Pages

jeudi 26 mars 2015

Now she’s stronger than you know...

Il y a des premières fois à tout…première fois où tu le revois après cette rencontre, première fois où tu sens vos doigts se frôler, première fois où ton cœur loupe un battement à le regarder sourire... Puis vient le début du début, le premier baiser avec lui, le chatouillis dans le bas ventre… 

Et il y a les autres premières fois. La première grosse déception, le repli, la méfiance, tu t’emballes moins, tu souffres moins. CQFD. Je voudrais pouvoir retrouver cette sensation de laisser-aller complet avec quelqu’un... Je ne veux plus être un second choix, je ne veux plus être la fille d’une soirée, d’une aventure. Je voudrais être CETTE fille. 

Celle pour qui le gars se démène. Celle qu’il aurait peur de perdre.


mardi 24 mars 2015

Printemps du cinéma, here we go !

Enfin, le printemps du cinéma. Comprenez par-là 3.50 euros dans tous les cinémas, pour tous les films et toutes les séances du 22 au 24 mars... 

C'est un événement que j'aime beaucoup et j'en profite toujours pour enchaîner plusieurs films à la suite... Ainsi, mon petit marathon a commencé dimanche avec ma mère et son copain, qui étaient de passage en ville pour voter. (oui, ma mère ne s'est toujours pas inscrite sur les listes électorales de sa propre ville). Nous en avons donc profité pour nous voir autour d'un fameux resto-ciné, en famille, où nous avons découvert "Un homme idéal" avec le magnifique Pierre Niney, qui décidément m'émerveille de son talent à chacun de ses rôles. 

Et, en toute objectivité, j'ai juste adoré. Le film raconte l'histoire d'un passionné de littérature qui devient célèbre en recopiant le journal intime d'un défunt, et qui va finir par basculer dans une spirale du mensonge sans retour. Le point de vue est en permanence ultra-subjectif, sur Mathieu Vasseur, excellement interprété par un Pierre Niney totalement possédé par son personnage. On passe alors de l'homme hésitant et faible, en panne d'inspiration et plagiant un journal de guerre, à celui dépassé par les événements, devenu féroce et machiavélique dans le calcul de ses actes. Tout se fait très doucement de fil en aiguille par l'arrivée insidieuse de malentendus et de mauvais choix surmontés d'une bonne dose de malchance. On s'attache à ce héros somme toute malfaisant, et on se demande s'il va payer le prix de ses actes et jusqu'où il ira... Et le suspense se joue en partie autour de ces questions. Et finalement, à défaut d'avoir écrit son premier roman, sa propre vie finit par devenir un roman... Un grand film français comme on ne faisait plus depuis trop longtemps qui vous tient en haleine du début à la fin. Un film qui interroge sur ce que chacun est prêt à abdiquer pour réussir ses rêves et sa vie. 

Aujourd'hui, jour de repos, P-A et moi avons bloqué notre soirée pour enchaîner à nouveau deux films à l'affiche : "La Famille Bélier" (ou LE film familial dont tout le monde parle en ce moment) et "The Lazarus Effect", un thriller horrifique avec Evan Peters, un de mes petits chouchous d'American Horror Story...

Bref, je vous laisse, j'y vais...


PS : J'ai parlé brièvement à Antoine aujourd'hui...

I'm dying to see how this one ends... (Part.2)

En parlant d'Antoine, je ne cesse de penser à lui : son regard, sa voix, sa manière qu'il a eu de m'attirer contre lui avant de m'embrasser... Sans grande surprise, je n'ai pas de nouvelles. 

En revanche... Jordan est revenu vers moi, et se révèle aussi taquin qu'entreprenant. J'ai l'impression de revenir un an en arrière quand j'avais rencontré Florian à la soirée d'Hugo, qui s'était montré beaucoup plus audacieux, joyeux et accessible. Ce qui, comme vous le savez, avait fini par me détourner quelque peu de ma cible initiale. Et j'ai tellement peur que la situation se reproduise, si vous saviez... Pourquoi quand le mec que je kiffe m'invite à l'une de ses soirées, il finit par m'ignorer en laissant un de ses potes s'occuper de moi ? Et pourquoi, comme par hasard, ce fameux pote se trouve être beau, charmant et drôle ce qui a le don de m'embrouiller dans mes sentiments ? Et pourquoi le mec qui me plait à la base s'amuse toujours à faire le mort ?! 

Sans grande surprise, Jordan me propose de nous revoir en tête-à-tête pour officiellement "prouver qui de nous deux tient le mieux l'alcool". Qu'est-ce-que je suis censée faire ? Attendre qu'Antoine se décide un jour, quitte à laisser-passer l'occasion de peut-être vivre une belle histoire avec un mec qui me plait et qui sait ce qu'il veut ? Ai-je encore la force de me battre pour un mec que je n'aurais peut-être jamais ? Vous savez, la jeune femme que je suis maintenant recherche un mec avec qui elle se sente bien. Et tant mieux si on est différents et qu’on n’aime pas les mêmes choses. Je préfère un homme moins délicat mais tout attentionné parce qu’il tient à moi qu’un type qui va me jouer la carte du mystère pendant des mois sans que je sache ce qu'il veut vraiment. Du coup, je me laisse le week-end pour décider si j'accepte ou non l'invitation de Jordan en donnant la chance à Antoine de revenir vers moi d'ici-là...

Enfin, cerise sur le gâteau, Florian m'a également renvoyé quelques messages pour savoir comment c'était passé mon week-end et pour me proposer de nous revoir dans la semaine. Quand est-ce-que ma vie sentimentale a pris une tournure si dramatique ? Je n'en sais foutrement rien... 

... TO BE CONTINUED ...

I'm dying to see how this one ends... (Part.1)

Je dois avouer que ça fait vraiment bizarre de reprendre le boulot après deux longues semaines de "time off"(1 d'arrêt-maladie et 1 de congés payés)...  

