On retiendra : les virées au Mcdo d'Avranches (avant et après la soirée), les shooters exceptionnels préparés par Matthieu (un pote de P-A Monaco qui tient son propre bar), les retrouvailles avec Kevin H (toujours aussi délirant et expansif), les 6 bouteilles de whisky commandées et durement englouties, des rencontres vraiment sympas (Martin et Patate), ma première visite dans un casino qui a donné lieu à de l'argent perdu dans des machines à sous et à mon apprentissage des règles du Black Jack, une vue imprenable de la plage via une terrasse VIP, un groupe musical vraiment sympa, un kilomètre et demi de marche pour rejoindre l’hôtel, un arrêt de bus renversé, un rétro volé, une nuit agitée par l'alcool et un réveil plus que difficile...
Le lendemain fut tout aussi mouvementé vu que nous nous sommes tous retrouvés à prendre le petit-déjeuner chez Kevin, en compagnie d'une bonne partie de sa famille qui était là par hasard et qui nous a limite forcé à reprendre de l'alcool aussitôt arrivés. Après avoir refusé 2 fois la lampée de whisky que me proposait son père, je me suis décidée à accepter de goûter son calva entre deux pains au chocolat histoire de montrer un minimum de courage (ce qui a donné un résultat particulièrement horrible en bouche). Nous avons donc repris le chemin du retour bien plus tard que prévu, par les petites routes de façon à apercevoir le Mont-Saint-Michel en passant par les lieux qui ont marqués l'enfance de P-A Monaco. Sur un coup de tête, les gars m'ont proposé de nous arrêter prendre un café chez mon père vu qu'on était sur la route...
Lucky me, il n'était pas là, d'autant que je n'avais pas spécialement envie de le voir vu l'état dans lequel j'étais. Continuant sur notre lancée, nous avons finalement décidé de nous poser chez JR, afin de prendre ce fameux café (on en avait tellement besoin !) et un goûter (on s'était arrêté au préalable dans une boulangerie) avec ses parents qui se sont révélés vraiment adorables. JR avait alors prévu de retrouver ses cousins de passage en ville, pour aller se faire des tours de kartings, non loin de là. Toujours dans l'impulsion du moment, nous avons suivi le mouvement et, après quelques parties de baby-foot pour "patienter", nous sommes entrées en piste pour deux tours de 10 minutes qui se sont révélés très très mouvementés (sauf Jules qui était bien trop dans le mal pour se mettre au volant de quoi que ce soit). Et là encore, on a juste profité à fond...
" Hey hey heyBa de ya, say do you remember?
Ba de ya, dancing in September
Ba de ya, never was a cloudy day "