nuit miss trou noir :) 
Moi : Bonne nuit en tout cas, bisous ;) 
A : Bisouus.  
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La cuite de ma vie.

 Je me suis également pris la cuite de ma vie en compagnie de mes vengeurs, vendredi dernier...

Comme d'habitude, le plan de la soirée n'avait rien d'anormal : petite tournée des bars du centre-ville entre nous histoire de délirer et de tester deux-trois nouveaux cocktails. Sauf que ce soir-là, n'ayant pas de nouvelles d'Antoine depuis notre "fameuse nuit", je clamais haut et fort que je voulais "me la coller" (je vous rassure, je peux être très féminine) car j'avais définitivement besoin de me changer les idées. Et bien... ça n'a pas loupé. Je me suis enfilée facilement une vingtaine de shooters dans la soirée ce qui m'a conduit à une ivresse totale et à une panique certaine lorsque je me suis réveillée le lendemain matin dans mon lit en ayant TOUT oublié. (oui, absolument tout !).

De là, j'ai appris que mes vengeurs avaient dû me porter dans les rues du centre-ville car je n'étais plus capable de marcher et qu'ils avaient été jusqu'à me coucher dans mon appartement vu que je ne pouvais rien faire seule. (pour la fierté, on repassera hein) . D'après mes vagues souvenirs, je me suis relevée dans la nuit et j'ai été malade comme jamais (ce que j'ai pu allègrement constaté au vue de l'état de ma salle de bain le matin suivant) et, manifestement, je n'ai pas été capable de me tenir debout au vue des hématomes que j'ai désormais partout sur le corps... De là, on aurait pu penser que les petites conséquences de la soirée s'arrêteraient là. Mais non !

C'était sans compter le fait que j'avais supplié Antoine de me réserver sa soirée du lendemain à coups de messages plus désespérés les uns que les autres. Heureusement pour moi, il a du vite comprendre mon état et est rentré plus ou moins dans mon jeu en me calant bel et bien sa soirée de samedi. La journée de travail qui a suivi fut particulièrement horrible : j'essayais de lutter contre ma gueule de bois et contre mon envie de vomir sur les clients tandis que ma patronne était persuadée que je m'étais chopée une grippe. Le soir-même, Antoine m'a donc recontacté en me demandant ce que je faisais de ma soirée et en m'affirmant toutefois qu'il avait trop la flemme de bouger tandis que j'étais bel et bien trop crevée pour sortir à mon tour.

Ah, l'alcool c'est mal...


jeudi 11 décembre 2014

" Non, je ne coucherai pas avec toi ce soir (ni jamais). "

Pour en revenir à l'épisode Coco... 

Ce dernier m'a invité chez lui mardi dernier, pour me proposer à son tour une "soirée films" chez lui. Sauf que cette fois, nous n'étions que tous les deux car F. était "soi-disant" indisponible (honnêtement, je doute qu'il l'ai prévenu tout-court). De là, nous avons passés un très bon début de soirée où il m'a fait beaucoup rire et ne tentait pas de rapprochement particulier ce qui me convenait très bien comme ça. Mais c'était sans compter les verres de vins blancs qu'il s'enquillait au fur et à mesure de la soirée, qui stimulait copieusement sa confiance en lui. Et voilà qu'il a commencé à se lover contre moi sur le canapé, à me prendre la main, à mettre sa tête dans mon cou...

Jusque-là tout allait bien. Après tout, nous sommes célibataires tous les deux et ce genre de marque d'affection reste suffisamment vague pour que je me laisse plus ou moins faire. Malheureusement, il ne s'est pas arrêté là et a commencé à m'embrasser pendant le film et - god ! - qu'il embrassait mal. Manifestement cette impression ne fut pas partagée puisqu'il sembla plus que jamais prêt à se déshabiller m’entraînant dans son élan. Sachant que Coco ne me plait genre pas du tout (1/ Physiquement ce n'est pas mon type, 2/ Il est bien trop arrogant et 3/ Il se vante d'être un dieu du sexe ce qui le rend d'autant plus ridicule), j'ai directement mis les choses au clair en lui remettant sa main là où elle devrait être - à savoir dans ses poches et non sur mes seins - en lui disant clairement "non, je ne coucherais pas avec toi ce soir".

Je pensais alors qu'il se calmerait mais, bizarrement, cela n'a fait qu’accroître son ardeur dans le sens où il s'est lancé le défi de me "faire craquer", moi fille inaccessible. Super !. Autant vous dire qu'à partir de là, j'ai sorti l'arme fatale féminine : l'évocation de sa fameuse EX. Comme je l'espérais, il s'est un peu calmé et s'est mis à me parler en long, en large et en travers de la fin de leur relation. Bien sûr, il en a profité pour m'affirmer qu'il comptait profiter de son célibat et qu'à notre époque actuelle, les plus belles histoires commençaient définitivement par le sexe. Et devinez quoi ? Après cette tirade, il s'est (re)jeté sur moi ! Pour ma part, ça a été la goutte d'eau qui m'a fait me barrer d'un air très détaché du genre "c'était une bonne soirée mais je suis crevée, salut !" (avec faux sourire en prime). Alors comme tout mec bien lourdingue, il a commencé à m'envoyer des messages comme quoi "cette soirée était mortelle" et qu'il avait "trop envie de me revoir"...