Pourtant, ça m'a vraiment fait plaisir de remettre les pieds au magasin : retrouver les collègues, se mettre à jour sur les objectifs, découvrir les nouveaux modèles, sympathiser avec les clients... Ça m'a presque manqué finalement. En parlant de ça, j'ai miraculeusement été rappelée par la chargée de recrutement de la semaine dernière (blague graveleuse, remember).... et j'ai réussi à décrocher un entretien pour lundi prochain ! Vous n'imaginez même pas à quel point ce retournement de situation m'a fait plaisir, même si j'ai un pincement au cœur rien qu'à l'idée de quitter mon environnement actuel. Mais le goût du changement et la perspective même d'un CDI m'enchante au plus haut point. Enfin, j'aurai la "sécurité" de l'emploi, la possibilité de me prendre un appart plus grand, et de cocher une des choses à accomplir avant mes 30 ans. Bref.

A part ça, les amis de S. et Kevin m'ont rajouté dans leur groupe secret sur Facebook sur lequel ils prévoient leurs soirées, comme pour me montrer que je faisais désormais partie de leur petite bande. Je dois admettre que j'ai été très touchée par cette attention, d'autant que j'ai hâte de remettre ça avec eux. Puis, je dois avouer que ces dernières semaines, je ne me sens pas spécialement à ma place dans mon "groupe" habituel... Je ne sais pas si c'est la routine, le comportement aléatoire des filles ou le fossé entre les couples et les célibataires qui se creusent de plus en plus... Mais je me rends compte que mes potes habituels sont souvent dans le jugement, ce qui n'est pas forcément bon pour moi (et ce, malgré toute l'affection que j'ai pour eux). Je ne supporte plus leurs affreux « Alors ?! », qui les autorisent à faire un bilan de ma vie en trois questions. D'autant que, dans la plupart des cas, leurs yeux finissent par me dire « tu n’as pas avancé », au mieux avec inquiétude, au pire avec mépris. 

Et, je n'ai retrouvé ce sentiment ni avec la bande de S., ni avec le groupe d'Antoine, ce qui m'a confirmé mon besoin de m'éloigner quelques temps et de changer un peu d'air...


lundi 23 mars 2015

L'art d'avoir le cul entre deux chaises... (Part.4)

J'ai donc repris la route sur les coups de 2h pour débarquer chez lui une heure après. 

J'ai notamment retrouvé K. et Jordan, et ce dernier s'est révélé particulièrement entreprenant à mon égard (ce qui ne m'aurait absolument pas dérangé si j'étais pas à fond sur son pote). Antoine a rapidement commencé à s'endormir sur son canapé et, même si j'étais un peu déçue, ça ne m'a pas empêché de passer un très bon moment. J'ai bien bu, bien rigolé et appris à connaitre davantage ses amis qui sont bels et bien des fêtards invétérés. Pour le coup, j'ai passé quasiment tout mon temps avec le fameux Jordan et 2/3 de ses potes avec qui j'ai eu de bons délires. Je suis ainsi rentrée chez moi sur les coups de 5h, totalement crevée et, à ma grande surprise, Antoine m'a envoyé un message qui m'a confirmé son ivresse intérêt à mon égard.... 
_________________________________________________________________________________

Antoine : Partie du coup ?^^
Moi : Oui :)
Antoine (faisant l'idiot) : Ah ^^
Moi : Ah ? ^^
Antoine : Je savais pas du coup ^^ Je vais me coucher moi, je suis K.O.
Moi : Dac, la même, j'en peux plus.
Antoine : Grave, le bonheur.
Moi : M'en parle pas, je galère à rentrer chez moi !
Antoine : Obligée de revenir chez moi, c'est ça ? :p
Moi : J'ai jamais dit ça ^^
Antoine : Je sais, je t'embête.
Moi : Tu m'énerve ^^. Ca va se payer ça ! J'espère que tu culpabilise...
Antoine : Bah oui... je t'aurai bien mis quelques pichenettes ^^
_________________________________________________________________________________

Alors, oui, vous devez vous demander... Florian ? Antoine ? Florian ? Antoine ? Tout cela est confus, même si ma préférence va au plus inaccessible des deux. Je me suis surpris hier aprem à ressentir le manque d'Antoine alors que nous nous étions quittés le matin-même. Je suis sûre que je rougis quand je lui parle, j’ai l’impression d’être gauche et de ne pas savoir quoi dire en sa présence. Il me fait un effet fou. Pourtant je ne connais quasiment rien de lui... Et de l'autre coté, il y a Florian, qui serait vraiment prêt à se poser avec moi et à essayer de se calmer sur de nombreux points pour tenter de construire quelque chose de plus sérieux. Quoi qu'il en soit, je ne regrette en rien mon week-end peuplé de rencontres plus délirantes les unes que les autres...

Après tout, je suis célibataire...


L'art d'avoir le cul entre deux chaises... (Part.3)

Samedi : Je l'avais pour moi toute seule et il m'avait fait comprendre une bonne fois pour toutes qu'il voulait aussi passer plus de temps avec moi. Je lui ai donc resservi un dernier verre tandis que nous apprenions à nous connaitre davantage. J'ai alors réalisé avec plaisir, qu'il s'était bien renseigné sur Facebook : il sait que j'ai un petit frère, que j'ai été à Disney cette semaine, il a retenu les surnoms que me donne Audrey...

Je lui ai alors proposé, comme convenu précédemment, de faire une sieste histoire de nous reposer un peu. Une fois dans le lit, nous avons continué à nous chercher, à nous taquiner, à nous faire des "pichenettes" jusqu'à ce qu'il m'attire contre lui et qu'il finisse par m'embrasser. Là encore, la situation a "dégénéré" et j'ai passé un moment vraiment magique. (Et là, vous vous dites que suis grave et vous avez bien raison !). Nous nous sommes ainsi réveillés sur les coups de 13h, et je l'ai rapidement ramené chez lui étant donné que nous avions tous les deux des choses de prévues. Je me suis rendormie quelques heures, je me suis douchée et j'ai mangé rapidement avant de prendre la route pour rejoindre KevinS. et leurs potes chez Ben. Et je ne sais pas si c'est l'air marin, la fin de mes vacances ou le plaisir d'apprendre à connaitre de nouvelles personnes, mais j'ai passé une super soirée. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas éclatée comme ça.

