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lundi 1 décembre 2014

Join The Mockingjay... (Part.2)

Comme vous vous en doutez, j'ai donc couru regardé le nouvel épisode de la saga quelques jours après sa sortie officielle, en compagnie d'Alex'.

Que dire de ce troisième film ? Pour une réussite, quelle réussite ! Il m'aura fallu près de douze heures après la projection du film, pour en sortir enfin, mais avec pour seule envie, de le revoir déjà. Ce troisième volet ne souffre d'aucune imperfection et annonce un épisode final d'anthologie ! Il s’agit là d’une première partie plus sombre et plus intense que les premiers HUNGER GAMES. Un film toujours aussi rythmé où Katniss Everdeen dévoile ses ailes et devient le geai moqueur de la rébellion. Dans cet opus, le temps est à la politique, à la communication, et cette partie de l'histoire est en totale rupture avec le reste puisqu’elle illustre un moment suspendu dans lequel chaque clan prépare la bataille finale.

On sent dans chaque scène, l'envie du réalisateur de livrer en finalité, un produit qui ne soit pas qu'une adaptation mielleuse et sans risque mais une véritable œuvre de cinéma. Tout est soigné, les décors, les costumes, la musique, le montage, et donnent à l'ensemble cette qualité quasi parfaite. Encore une fois, la meilleure réussite de cette adaptation, c'est elle, la grande, la sublime, la parfaite, Jennifer Lawrence. Personne n'aurait pu livrer une meilleure Katniss qu'elle ne le fait. Elle a le talent extraordinaire de ne pas interpréter mais d'incarner à la perfection, dans chaque geste, chaque regard, chaque souffle son personnage. Mention spéciale à Josh Hutcherson qui joue un Peeta qui sombre peu à peu dans la folie du désespoir et de la peur.

Plus qu'à patienter pendant un peu moins d'un an maintenant avant de voir sur écran l'épisode final qui se promet épique ! En attendant la chanson du film, réunissant les districts en chœur face au Capitole, me laisse encore des frissons… 
« Veux- tu, veux-tu, au grand arbre me trouver ?
Le collier de l'espoir, tu portes à mes côtés
Des choses étranges s'y sont vues moi j'aurais aimé
A minuit, te voir, à l'arbre du pendu »