Vous commencez à me connaitre, il n'en fallait pas plus pour me dégoûter. 

Quelques jours plus tard.

Vous savez, il s'est passé beaucoup de choses ces deux dernières semaines.

Il y a eu ces moments un peu surréalistes, composés de nombreux prétendants sortis de toute part, qui sont tous venus à la charge en même temps : Dimitri (un mec qui faisait son stage en même temps que moi à Sephora), Florian (le énième coming-back), Thomas H. (un ancien camarade de collège/lycée surnommé affectueusement "la tâche") et Coco, fraîchement célibataire. Dans le même temps, je ne me suis toujours pas enlevé Antoine de la tête, même si j'ai accepté de passer la soirée de mardi dernier en compagnie de Coco (je vous raconte cette catastrophe dans l'article suivant).

Niveau amical, j'ai également passé un très bon après-midi en compagnie de P-A, qui nous a vraiment permis de nous retrouver et de nous rendre compte que, quoi qu'il arrive, on reste aussi soudés que les deux doigts de la main. Dans le même temps, nous sommes tous rassurés puisque nous avons trouvé et réservé une salle pour le nouvel an, suffisamment grande pour accueillir le groupe au complet. La salle se situe à une heure de route, certes, mais elle nous permet de pouvoir fêter l’événement en bonne et due forme et de faire la fête toute la nuit. D'autant qu'avec ceux qui déménagent, ceux qui commencent à le fêter entre couples et ceux qui bossent de plus en plus, il s'agit sans doute du dernier nouvel an que nous ferons vraiment tous ensemble.

Récemment, il y a eu aussi de nombreux rendez-vous médicaux qui ont donné lieu à un diagnostic sans appel : je dois me faire enlever mes 4 dents de sagesse ! Phobique des hôpitaux depuis toute petite, je flippe comme jamais à l'idée de me faire charcuter de part et d'autre de ma bouche d'autant que je suis persuadée que je ne vais sans doute jamais me réveiller de mon anesthésie générale. De toute façon, c'est bien simple, tout me fait peur : l'opération elle-même, la douleur, les possibles infections. Et F., en bon copain, a contribué davantage à me rassurer en m'affirmant que si on touchait le mauvais nerf par inadvertance, je risquais à coup sur de me retrouver coincée la bouche mi-ouverte et ce, pour le restant de ma vie. OMG

Enfin, j'ai découvert depuis peu une série britannique policière intitulée "The Fall" qui a été un véritable coup de cœur. Dans le même temps, j'ai fini la dixième saison de Grey's Anatomy en survivant de peu au départ de la fameuse et génialissime Cristina Yang, qui m'aura arraché de nombreuses larmes. Oui, je suis définitivement trop sensible...
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« Parfois, le futur change rapidement et complètement, et nous laisse seulement avec le choix de ce qu'on va faire après. Nous pouvons choisir d'être effrayé, de rester là à trembler sans bouger, à supposer que le pire peut arriver. Ou bien, nous pouvons faire un pas vers l'inconnu et supposer qu'il sera brillant. »
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vendredi 5 décembre 2014

Un an déja, le bilan. (Part.2)

Et qui plus est, j’y ai rencontré des personnes géniales qui m’ont appris énormément de choses. On m’a fait confiance, on m’a guidé et surtout on m’a toujours encouragé pour aller toujours plus de l’avant. Alors oui, les clients sont chiants, les horaires ne sont pas toujours évidentes et le salaire est loin d’être mirobolant mais j’aime ce que je fais, je suis fière de ce que je fais et je vais continuer à le faire. A défaut de faire ma vie dans cette entreprise, j’ai trouvé ma voie. 

J’ai ainsi remis en question énormément de choses me concernant, et vis à vis de mes rapports aux autres. J’évolue, je culpabilise de moins en moins, j’assume qui je suis et je n’essaie plus de convenir à l’image qu’on a de moi. Alors si par mes dires ou mes actes je dérange, tant pis. J’ai donné trop d’importance aux autres et j’ai réalisé ça cette année : mes actes ne sont dictés que par moi, et ce que je vis et ressens n’a pas à être compris par mon entourage. L’important est d'être en phase avec moi-même car je suis la seule personne qui sache comment mener ma vie. Cependant, se retrouver face à soi-même n’est pas toujours évident et il faut avoir un certain courage que je ne pensais pas avoir. 

Les épreuves m’auront ainsi appris à ne compter que sur moi, et à ne plus culpabiliser d’aimer telle personne ou de ne pas en aimer une autre. Alors même si aucune vie n'est parfaite, je peux dire qu'aujourd'hui je suis satisfaite de la mienne. Bien sûr, elle est perfectible (vous pouvez toujours m'acheter un grand appartement avec vue sur la Tour Eiffel si vous y tenez vraiment !), mais pour le moment, elle me convient. Oh, il s'en passe des choses en un an... Et grâce à cette année très riche, je vivrais celle qui arrive de façon plus sereine, je serais préparée, armée et prête à affronter ce qui m’attend. Prête à vivre et à profiter encore plus... 