Kevin s'est révélé être un show-man hors-pair qui nous a livré une danse endiablée sur "Pump it" des Black Eyed Peas, nous rendant tous hilares. Dans le même temps, tout le monde a cherché à faire connaissance avec moi ce qui a donné lieu à des discussions plus sympas les unes que les autres et à de nombreux éclats de rire. J'ai notamment passé toute une partie de la soirée avec Malo, un jeune cuisinier de 20 ans tout en humour et en gentillesse. Sur les coups de minuit, Antoine m'a envoyé un message pour me prévenir qu'il faisait une soirée chez lui avec ses potes et que la porte était, encore une fois, grande ouverte... 


L'art d'avoir le cul entre deux chaises... (Part.2)

Miraculeusement, nous n'avons loupé que 10 minutes de film... 

Et ses amis avaient pris soin de nous garder des places entre eux. Pendant l'entracte, j'ai donc discuté avec tout ce petit monde et ils se sont tous révélés super sympas. J'ai notamment fait la connaissance d'un certain Ben qui m'a invité à passer le lendemain à sa soirée - qu'il faisait en compagnie des mêmes personnes - dans sa "résidence secondaire" se situant en bord de mer. Le but étant de picoler devant le coucher du soleil en admirant le spectacle des grosses marées bretonnes et des vagues qui allaient avec. Evidemment, l'occasion était trop belle et j'ai accepté avec grand plaisir. Et après le cinéma, nous sommes tous allés au Mcdo du coin avant de nous poser une petite heure chez Kevin. C'est alors que j'ai vu que j'avais un message... d'Antoine.

Celui-ci me proposait de passer chez Baptiste qui faisait une soirée chez lui avec quelques potes. Quasi-directement, je me suis sentie mi-excitée, mi-stressée et je lui ai expliqué la situation comme quoi je n'étais pas en ville et que je ne serai de retour que dans une quarantaine de minutes. Il m'a expliqué qu'ils ne seraient pas couchés et que je pouvais toujours les rejoindre si le cœur m'en disait. Evidemment, j'ai rapidement dis au-revoir à tout le monde, en promettant d'être là pour la soirée du lendemain, et j'ai couru rejoindre Antoine. Encore une fois, je me suis retrouvée chez Baptiste en compagnie d'une bande de potes que je ne connaissais à peine. Mais là-bas aussi, les gars m'ont tout de suite intégré et nous avons commencé à boire quelques verres en discutant tranquillement. Antoine s'est posé à coté de moi, tandis que j'essayais de faire la "fille normale" comprenez, celle qui fait genre de ne pas être troublée quand elle croise son regard. 

Rapidement, il s'est amusé à me taquiner sur tout et n'importe quoi alors que je prenais un malin plaisir à rentrer dans son jeu. Aux alentours de 4h, la mère de Baptiste s'est réveillée et la soirée a commencé à partir sur sa fin jusqu'à ce qu'Antoine me propose, devant tout le monde, de faire un after chez moi. L'occasion de passer plus de temps avec lui m'a fait passer outre ma fatigue et m'a fait accepter son idée. Nous avons ainsi débarqués chez moi à 4 ; Jordan, K., Antoine et moi. Et alors que je pensais que la soirée allait rapidement se terminer, nous avons parlé de tout et de rien jusqu'à 9h30 du matin, en continuant de vider les quelques bouteilles qui nous restaient. La fatigue finissant par faire surface, Jordan et K. ont fini par rentrer tandis qu'Antoine décidait de rester "boire une dernière bière"...

A mon plus grand bonheur, nous étions enfin seuls...

Coucher de soleil breton.

L'art d'avoir le cul entre deux chaises... (Part.1)

Ces derniers jours ont été hallucinants, géniaux et particulièrement mouvementés. Et ça faisait bien longtemps que je n'avais pas autant profité d'une période de vacances. 

Jeudi : Soirée film/chicha, chez moi, en compagnie de F, S. et Kevin (son copain) que j'ai appris à connaitre, étant donné que je ne l'avais rencontré qu'une seule fois. Nous avons tous passés un très bon moment, et je dois avouer que Kevin s'est montré aussi sociable qu'adorable. Il m'a notamment invité à une soirée-cinéma le lendemain soir, avec S. et leurs amis communs, que je ne connaissais pas du tout... En effet, le Cinéville de périphérie proposait un visionnage 2 en 1 des films "Divergente" et "Divergente : l'insurrection"ce qui était parfait étant donné que je ne connaissais pas du tout la saga et que l'histoire me tentait bien. J'ai donc accepté l'invitation avec plaisir en ne sachant pas vraiment à quoi m'attendre... 

Vendredi : Cet aprem-là, j'ai revu Florian. Depuis le temps, je dois avouer que ça m'a vraiment fait plaisir. Et, comme une vieille habitude, la situation a ENCORE dégénéré. Pour la première fois, c'est lui qui est venu chez moi, ce qui a changé de notre cadre habituel. Nous nous sommes posés devant un film, en discutant de choses et d'autres et plus le temps passait, plus on se rapprochait... Au bout d'une heure et demie, il m'a dit qu'il avait envie de m'embrasser mais qu'il avait commencé à voir une fille et qu'il devait se retenir. Bizarrement, j'ai mal vécu cette confession qui s'est révélée aussi inattendue que vexante. Je ne sais pas pourquoi, après tout, on ne se doit rien. Mais j'ai senti mon cœur battre plus fort et je me suis automatiquement éloignée de lui, feignant alors de me concentrer sur le film. Pourtant, quelques minutes après, il se blottissait contre moi, oubliant ses bonnes intentions et, avant même de réaliser ce qu'il se passait, nous étions en train de nous déshabiller mutuellement et de nous laisser-aller à nos envies. 

