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mercredi 19 novembre 2014

Note à moi-même : Relax (Part.1)

J'avoue, je suis moins bavarde en ce moment... Honnêtement, j'ai du mal à trouver l'envie d'écrire. 

Je n’ai plus la motivation pour me caler devant l’écran et laisser les mots se poser tranquillement. Pourtant quand je blogue ça n’a rien d’un tour de force. Je me pose, je laisse les mots se déverser sans trop réfléchir, instinctivement. Je relis pour corriger les fautes et les lourdeurs, j’associe à ça une illustration sympatoche, et zou, c’est publié. Je suis une blogueuse tranquille quoi. J’aime les mots simples, authentiques et sans détours. J’aime quand ça me représente : instinctive et entière.

Mais voilà, depuis quelques semaines, j'ai un peu perdue l'inspiration. Quoi raconter ? Et Qui raconter ? Et comment ? Quel angle donner à mes récits ? Pour quelqu’un d’instinctif je me pose souvent beaucoup trop de questions... Peut-être parce que ce blog m'a apporté ce que j'attendais : la tranquillité d'esprit, le recul sur moi-même dont je manquai et qui fait qu'actuellement, je n'ai plus besoin de mettre noir sur blanc mes petits émois pour trouver le courage de les affronter. Peut-être que c'est ça la maturité ? (après tout, je viens quand même d'avoir 23 ans, haha). J'ai donc décidé de continuer ce blog en faisant des articles de manière occasionnelle, sans me forcer à tenir le rythme quotidien d'un journal intime. En gros, je vais lâcher du lest.

Quoi qu'il en soit, ma situation amoureuse est toujours plus ou moins la même, si ce n'est que je me rends définitivement compte que le "cas Florian" n'est qu'une lubie et qu'il n'est en aucun cas l'homme de ma vie. Ce que je prenais comme des attentions mignonnes il y a encore quelques temps, me donnent un sentiment d'étouffement aujourd'hui. Comme si je me "devais" de le voir toutes les semaines histoire de contenter "monsieur" de ma présence. Sauf qu'en ce moment je suis un peu en mode asociale. Déjà Elo. et Lulu m'énervent toujours autant avec leur manière de penser, d'agir et de juger le monde entier et, cerise sur le gâteau, je découvre petit à petit certains cotés de P-A Monaco qui m'irritent d'autant plus

Je me rends compte qu'au-delà de ces belles paroles, il n'est pas capable de se remuer et attend que les autres fassent constamment tout à sa place...