"Si tu te repasses le film de ton année et si ça ne te fait pas pleurer, 
si ça ne te rend ni triste ni gaie, c'est une année perdue."


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[ Et un merci tout particulier à ces personnes qui m'accompagnent et me font grandir au quotidien... Mes vengeurs et surtout Jules alias le meilleur ami de tous les temps, mon P-A avec qui je sais que je peux partir au bout du monde sans perdre mes repères, les filles (Elo et Lulu) car même si c'est pas toujours rose, ça fait du bien de parler le féminin, le groupe de potes et en particulier Guigui, L. et Alex' car je sais que je n'ai qu'un mot à dire pour qu'ils viennent me secourir, et bien évidemment ma famille que je chéris plus que tout. Et à tous ceux qui, de près ou de loin, m'ont fait kiffé cette année....] Pour tout. Et le reste.
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Un an déja, le bilan. (Part.1)

Qui dit décembre, dit la fin. Je suis toujours ravie de finir une année, j’ai même envie d’accélérer et d’aller direct au chapitre suivant. Cette année fut de façon générale plutôt positive mais difficile sentimentalement et personnellement. Elle fut chargée en émotions, très intenses, trop peut-être...

Il y a (quasiment) un an de ça, j'ai fait ce blog car je m'ennuyais dans ma vie : j'étais amoureuse d'un mec toujours fourré aux USA, je cherchais un job plaisant ce qui me semblait hors de portée... Bref, c'était la loose.  ET Paf ! Un aprem, j'ai décidé de faire ce petit blog. J'avais besoin d'un projet, de construire quelque chose, de me donner des objectifs quotidiens, hebdomadaires mais avant tout, j'avais besoin de partager et de créer du lien. On ne se le dit pas assez mais qu'importe tout ce que la vie vous offre, l'essentiel c'est de partager votre bonheur, votre vie avec les autres... 

Alors, oui, je crois que 2014 a été à la fois la plus belle et la pire année de ma vie. Tout d’abord Mr.X... J'ai cassé les oreilles (ou plutôt les yeux) de mes lecteurs avec cette histoire, que j'ai eu énormément de mal à digérer. Entre temps, j’ai eu quelques flirts qui ont contribué, mine de rien, à me donner confiance en moi et en mon envie de plaire. Alors merci à vous les gars : Florian, Julien, Jouan, Baptiste et compagnie. Ensuite – oh, miracle ! – j’ai trouvé un boulot qui me plait. Alors que j’avais totalement perdu espoir dans ce domaine étant donné que depuis mon commencement dans la vie active, je n’avais enchainé que les expériences horribles : mauvaise ambiance, pression maximum, aucune communication, et j'en passe.

Mais voilà, j’ai enfin trouvé un travail qui me donne envie de me lever le matin... 

lundi 1 décembre 2014

Join The Mockingjay... (Part.2)

Comme vous vous en doutez, j'ai donc couru regardé le nouvel épisode de la saga quelques jours après sa sortie officielle, en compagnie d'Alex'.

Que dire de ce troisième film ? Pour une réussite, quelle réussite ! Il m'aura fallu près de douze heures après la projection du film, pour en sortir enfin, mais avec pour seule envie, de le revoir déjà. Ce troisième volet ne souffre d'aucune imperfection et annonce un épisode final d'anthologie ! Il s’agit là d’une première partie plus sombre et plus intense que les premiers HUNGER GAMES. Un film toujours aussi rythmé où Katniss Everdeen dévoile ses ailes et devient le geai moqueur de la rébellion. Dans cet opus, le temps est à la politique, à la communication, et cette partie de l'histoire est en totale rupture avec le reste puisqu’elle illustre un moment suspendu dans lequel chaque clan prépare la bataille finale.

On sent dans chaque scène, l'envie du réalisateur de livrer en finalité, un produit qui ne soit pas qu'une adaptation mielleuse et sans risque mais une véritable œuvre de cinéma. Tout est soigné, les décors, les costumes, la musique, le montage, et donnent à l'ensemble cette qualité quasi parfaite. Encore une fois, la meilleure réussite de cette adaptation, c'est elle, la grande, la sublime, la parfaite, Jennifer Lawrence. Personne n'aurait pu livrer une meilleure Katniss qu'elle ne le fait. Elle a le talent extraordinaire de ne pas interpréter mais d'incarner à la perfection, dans chaque geste, chaque regard, chaque souffle son personnage. Mention spéciale à Josh Hutcherson qui joue un Peeta qui sombre peu à peu dans la folie du désespoir et de la peur.

Plus qu'à patienter pendant un peu moins d'un an maintenant avant de voir sur écran l'épisode final qui se promet épique ! En attendant la chanson du film, réunissant les districts en chœur face au Capitole, me laisse encore des frissons… 
« Veux- tu, veux-tu, au grand arbre me trouver ?
Le collier de l'espoir, tu portes à mes côtés
Des choses étranges s'y sont vues moi j'aurais aimé
A minuit, te voir, à l'arbre du pendu »

Join The Mockingjay... (Part.1)

Petit rappel de l'histoire de la saga Hunger Games... 