Et je dois avouer que ça valait le coup... J'en ai carrément oublié l'heure, ce qui m'a mise dans un retard monstre pour retrouver S. chez elle, vu que je m'étais proposer de l'emmener au ciné. Pour le coup, j'ai déposé Florian en speed à un arrêt de tram tandis que je peinais à reprendre pied dans la réalité. J'ai directement rejoint S. et je dois avouer que ça m'a fait vraiment plaisir de passer du temps rien qu'avec elle. Dans le même temps, le trajet jusqu'au cinéma qui ne devait prendre "que" 15 min a finalement duré trois-quarts d'heure étant donné qu'il y avait un accident sur la route. Toujours optimistes, nous nous amusions à nous apitoyer sur notre poisse légendaire tandis que nous priions pour ne pas arriver trop en retard entre deux éclats de rire... 


vendredi 20 mars 2015

Rêve ta vie en couleurs, c'est le secret du bonheur...

A part ça, je reviens juste d'une escapade féérique au royaume magique... Disneyland Paris ! 

Nous sommes partis avec P-A, sur un coup de tête, du mardi matin au mercredi soir ce qui nous a permis de profiter des deux parcs comme il se doit. Nous avons eu beaucoup de chance car il y faisait un temps magnifique, et, semaine oblige, il n'y avait quasiment pas d'attentes aux attractions ! Ca nous a permis de tout tester, et même de refaire plusieurs fois celles qui nous avaient le plus marqué , tout cela sans se presser (6 fois pour le Rock'n'Roller Coaster, 3 fois pour la Tour de la terreur, 3 fois pour Indiana Jones...).

Dans mes préférences il y a eu aussi Némo,, It's a small world, Le train de la mine, Peter Pan, Buzz l'éclair, la visite du château, le labyrinthe d'Alice... J'ai ainsi découvert le parc Studio pour la première fois, c'est un lieu réellement magnifique. Les 2 parcs sont parfaits de toute façon : les décors, l'ambiance, les attractions, j'aime tout :) Nous étions comme des gamins, des étoiles plein les yeux.  De plus, nous avons eu le privilège de tomber en plein dans la période où le parc se mettait aux couleurs du printemps : il y avait des fleurs partout !


C’était la première fois que je venais au parc lors d’un thème spécial et j’avoue que c’était vraiment magnifique. Il y a eu également le spectacle de nuit, Disney Dreams, qui fut vraiment superbe d'autant qu'on a eu le droit à un double feu d'artifice : un pour la Saint-Patrick et l'autre pour le spectacle habituel, qui m'a rappelé plein de souvenirs des nombreux dessins animés qui ont marqué mon enfance. J'ai beau avoir 23 ans, j'ai été enchantée par cet univers (autant que ma première visite en 1999 !) et je crois que je ne m'en lasserais jamais. J’avais oublié à quel point aller à Disneyland Paris faisait du bien... Et à l'heure d'aujourd'hui, j'ai encore du mal à m'en remettre. D'abord physiquement, j'ai mal partout, et puis mentalement... mon esprit est encore là-bas.

Malgré la fatigue, je reviens gonflée à bloc. C’est peut-être cela que l’on appelle la magie de Disney, être capable de s’émerveiller peu importe son âge...

« L'enfance trouve son paradis dans l'instant. 
Elle ne demande pas du bonheur. Elle est le bonheur. »

... Holiday Time ! ...

Salut mes troubadours préférés !

[ Je me rends compte que je n'ai jamais commencé un billet en disant bonjour... A quel moment le monde est devenu si impoli, je me le demande. Bref ! ]

Vous n’êtes pas sans savoir que je me suis (re)mise en mode recherche active du Graal tant convoité de notre génération : un CDI, temps plein, correctement rémunéré... Autant vous dire que la mission semble plus que périlleuse. Pourtant, il y a quelques jours, je suis tombée sur THE annonce parfaite qui respectait tous mes critères et plus encore... Il s'agirait de travailler pour une marque d'épicerie fine assez haut-de-gamme spécialisé dans les thés, située en plein centre-ville. L'avantage majeur étant qu'au lieu de finir à 21h (horaires de galerie oblige), je finirai maximum à 19h. Autant vous dire que rien que ce point-là me fait kiffer au plus haut point. Et contre toute attente, mon CV a réussi à capter leur attention étant donné qu'on m'a rappelé très rapidement... 

Mais, (oui il y a un "mais" indéniable), j'ai fait l'erreur ultime d'accepter un entretien téléphonique surprise, sans préparation d'aucune sorte. Or, mon stress et mon malaise téléphonique m'ont fait commettre une bourde monumentale : oser l'humour graveleux. N’allez pas me demander pourquoi mais j’ai osé conclure l’échange avec la chargée de recrutement par un « Ce fut bref mais intense ! ». OMG OMG OMG. Pourquoi j'ai dit ça ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?! Je ne sais pas, j'étais pas à l'aise et en même temps étonnée que l'entretien se termine si rapidement même si, dans le fond, je n'avais pas été si nulle que ça. Mais bon, apparemment ils vont revenir vers moi donc je croise les doigts, en espérant ne pas être passée pour une psychotique perverse. En tout cas, une chose est sure et certaine : la prochaine fois, je garderai ma langue dans ma poche...  

A part ça, je profite comme il se doit de mes derniers jours de vacances et ce début de semaine fut particulièrement réussie, et lundi soir, j'ai enfin revu Yoann. Nous avons été boire quelques verres en ville et comme à notre habitude, nous avons passé un super moment. Je me dis que j'ai vraiment de la chance d'être toujours en contact avec mon plus vieil ami d'enfance. 20 ans d'amitié, de rires, de taquineries, de maladresses, de confidences... c'est exceptionnel. On peut à la fois évoquer des souvenirs d'enfance, partir en délire sur les mésaventures de nos quotidiens respectifs et aborder des sujets plus sérieux en nous confiant l'un à l'autre. Oui, cette année, je passe du temps avec mes vrais amis, ceux qui sont toujours là et qui ne m'ont jamais lâchés.

