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dimanche 1 mars 2015

Une soirée chez Antoine... (Part.1)

Oui, oui, vous avez bien lu il s’agit bien DU Antoine. LE mec qui m'avait retourné la tête, LE mec aux mille et une complications, LE mec qui m’a déçu plus d’une fois en un temps record... Bref. 
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Tout est parti d’une conversation par sms, où il est revenu vers moi, sans raison particulière :

Antoine : Coucou J
Moi : Hey, tu vas bien ?
Antoine : Cava, tu fais quoi ce soir ?
Moi : Je sais pas encore, peut-être aller boire un verre en ville, mais rien n’est encore sur. Toi ?
Antoine : Haha dacc. Ben j’ai ma maison là donc si tu veux passer J 
Antoine : Après j’ai match tôt demain donc ça fait chier..
Moi : Carrément J Tu peux me rappeler l’adresse par contre ? Monsieur ne devra pas se coucher trop tard attention ^^.
Antoine : Ouais ça fait chier putain. Tiens (il me donne l'adresse..).
Antoine : Et bon courage pour le taf, plus que 45 minutes… 
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Quoi qu’il en soit, l’occasion était trop belle pour faire la fête et picoler comme il se doit (2015 a été plutôt sage de ce côté-là, pour l’instant), tout en changeant un peu de la clique habituelle. Le but ultime étant évidemment de lui montrer que de l’eau était passée sous les ponts depuis la dernière fois et qu’on pouvait se voir en toute amitié… Ben, ça n’a pas loupé. Je le dis et le re-redis : je pense que les mecs ont un radar secret qui leur permette de lancer un processus « alerte rapprochement » s’ils sentent que l’on se désintéresse d’eux. 

Je suis donc arrivée chez lui hier soir, sur les coups de 22h15… 

Je me suis rapidement rendue compte que 1/ Il est toujours aussi canon (franchement ça devrait être interdit d’être aussi sexy en jogging), 2/ Nous sommes toujours dans le même délire et 3/ Je ne connaissais absolument personne à part lui. Aucun des potes communs qu’on a via Thibaut, aucun des amis qu’ils m’avaient déjà présentés, rien, que dalle, nada. Même pas Baptiste (moi qui commençait à me demander s’ils étaient siamois...). Nous étions 8, dont 3 que je connaissais « de vue », étant donné que nous avons grandi dans la même commune campagnarde où absolument tout le monde se connait (il faudra que je vous en parle un jour). Et c’est bien simple : j’ai accroché avec tout ce petit monde et je n’ai réellement pas vu le temps passer...