Katniss Everdeen, une adolescente de 16 ans, vit à Panem dans le district 12, qui était précédemment l'Amérique du Nord. Un puissant gouvernement répressif, le Capitole, pendant une période de guerre civile, détruit le district 13. Il institue un jeu télévisé, pour contrôler le peuple par la peur, appelé les Hunger Games, qui consiste à tirer au sort deux enfants, une fille et un garçon, entre 12 et 18 ans dans chacun des 12 districts (soit 24 participants) et de les faire se battre à mort dans une arène (au sens large, soit un "terrain" qui peut être de toute nature, ville en ruine, forêts, etc...) où il ne peut y avoir qu'un seul gagnant ou gagnante.

Lors de la 74e édition, Primrose, la jeune sœur de Katniss, âgée de 12 ans, est tirée au sort pour participer aux Hunger Games et représenter le district 12. Katniss se porte alors volontaire pour prendre sa place, afin de la sauver d'une mort certaine. Elle est accompagnée de Peeta Mellark, le fils du boulanger, qui l'aime en secret depuis toujours. Dans l'arène, lors de ces jeux, Katniss doit se défendre face aux autres tribus et trouve une alliée en la personne de la jeune Rue du district 11, une fillette de 12 ans comme sa sœur, qui est tuée sous ses yeux. Le respect qu'elle lui montre lors d'une cérémonie funèbre improvisée déclenche des heurts dans le onzième district ainsi qu'un élan de sympathie de la part du public, ce qui pousse les autorités de Capitole à modifier les règles du jeu au milieu de celui-ci afin qu'il puisse y avoir deux survivants. Elle tente ensuite de sauver Peeta lorsque les adolescents apprennent qu'il y aura deux gagnants et pas un seul.

Restant les seuls survivants après une ultime bataille, Katniss et Peeta se voient signifier une nouvelle modification des règles et le retour à un unique vainqueur. Ils décident donc de se suicider avec des baies empoisonnées pour échapper à ce cruel destin. Mais le haut juge Seneca Crane les en empêche au tout dernier moment et les déclare vainqueurs de ces 74e Hunger Games. Il le payera de sa vie, tandis que Katniss, pour s'être publiquement rebellée contre le destin qui lui était promis par le régime du Capitole et du président Snow, va devenir le symbole de la population opprimée et s'attirer l'hostilité du pouvoir...

« Joyeux Hunger Games, et puisse le sort vous être favorable ! »

Why do all good things come to an end ?

Bon, alors pour commencer, je n'ai quasiment aucune nouvelle d'Antoine.

Je ne vous cache pas que je suis bien dégoûtée d'autant que j'ai essayé de lui tendre plusieurs perches cette semaine, mais nos échanges n'ont été guère concluants. Est-ce que ça se serait passé comme ça même si je ne lui avais pas "cédé" aussi facilement / rapidement ? J'en doute. Bon, d’un autre côté, il n’est jamais très causant par message interposé, mais j’avais espéré que, la situation ayant un minimum changé, j’aurai le droit à un peu plus de chaleur de sa part. Ben non, que dalleRien du tout, nothing, nada, niet.

Mais peut-être que, maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait, il n’en a plus rien à faire. Ou pire : il était tellement bourré qu'il regrette amèrement son geste car il ne l'aurait jamais fait en temps normal. (Entre nous, je ne sais pas ce qui est le pire.) Pourtant, en tant que native de la génération Y, je devrais être toujours préparée à ce genre de désillusions mais... la déception me semble aussi cuisante qu'une gifle. D'autant que ça faisait un bail que je n'avais pas fait une vraie bonne rencontre - hormis via Internet - qui m'avait permis de reprendre un peu espoir dans le fait qu'il y avait des gars bien avec qui le feeling était encore possible. 

Je me suis un peu confiée sur le sujet à Alex et Jules qui m'ont assuré que, même si une fille passait "rapidement" à la casserole, cela ne les freinait pas pour renouer le dialogue pour éventuellement voir là où ça pourrait mener. A les écouter, si feeling il y a, il voudra me revoir. Dans tous les cas, je ne compte pas le recontacter car 1/ je dois apprendre à me protéger et 2/ je ne veux pas risquer de me ridiculiser davantage. M'enfin, cette histoire me laisse un goût amer... 

"Flames to dust, Lovers to friends, Why do all good things come to an end
Come to an end come to an... Why do all good things come to end ?"


mercredi 26 novembre 2014

_ J'ai rencontré un garçon, il m'a retourné la tête..

 « Les hommes sont comme les mots croisés du New York Times : difficiles, 
tordus et vous n'êtes jamais sûre d'avoir la bonne réponse. »

(Un aperçu de mon shooting de la dernière fois.. )     
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J'ai testé... l'escape-room de ma ville.

Vous vous en doutez c'est en totale Noob (= débutante) que je me suis présentée à la séance...  