Je ne gaspillerai plus mon temps à courir après ceux qui n'en valent pas la peine.


lundi 16 mars 2015

I can't believe what I did for love... (Part.3)

Elle était plus qu'amoureuse de lui, elle était dépendante. Comme si sa vie n’avait de sens que s’il en faisait partie, comme si sa vie d’avant jamais existé...

Elle n’arrivait pas à se l’expliquer, mais ce garçon était devenu la chose la plus précieuse et importante de sa vie. Cette relation était unique et n’arrivait qu’une fois dans une vie. Mais, il restait intouchable. Il était impossible à cerner. Elle se demandait sans cesse qui il était, mais cette question creusait un gouffre si profond en elle qu’elle devait très vite se rassurer en se disant qu’il était ce garçon fragile, en manque d’amour qu’elle seule voyait. Pourtant, ses amis et sa famille l'alertaient de plus en plus. Elle déprogrammait tout à la dernière minute pour passer ne serait-ce que quelques heures avec lui, elle quittait les soirées précipitamment pour courir le rejoindre dès qu'il daignait lui manifester son envie de la voir. 

Au bout d'un moment, plus personne - pas même ses plus proches amis - n'osait lui dire quoi que ce soit. Aucun d’entre eux ne le connaissaient vraiment – comment pouvaient-ils le juger ? Tout ce qui ne marchait pas avec lui la plongeait dans un puits de souffrances psychologiques terribles, mais tout ceci était contrebalancé en permanence par de brefs moments de joie, d’excitation, de communion intenses – quelque chose qu’elle pensait n’avoir jamais connu avant et dont elle ne pouvait plus se passer. Puis ce qui devait arriver arriva : il parti à l'étranger comme prévu. Du jour au lendemain, plus rien. Elle était seule, accablée par une profonde tristesse, une nostalgie et une mélancolie qu’elle n’avait jamais ressenti aussi fortement. Elle ne se reconnaissait plus. Elle ne savait plus ce qu’elle voulait. Sans lui comme miroir, elle ne savait plus qui elle était... Heureusement, tous ses amis et sa famille se sont rassemblés autour d'elle.

Pour tenter de lui faire retrouver le sourire, la sortir du trou dans lequel elle s'était engouffrée. Elle s’est souvenue de ce qu’elle voulait avant de le rencontrer. Elle s’est souvenue qu’elle avait une vie avant de le rencontrer, et qu’elle ne pouvait pas seulement la reprendre là où elle l’avait laissée cette fois-ci, qu’il fallait consolider les bases et en boucher les trous de manière plus pérenne et solide que jamais si elle voulait de nouveau avancer. La pression qu’elle avait sur sa poitrine a très lentement diminué. La tristesse a fini par s'éloigner petit à petit... Et un jour, elle a fini par prendre sa première bouffée d’air. Et puis une deuxième. Une troisième. Cela fait quasiment un an qu'elle n'a pas revu ce garçon. Et pour la première fois depuis ce jour où elle l’a rencontrée, elle est fière.

Soulagée de pouvoir en parler sans avoir mal. 


I can't believe what I did for love... (Part.2)

Quelques semaines passent. Ils parlent régulièrement, de tout, de rien, de lui, d’elle. En tous cas, c’est l’impression qu’elle a. En réalité, ils ne parlent que de lui et elle est la seule à se livrer – lui ne lui dit que ce qu’elle veut entendre, mais elle est bien trop intriguée pour s’en rendre compte...

En public, il est celui à qui tout le monde veut parler. Il est sûr de lui, drôle, brillant, séducteur, charismatique. Sa diction et sa manière de s’exprimer la fascine. Ses idées aussi. Il a une aura folle. Elle ne peut s’empêcher d’avoir envie d’être au plus près de lui tout le temps, de regarder tout ce qu’il fait, d’écouter tout ce qu’il dit. Elle boit ses paroles. Elle cherche son contact. Pourtant en privé, il se montre fragile, instable, pris dans une spirale de doutes permanents qu’elle vient rassurer. Après la nuit qu'ils passent ensemble, rien que tous les deux, il se montre distant, un peu froid. Elle ne sait plus vraiment quoi penser.

Elle reprend donc le cours de sa vie, en ne sachant même pas s'ils vont se revoir un jour. Pourtant, elle cède en lui envoyant un message pour lui dire qu'elle a adoré ce moment passé à ses cotés. Il est entrée dans son intimité, elle croit être rentrée dans la sienne. Elle se trompe. Pourtant, ils finissent par se revoir. Plusieurs fois. Mais ces retrouvailles sont trop rares, et elle vit ces moments comme de véritables épiphanies. Les jours qui les précèdent sont une torture – elle ne dort plus, ne mange plus. Les jours qui suivent leurs séparations provisoires aussi – elle rêve de lui, de leurs nuits, jusqu’à tomber d’épuisement. Elle s’anime dès qu’il s’approche d’elle. Elle brûle dès qu’il la touche. Elle est aimantée. Son corps est de moins en moins à elle, de plus en plus à lui. Elle pourrait s’en inquiéter, mais ses sens sont trop accaparés pour s’en préoccuper. 

Elle se sent plus forte, plus belle, plus désirable que jamais – ce garçon la regarde comme on ne l’avait jamais regardée, l’écoute comme on ne l’avait jamais écoutée, la fait rire, la bouleverse et l’attire plus que tous ceux qu’elle a rencontrés auparavant. Mais elle sent qu'il ne veut pas s'engager plus, car sa carrière est en train de décoller et qu'il ne peut pas prendre le risque de s'engager envers qui que ce soit. Elle en a eu conscience dès le début et pourtant ça ne l'empêchait pas de s'attacher à lui et de l'aimer encore et toujours plus... Quand elle pensait à son départ prochain, de l'autre coté de l'océan, elle se sentait plus mal que jamais. Elle était triste et de plus en plus déprimée. Un soir, dans un sursaut de conscience, elle s’est jurée de mettre un terme à ce long rêve qu’elle avait déjà trop longtemps cru réalité...