Dans un premier temps, Jean-Baptiste (le gérant) nous met dans l’ambiance en nous « pitchant » sur le processus et en nous donnant quelques conseils pratiques. Le jeu peut alors commencer... et nous voilà dans une pièce à l’ambiance Sherlock Holmes et une heure pour trouver le moyen d’en ressortir. C’est là tout le concept de cette « Escape Room », un jeu grandeur nature qui consiste à trouver le moyen de s’échapper d’une pièce dans une durée limitée. 

Le but étant de trouver des indices disséminés dans l’espace, indices qui, combinés entre eux permettent de résoudre des énigmes et d’avancer vers la résolution globale du challenge. Car, oui, chaque indice permet d’ouvrir un nouveau cadenas ou de découvrir un code qui permet l’accès à un coffre, un tiroir ou à une porte. Il faut donc procéder avec méthode et bien fouiller, quitte à repasser derrière ses petits camarades pour ne rien oublier. Une précaution qui nous a fait chuter sur la fin à cause d’une serrure que l’on n’a zappé. Car oui, malgré notre engouement et notre équipe surmotivée, nous avons échoué de quelques secondes. Un beau parcours, certes, mais reste la petite frustration malgré tout de ne pas avoir pu sortir seuls de la salle..
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En tout cas, le principe est très prenant : on se prend vraiment au jeu. Si les premières énigmes sont assez simples, cela se complique assez rapidement ! On se remet à fouiller deux, trois fois la salle pour voir ce que l’on a pu oublier. Parfois, on tombe sur des fausses pistes, parfois, on ne va pas au bout de nos idées et on perd du temps. Mais en réfléchissant, et en utilisant le tableau à disposition, on finit par trouver. Et si vraiment on tourne en rond, on est remis sur le droit chemin par l'animateur qui suit notre progression grâce à des caméras (Big Brother is watching you !). Parce qu’en effet, il n’y a pas de temps à perdre car je peux vous assurer qu’une heure c’est très court pour parvenir à tout faire….

Idéale pour une activité sympathique et originale en famille ou entre amis, l’Escape Room nécessite, pour « survivre »  d’être curieux, de savoir activer ses méninges, d’être patient mais aussi et surtout de savoir communiquer avec les autres car tout est relié, même si cela ne saute pas aux yeux de prime abord. Evidemment, un peu de chance peut aussi ne pas nuire… Dans le même temps, les meubles et objets sont plus ou moins anciens et visiblement chinés, ce qui apporte une belle touche d’authenticité appréciable. En bref, il s’agit là d’une belle découverte et même la petite photo-souvenir de fin constitue un bon moment. L’accueil est vraiment excellent et le gérant sait vraiment communiquer son enthousiasme à propos de son projet ce qui donne indéniablement envie de venir découvrir les prochains scénarios... 


( Vite, Vite, Vite, Vite ! )

mardi 25 novembre 2014

I feel so close to you right now, it's a force field... (Part-3)

Une fois chez moi - après l'avoir fait patienter 2 min le temps que je planque les trucs compromettants (soutien-gorges, vaisselle sale...) - nous nous sommes posés devant la tv, un verre à la main et nous avons continué notre jeu du chat et de la souris...

Tout à commencé d'une "pichenette", un coup porté du bout des doigts qu'il m'a fait contre ma joue auquel j'ai rétorqué quasi-instantanément. S'en est suivi une sorte de bataille sur mon canapé où j'ai fini "coincé" dans ses bras et où il m'a fait un bisou fugace dans le cou, rapide et tendre à la fois. Après m'être redressé, il a fait littéralement comme si de rien n'était ce qui m'a encore plus intrigué et incité à continuer sur cette voie. Quelques minutes après, les petits coups se sont transformés en câlins prolongés qui ont fini en autre bisou dans le coup... Si je me souviens bien, c'est moi qui ait fini par vraiment l'embrasser...

Contre toute attente, il s'est révélé plus tendre que jamais comme s'il faisait attention au moindre de ses gestes... Vous vous en doutez, j'ai fini par passer la nuit à ses cotés et, même au réveil, il s'est montré très câlin et ça faisait vraiment longtemps que je n'avais pas ressenti cet étrange bien-être. Pour le coup, nous avons émergé aux alentours de 14h et je l'ai quasi-directement ramené chez lui dans un mélange de soulagement (ouf, je vais pouvoir retrouver mes esprits) et de frustration (merde, il est pas resté). Il m'a quitté en me faisant une bise d'un air hésitant comme s'il avait senti mon malaise sur le fait de ne pas savoir comment réellement se quitter. Vu qu'on ne se parle quasiment pas de la semaine, je ne sais pas si ça va se poursuivre, ou même s'il va vouloir me revoir après ça. 

Quoi qu'il en soit, je me surprends à avoir des petits papillons dans le ventre quand je repense à cette nuit passée ensemble et je croise les doigts à l'idée que ça pourrait peut-être amener un truc. Parce que malgré toutes les désillusions que j'ai connu, je n'ai pas perdu espoir. Du moins, pas encore. Et je n'aurai pas été capable d'aller aussi loin s'il ne m'avait pas vraiment interpellé... 

       « Déjà si éloignés, encore si proches, ils étaient tous les deux empruntés 
et maladroits, n’osant presque plus se regarder ou se parler. »

I feel so close to you right now, it's a force field... (Part-2)

Rapidement, ces potes nous ont quitté et nous avons pris tous les trois - à ce moment-là, je commençais déjà à regretter d'avoir emmené Valentin... - la direction du Loft, une boite réputée. Le but étant de rejoindre d'autres potes à Antoine, dont Baptiste que je commence à connaitre un peu. Ce début de seconde partie de soirée fut pour le moins bizarre étant donné que j'étais entourée de deux gars que je connaissais à peine et que je n'arrivais définitivement pas à cerner. D'un coté, Antoine (juste trop beau), qui commençait à s'énerver car nous ne retrouvions pas ces potes à l'intérieur du club plus bondé que jamais et, de l'autre, Valentin qui se montrait de plus en plus entreprenant avec moi ce qui commençait clairement à me gêner.

Après avoir passé une bonne demi-heure à chercher Baptiste et compagnie, sans succès, nous avons décidé de regagner les vestiaires histoire de récupérer nos affaires et d'abréger la soirée d'autant qu'Antoine semblait plus soûlé que jamais. Sauf que là - bim - nous sommes tombés sur une de ses connaissances, un mec survolté qui nous a directement reboosté en nous entraînant sur la piste de danse. Et là, je ne sais pas par quel miracle, mais Antoine a commencé à se lâcher, à se laisser porter par la musique et à rigoler de plus belle. Nous avons ainsi dansé comme ça deux bonnes heures et à la fin, Antoine et moi n'arrêtions pas de nous "embêter", ce qui a finit par faire fuir Valentin qui m'a sorti "Bon ben je rentre, vu que tu passes ton temps avec Antoine...".

Sur les coups de 3h45, nous avons décidé de partir à notre tout sachant que je le raccompagnais chez lui étant donné que monsieur n'a sa voiture que dans un mois. Sur le retour, nous avons discuté de tout et de rien, comme si la soirée que nous venions de vivre n'était qu'une parenthèse et que nous n'arrivions plus à reprendre pied dans la "vie réelle". Arrivés devant chez lui, Antoine m'a proposé de poursuivre la soirée chez moi histoire de prendre un dernier verre et finalement, nous avons pris la direction de mon appart. J'étais alors à la fois stressée et contente...


I feel so close to you right now, it's a force field... (Part-1)

Vous l'aurez compris d'après ce titre : je suis en proie à un énième "tourment" amoureux. 

Depuis la "phase Hugo", je suis passée par tous les stades requis de la convalescence : fixation sur le boulot, fixation sur le shopping, fixation sur la bouffe. J'ai également eu mon lot de rencards foireux pour boire un verre et basta, au cours duquel j'ai été pour le moins déçue et/ou soûlée des cas d'exceptions sur lesquels j'avais le don de tomber. Je passais alors mon temps à me répéter que rien ne clochait chez moi - ce que mes amis me confirmaient - mais je commençais sérieusement à en douter. Du coup, j'ai quelque peu abandonné mes recherches de l’Âme Sœur, avant de rencontrer par hasard Ju', soit le seul gars qui avait réussi à me chambouler un peu la tête et qui m'avait redonné confiance aux rencontres fortuites.

Malheureusement pour moi, Ju' étant déjà pris, et n'habitant plus dans la même ville que la mienne, j'ai décidé de rapidement lâcher l'affaire. Sauf qu'entre temps, j'ai appris à connaitre Antoine, un des amis qu'il m'avait présenté. Physiquement : très mignon. Mentalement : sympa, mais avec un air constamment blasé qui le rend à la fois mystérieux et inaccessible. Sauf qu'en apprenant à le connaitre, j'ai commencé à découvrir (un petit peu) ce qu'il se cachait en-dessous de sa carapace : un mec plus sociable qu'il n'en a l'air, intelligent, taquin et surtout très fêtard. Bref, il a commencé à me plaire. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Vraiment. (..) 

Petit retour en arrière de mon week-end :

Nous sommes samedi soir, il est 21h et je viens de fermer mon magasin. Le plan de la soirée est relativement simple : je file chez Max pour fêter l'anniversaire de sa copine avec le groupe habituel avant de rejoindre Antoine plus tard dans le centre-ville. La première partie de soirée fut comme je l'espérais : tranquille, conviviale et bourrée d'éclats de rires. Ainsi, nous nous sommes tous réunis autour d'un énième jeu d'alcool organisé par P. ce qui m'a donné l'occasion de renouer un peu avec Sam. J'ai également bien déconné avec Elo. ce qui a désamorcé un peu la tension qui s'était installée entre nous ces derniers temps. Et sans grande surprise, j'ai appris que Lulu et Dav' venaient de se remettre ensemble...