Mais il était trop tard. Bien trop tard.


I can't believe what I did for love... (Part.1)

C’est l’histoire d’une meuf banale. Elle a eu des petits copains – des mecs bien et des mecs moins bien, mais dans l’ensemble, elle sait qu’ils l’ont aimée et qu’elle les a aimés... Elle a de chouettes parents qui lui ont appris à savoir ce qu’elle voulait, à avancer sereinement dans la vie. Elle a aussi de chouettes amis qu’elle connaît depuis la nuit des temps et qui l’ont structurée autant qu’elle les a structurés. Elle va bien. Ce qui ne veut pas dire qu’elle n’a pas une tendance naturelle à la nostalgie. Mais dans l’ensemble, elle a les deux pieds sur terre, la tête sur les épaules et elle marche droit où elle veut aller en se posant en permanence un milliard de questions, ce qui, étrangement, ne l’empêche pas d’avancer. C’est sa dualité à elle. 

Elle fait des listes, beaucoup de listes. Elle coche des case, pèse sans cesse le pour et le contre, mais quand elle est sûre de vouloir aller quelque part, elle y va et se sent prête à affronter tous les obstacles. C’est pourtant une peureuse. Ou plutôt une prudente. Quand elle a appris à marcher, elle se tenait précautionneusement aux meubles pour ne pas tomber. Elle n’aime pas tomber. Sa première chute a été tardive, elle l’a très mal vécue, mais depuis qu’elle a compris qu’elle pouvait s’en relever, elle est un peu moins angoissée. C’est une anxieuse, une obsessionnelle qui sait parfois transformer ces deux traits de caractère en qualité. Après tout, l’anxiété sous-entend une certaine capacité à tout prévoir et mieux digérer le pire ; et l’obsession, une certaine forme de détermination qui lui a permis d’accomplir à peu près tout ce qu’elle a voulu jusqu'à présent.

Le hasard met un jour sur son chemin ce garçon. Il est beau, certes, il la regarde intensément, d’accord, mais sa tête est ailleurs, sur l’oreiller d'un autre garçon. Pourtant, il la regarde trop intensément pour qu’elle n’y prête pas attention. Ce jour-là, sans savoir ce qu’il va se passer, elle se dit qu’il va lui briser le cœur. Elle rit de cette pensée absurde – ils se sont à peine parlés, ne se connaissent que depuis quelques heures, cette idée n’a pas de sens. Elle aurait dû s’écouter. Elle revoit ce garçon. Il a cet inexplicable pouvoir d’attraction sur elle qu’elle a besoin de comprendre, d’analyser. Elle ne s’en rend pas compte mais il est déjà trop tard. Il a su éveiller cette curiosité maladive qu’elle a toujours portée en elle. Ce qui l’a structuré va la perdre...

samedi 14 mars 2015

J'ai testé... un modelage relaxant pour le corps.

Goût de l’inconnu, envie de découverte, quête de bien-être… Il y a des moments dans la vie où il faut savoir lâcher-prise. C’est ce que j’ai appris il y a quelques jours lorsque je me suis fait masser pour la toute première fois de ma vie dans un institut du centre-ville... 

Voici un petit récit de mon expérience : 

Après avoir été présentée à la masseuse en charge de moi pendant une heure, direction la cabine de soin : lumière tamisée, petites bougies, bruits d’océan, j'ai été immédiatement plongée dans une ambiance de sérénité. C'est bien simple, là-bas, tout pousse à la décontraction. Je me suis alors déshabillée (oui il faut tout enlever !) pour ne garder que mon petit tanga. Une fois allongée sur le ventre, l’esthéticienne a appliqué alors sur tout mon corps un baume fondant à la fleur d'oranger. Elle a procédé ainsi, avec douceur, à des étirements sur les pieds, les jambes, le ventre, le dos, les bras et les mains. S’ensuit alors un long massage du dos avant de se ré-attarder sur les pieds. Très chatouilleuse, je me crispe. Mais plus de peur que de mal, je n'ai même pas besoin de me concentrer tellement les gestes sont doux et habiles. 

Et j’avoue qu’au départ, mon esprit était un peu parasité par cette question insidieuse : « Que voit l’esthéticienne de moi, à cet instant ? De mon corps presque nu, exposé sur une table ? » Pourtant, les minutes passent et je finis par me détendre totalement. Une fois retournée, la thérapeute masse tout le reste du corps pour remonter jusqu'à la nuque. J’ai l’impression d’être enveloppée dans un cocon dont rien ne vient me tirer pour me ramener à la réalité. Le relâchement est total et je n’ai aucune envie que ça s’arrête. Malheureusement, ce que je redoutais d'entendre met fin à mon voyage : " c'est fini ", me chuchote dans l'oreille la praticienne. "Tout s'est bien passé ?" me demande-t-elle. " J'acquiesce d'un petit oui souriant... Elle me laisse ainsi quelques minutes pour reprendre mes esprits et quitter la cabine. Après tout cela, j'avoue, j'ai eu du mal à revenir sur terre. Mais une fois revenue à la « vraie » vie, j'avais une pêche d'enfer...



vendredi 13 mars 2015

La nourriture est l'ambroisie qui rassemble les peuples...