Dans le même temps, j'ai fait la connaissance de Valentin, un ami de Marie (la copine de Max), qui s'est révélé très mignon bien qu'un peu "gamin" sur les bords. Mais bon, à sa décharge, il vient d'avoir 20 ans... J'ai donc passé tout un moment à discuter avec lui ce qui fut assez agréable. La soirée s'est achevée aux alentours de 1h étant donné que les parents de Max rentraient de leur propre soirée. Tandis que les autres décidaient de poursuivre tranquillement la nuit chez Tonio et Amandine, je filais rejoindre Antoine - en compagnie de Valentin - qui voulait faire la fête et était motivé à l'idée d'aller en ville. Comme prévu, nous avons retrouvés Antoine et sa clique dans un square du centre, accompagné de pas mal de cadavres de bouteilles expliquant ainsi l'état d'ivresse plus ou moins prononcé de certains d'entre eux. Antoine était de loin celui qui était le plus sobre et naturellement, nous avons commencé à nous taquiner sur tout et n'importe quoi.

Chaque prétexte était bon pour charrier l'autre, rigoler ensemble et nous rapprocher... 

vendredi 21 novembre 2014

« La jeunesse, l'âge où tout est possible.. »

Au risque de passer pour une fêtarde invétérée, je le dis : j’adore faire la tournée des bars. 

Franchement, il n'y a rien de mieux pour s'éloigner un peu de la monotonie de la semaine. J'aime particulièrement le moment où l'on passe la porte, telle un rempart entre le quotidien et le monde de la nuit.. Où l'on est directement submergé par le brouhaha des rires, des musiques et des bavardages de parts et d'autres de la salle. Ces quelques secondes où l'on s'imprègne de l'atmosphère : les gens discutent à bâtons rompus, les rires fusent et l'ambiance se déguste...

Pour le coup hier soir, nous nous sommes faits un petit resto avec P., sa copine, Tonio, Amandine, JR et moi. Nous avons réellement bien mangé tout en prenant des nouvelles les uns des autres alors que ça faisait un petit moment que je n'avais pas vu certains d'entre eux. Pour le coup, P. nous a donné des nouvelles de Y., qui revient en ville courant décembre et qui ne semble définitivement pas motivé pour renouer avec Anna, ce qui n'est peut-être pas plus mal après tout. On commence tous à aborder le sujet du nouvel an vu que le temps presse pour trouver un endroit (maison, gite, salle..) qui permettrait de tous nous accueillir. D'autant qu'on serait rassurés d'avoir un plan définitif pour cette fameuse date. 

Après ça, nous sommes allés en ville rejoindre Jules et Guigui avant de faire la connaissance de Guillaume, un ami de JR qui était exceptionnellement de passage en ville dans le cadre d'une formation de quelques jours. Pour le coup, nous nous devions de lui faire visiter certains de nos Q.G préférésen dégustant les cocktails phares de chacun d'entre eux. A la base, il s'agissait alors juste de faire connaissance de manière tranquille vu que nous travaillions tous le lendemain.. Mais je ne sais pas pourquoi ni comment, mais j'ai fini plutôt ivre, à danser le Madison sur les coups de 3 heures du matin, dans un illustre pub irlandais entouré d'inconnus... Pour le coup, l'ambiance était très conviviale et Guillaume s'est révélé particulièrement sociable avec absolument tout le monde ce qui nous a permis de discuter rapidement avec des personnes qu'on n'aurait jamais abordé d'ordinaire. Bref, les soirées comme ça, il n'y a que ça de vrai... 

PS : Je viens de m'offrir le parfum en stick "Parisian Rhapsody" ... et c'est juste une tuerie ! :)

mercredi 19 novembre 2014

Oh cruelle destinée...

Finalement, on fait peut-être le nouvel an chez X. et Y.  (What ?!!)


Certes, Hugo sera en tournée mais bon, merde.
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Note à moi-même : Relax (Part.3)

A part ça, je me suis considérablement rapproché d'Antoine et de Baptiste, les potes de Ju' (qui par ailleurs est reparti pour ses études). J'ai donc passé la soirée de samedi dernier en leur compagnie, chez Antoine en compagnie d'une de leurs amies, Mélanie.
Je dois avouer que ça m'a fait un bien fou de voir de nouvelles têtes d'autant qu'Antoine se révèle tout a fait à mon gout... (je suis incorrigible, je sais). On apprend donc à se connaitre en nous taquinant virtuellement et j'espère vraiment avoir l'occasion de repasser une soirée à ses cotés. Au-delà de ça, Baptiste et lui sont vraiment des gars adorables, qui ne se prennent pas la tête et avec qui ça fait du bien de souffler..
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Autres nouvelles en vrac

1) Nous avons décidé de fêter le nouvel an avec le groupe au complet (ce qui constituera sans doute une des dernières fois vu les couples, déménagements et autres aléas de la vie qui se forment petit à petit) en louant un gite à proximité de notre ville chérie.

2) Corinne est enfin revenue de vacances ce qui me provoque un certain soulagement dans le sens où je peux de nouveau me reposer sur elle. Contre toute attente, elle a été assez satisfaite des résultats réalisés en son absence car, même si nous n'avons pas fait les chiffres escomptés, nous nous en sortons bien vu que nous sommes remontés dans "le top 5" des magasins de la région.