Vous savez, avec l’âge on devient de plus en plus exigeant envers les films : trop long, pas bien joué, pas assez d’actions, trop "blockbuster"… 

Mais de temps en temps, on a la chance de tomber sur la petite pépite parfaite. Celle qui nous emmène dans un univers parallèle, qui nous fait pleurer, rire, rêver et plus encore. C’est ce qui m’est arrivé hier soir lorsque j’ai regardé « Les recettes du bonheur ». Alors non, cette fois je ne vais pas vous raconter le synopsis habituel parce que vous méritez, comme moi, d’avoir la surprise en vous laissant juste porter par cette sublime épopée culinaire…

Tout ce que je peux vous dire c’est qu’on a là une leçon de vie, une histoire qui élève l’âme, qui redonne foi en l’humanité et en cette fameuse tolérance qui nous manque parfois. Vous savez, le dalaï-lama a dit : « Pour moi, il y a une vérité unique, un chemin de vie. Mais je dois admettre qu’il y a d’autres chemins. » Et dans le bouddhisme, l’intolérance est considérée comme une maladie... Pourtant, il faut l’admettre : on a tous tendance à classer les gens par catégories. Il parait que c’est un processus cognitif lié à la survie qui permet de simplifier l’environnement et de diminuer le nombre d’informations à traiter. Sauf que plus on catégorise, plus on renforce les stéréotypes et plus on risque de devenir intolérant. D'ailleurs là-dessus, je pense que la France traverse un moment décisif de son histoire…

D’une part, on a ceux qui veulent s’ouvrir davantage et de l’autre, ceux qui se replient sur eux-mêmes en ne réussissant pas à mettre de côté leurs peurs les plus profondes. Et peu importe les récents événements, je pense que certains ne devraient pas oublier que les gens ne sont pas à mettre « dans le même panier » en fonction de leurs origines, leurs croyances, ou même de leur milieu social. Plus que jamais, il appartient à notre génération d’inventer une nouvelle tolérance, active et surtout vivante. Et au-delà de ce sentiment de connivence, ce film retrace une passion qui prend aux tripes, et de jolies histoires d'amour toutes en finesse. On sort de là avec l’impression d’avoir été conquis tant par le cœur que par l’esprit...

 « La cuisine est faite de souvenirs… »

Liberté, Egalité, Fraternité.

mercredi 11 mars 2015

« Parfois, il faut oublier ce que tu ressens et te rappeler ce que tu mérites. »

Il faut que je vous dise, en ce moment, ma vie change. Je prends un nouveau tournant... 

Je vais me remettre à chercher du travail très prochainement, vu que la fin de mon contrat approche désormais à grand pas. J'avoue que j'ai un peu la peur au ventre à l'idée de me relancer à la conquête de l'inconnu.. Je suis tourmentée entre l'envie de découvrir autre chose, tout en ayant le petit espoir de décrocher un CDI dans mon entreprise actuelle, où j'ai tous mes repères. Une chose est sûre : les deux prochains mois seront décisifs. J'ai également quelques envies un peu folles, notamment celle de me reconvertir dans un domaine totalement différent de ce que je fais actuellement. Mais cette reconversion inclurait certainement le fait de retourner sur les bancs de l'école et j'avoue que je n'en ai pas la force. Bref, vous voyez.

Niveau sentimental, j'apprends à accepter le fait de ne pas tout maîtriser. Je vous avoue que je n'ai aucune idée de ce que les prochains mois me réservent. Mais j'apprends à ne plus chercher l'homme parfait, celui que j'avais rencontré en la personne de Mr.X. D'ailleurs, nous nous sommes reparlés brièvement avant-hier vu que je l'ai félicité de sa nouvelle chanson..  Dans le même temps, j'ai - pour la énième fois - coupé tout contact avec Jonathan, cette certaine personne qui m'avait permis de m'évader virtuellement ces dernières semaines. Tout est une question de timing, et je pense que nous nous sommes retrouvés à un moment où nous avions besoin de croire en quelqu'un ou quelque chose... jusqu'à ce que la réalité nous rattrape. Belles paroles et incompréhensions mutuelles ont fini par avoir raison de nos retrouvailles.. C'est la vie.

A part ça, je peux vous dire que la situation devient un peu ambiguë avec L., je prends le pari de le dire ici même si je ne sais pas si c'est juste une "période" ou si c'est plus que ça. Il est gentil, il me fait rire, énormément, trop peut être. Je ne compte plus le nombre de fois où je suis obligée de dire "faut qu'on se calme ça ne me réussit pas d'être énervée tout le temps". Mais c'est tellement bon de rire, toujours, dans n'importe quelles circonstances... Concernant le cas Antoine, je pourrais définitivement tomber amoureuse de lui, mais je sais que je devrais plutôt être avec quelqu'un de simple et de reposant... Du coup, ma tête est ailleurs et je profite de l'instant présent : je revois L. vendredi, je me fais une virée-moto avec Schtroumph' samedi, j'ai accepté un resto-ciné avec Thibaut dimanche, je me fais une soirée avec Yoann lundi et je vois F. jeudi prochain.

Le retour en ville s'annonce chargé...


PS : J'ai essayé le yoga... et j'ai gravement détesté.

lundi 9 mars 2015

Comme un parfum de printemps .



J’aime cette situation. J’aime bien sentir que les jours rallongent, que ce soir il fait 
plus clair que la veille, et que demain, la nuit tombera plus tard encore... 

dimanche 8 mars 2015

Opération des dents de sagesse, J+3. (Part.2)

La chirurgienne est alors arrivée pour m'emmener au bloc, toujours en compagnie de toute la petite bande, ce qui m'a largement rassuré. Après ça hop, on m'a endormi via la perfusion...

J'ai émergée 40 minutes après en pleine salle de réveil. On m'a alors enlevé l'intubation qui me donnait la sensation d'étouffer et une infirmière est venue me dire que c'était fini et que tout s'était bien passée tandis que je reprenais peu à peu contact avec la réalité. Avec soulagement (ma voisine de droite vomissait et celui de gauche étouffait), on m'a ramené dans ma chambre aux alentours de 15h30, et, à ma grande surprise, j'étais suffisamment consciente pour converser avec ma mère, jusqu'à ce que mon père prenne le relais pour ma sortie de l’hôpital à 18h.