3) Mon père vient de retrouver un de mes livrets jeunes qui avait été totalement oublié depuis des années, j'ai donc eu la joie de rajouter 1900 euros à mon compte habituelle. J'en suis encore choquée de joie rien que d'y penser. :) 

4) Je vais incessamment sous peu me faire enlever les dents de sagesse, ce qui me fait flipper au plus haut point. D'autant que j'ai les quatre et que je déteste toute forme d'anesthésie, de plaie, ou de piqûre. Je ne suis donc pas persuadée que je survivrai à la combinaison des trois... ( !!! )

Note à moi-même : Relax (Part.2)

Histoire que vous compreniez mieux, voici un exemple de notre dernière conversation :

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Pour que vous saisissiez un peu le contexte, on essayait de prévoir un moment pour tester l'escape-room qui vient d'ouvrir dans le centre-ville. Or, vu que c'est tout récent, il faut réserver à l'avance et savoir le nombre de personnes qu'on est. A la base, on voulait le faire entre vengeurs (JR, P-A Monaco, Jules et moi) mais P-A monaco a voulu à tout prix qu'on intègre Elo. ce qui ne dérangeait aucun de nous. Sauf qu'il s'est engagé pour elle alors que manifestement elle n'en avait strictement rien a faire et ne semblait pas plus motivée que ça. 

Pourtant ils nous ont dit de réserver pour 5 avant de se rétracter en nous disant - après qu'on ait payé la résa - que finalement, Elo. travaillait ce week-end. Alors certes, j'ai rapidement trouvé un remplaçant vu que L. était vraiment intéressé mais, personnellement ça ne fait pas passer la goutte d'eau pour autant. Bref. Pour le coup, nous nous faisons la fameuse mission "escape" dimanche soir, sur les coups de 20h. Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, il s'agit d'un jeu d'évasion grandeur nature où les participants se retrouvent "enfermés" dans une pièce et ont un objectif commun : s'évader en moins de 90 minutes en résolvant les énigmes/secrets enfouis dans la fameuse pièce. 
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Note à moi-même : Relax (Part.1)

J'avoue, je suis moins bavarde en ce moment... Honnêtement, j'ai du mal à trouver l'envie d'écrire. 

Je n’ai plus la motivation pour me caler devant l’écran et laisser les mots se poser tranquillement. Pourtant quand je blogue ça n’a rien d’un tour de force. Je me pose, je laisse les mots se déverser sans trop réfléchir, instinctivement. Je relis pour corriger les fautes et les lourdeurs, j’associe à ça une illustration sympatoche, et zou, c’est publié. Je suis une blogueuse tranquille quoi. J’aime les mots simples, authentiques et sans détours. J’aime quand ça me représente : instinctive et entière.

Mais voilà, depuis quelques semaines, j'ai un peu perdue l'inspiration. Quoi raconter ? Et Qui raconter ? Et comment ? Quel angle donner à mes récits ? Pour quelqu’un d’instinctif je me pose souvent beaucoup trop de questions... Peut-être parce que ce blog m'a apporté ce que j'attendais : la tranquillité d'esprit, le recul sur moi-même dont je manquai et qui fait qu'actuellement, je n'ai plus besoin de mettre noir sur blanc mes petits émois pour trouver le courage de les affronter. Peut-être que c'est ça la maturité ? (après tout, je viens quand même d'avoir 23 ans, haha). J'ai donc décidé de continuer ce blog en faisant des articles de manière occasionnelle, sans me forcer à tenir le rythme quotidien d'un journal intime. En gros, je vais lâcher du lest.

Quoi qu'il en soit, ma situation amoureuse est toujours plus ou moins la même, si ce n'est que je me rends définitivement compte que le "cas Florian" n'est qu'une lubie et qu'il n'est en aucun cas l'homme de ma vie. Ce que je prenais comme des attentions mignonnes il y a encore quelques temps, me donnent un sentiment d'étouffement aujourd'hui. Comme si je me "devais" de le voir toutes les semaines histoire de contenter "monsieur" de ma présence. Sauf qu'en ce moment je suis un peu en mode asociale. Déjà Elo. et Lulu m'énervent toujours autant avec leur manière de penser, d'agir et de juger le monde entier et, cerise sur le gâteau, je découvre petit à petit certains cotés de P-A Monaco qui m'irritent d'autant plus

Je me rends compte qu'au-delà de ces belles paroles, il n'est pas capable de se remuer et attend que les autres fassent constamment tout à sa place... 

    samedi 15 novembre 2014

    Et puis pourquoi se justifier l'amour ne s'explique pas...


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    " A tous ces gens qui vivent par amour,
    A tous ceux qui se perdent par amour,
    A tous ces cœurs qui tiennent par amour,
    A toutes ces femmes qui restent par amour,
    A tous ces hommes qui s'cachent par amour,
    A toutes ces vies gâchées par amour,
    A tous ces gens qui crèvent par amour
    & à tous ceux qui survivent par amour..."
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    Bon, je reste malgré tout une loveuse dans l'âme. 


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