A l'heure d'aujourd'hui, je suis toujours chez lui jusqu'à mardi matin et, après 2 nuits assez difficiles (l'une par les douleurs et l'autre par les vomissements liés aux médicaments), je m'en tire quand même plutôt bien. Contrairement à ce que je pensais, je n'ai pas beaucoup gonflée mais, en revanche, j'ai un énorme cocard sous mon œil droit. Enfin, il faut savoir que je sens beaucoup plus la douleur maintenant que sur le coup de l'opération ce qui est apparemment normal, même si je ne m'étais pas préparée à ça. Enfin et surtout : JE CREVE LA DALLE en permanence. Sérieusement, je crois que je serais capable de quasiment tout pour manger une tartine de pain grillé... Puis, comme d'habitude dans ces moments un peu exceptionnels, j'ai été agréablement surprise par les messages de soutien des uns et des autres :

JR ("C'est bon t'as fini ? Pas trop mal ? Ça s'est bien passé ?"), P-A (Arrête avec tes messages d'adieu, je sais pas si tu es au courant mais on ressuscite après l'anesthésie.. Ça va quand même mon agent ?), Jules ("Coucou mon Boo, alors comment ça va ? Pas trop mal ?"), Schtroumph' ("Alors comment va le hamster ?"), Alex (Coucou, ça va ? Qu'est-ce-qu'il t'arrive ? J'ai pas très bien compris, tu t'es fais opérer... ?"), Max ("On veut une photo !"), L. (" Plein de bisous sur tes petites joues gonflées !")... 

Même gonflée/charcutée/opérée, je ne suis pas seule.

MON RÊVE.

Opération des dents de sagesse, J+3. (Part.1)

Premier constat : j'ai survécu ! Vous n'imaginez pas le soulagement que j'ai ressenti en salle de réveil quand j'ai réalisé que j'étais bel et bien vivante et que, manifestement, tout s'était bien passé. J'ai donc décidé de vous parler de mon expérience car avec toutes les versions que l’on peut entendre, il arrive que l’on soit très peu rassurée (voir, comme moi, complètement terrifiée) par cette opération. Et franchement, au-delà des effets secondaires pas forcément cools, j'avoue que c'était presque un bon moment. 

L'arrivée à la clinique s'est fait tranquillement, en compagnie de ma petite maman qui a été à mes cotés pour me soutenir. D'ailleurs, la particularité de la situation a donné lieu à nombreux éclats de rire liés à notre côté "pas doué", qui est manifestement de famille. Je ne sais pas quel était le moment le plus gênant : celui où l'infirmière nous chopé en pleine séance-photo lorsque je défilais dans ma chambre avec ma blouse d'hôpital, celui où nous n'arrivions pas à faire marcher le coffre-fort de la chambre ce qui provoquait des "bip bip" dans tout l'étage, ou encore le moment où ma mère a failli carrément péter le lit en manipulant la télécommande pour que je puisse monter dessus plus "élégamment". Alors, certes, le stress était toujours présent mais il s'est quand même largement atténué grâce à elle... et je l'en remercie encore. 

Sur les coups de 13h30, un gentil brancardier est venu me chercher pour me dire que LE moment était venu. Alors, après avoir fait un ultime signe d'adieu à ma mère, je me suis retrouvée dans une "pièce d'attente" assez froide, où le stress a commencé à monter d'un coup. Heureusement, je suis tombée sur l'équipe médicale sans doute la plus cool du monde. En effet, une équipe de 4 infirmières et aides-soignantes se sont quasi-directement mises autour de moi pour me rassurer, me faire parler et beaucoup rire histoire de me changer les idées (Grey's Anatomy powaaa). J'ai ainsi commencé à  me détendre en racontant ma vie, et l'anesthésiste est arrivée quelques minutes après pour me poser le fameux cathéther (aka LE truc que je ne supporte pas). Pourtant, celle-ci a été vraiment adorable, et a réussit à faire en sorte que je ne sente quasiment rien, en me demandant de me concentrer sur quelque chose d'agréable, tout en serrant de toutes mes forces mon poing gauche (alors qu'on me piquait le bras droit)...

jeudi 5 mars 2015

What are you afraid of ?

Nous ressentons tous, à un moment donné de notre vie, de la crainte et de l’anxiété face à des événements, des objets, ou même des personnes... Cette peur qui nous paralyse et qui nous empêche parfois de vivre comme on l'entend, ou de faire face à certaines choses.

Oui, la peur est un brillant système d’alarme face au danger. C’est une émotion universelle destinée à augmenter notre vigilance et de cette manière, nos chances de survie. Tel un asthmatique n’est pas responsable de sa maladie, nous ne sommes pas responsables de nos peurs. Elles sont présentes, en nous, et paraissent aussi angoissantes qu'insurmontables. Pourtant, c’est notre rôle d’apprendre à mieux agir face à elles... Et même si elles ne peuvent pas être définitivement supprimées, elles peuvent cependant être contrôlées. Mais évidemment, il est impossible de faire reculer la peur sans prendre le risque d’une confrontation... 

Pour prendre le dessus et retrouver notre liberté, il faut oser descendre dans l’arène et décider d’y faire face ! Alors voilà, aujourd'hui je vais au bout et... je me fais opérer des dents de sagesse ! (Oui, je sais que cet article vous semble dramatique mais comprenez que j'ai une véritable PHOBIE du milieu hospitalier). Ce moment que je redoute est (enfin) arrivé...


mercredi 4 mars 2015

« Pendant ce temps j'vais écrire, pour demain l'avenir... »

Aujourd'hui, je me nomme Bluette, et j'ai envie de vous raconter les petits moments d'amour de ses derniers jours, que j'ai vécu par-ci, par-là...

C'était jeudi dernier...  j'étais chez Guigui avec la clique habituelle, alors que ça faisait un petit moment que nous ne nous étions pas retrouvés tous ensemble (oui, en hiver on a tendance à passer en mode hibernation, il faut se l'avouer). Je ne sais pas pourquoi mais, en plein milieu de la soirée, parmi la voix cassée de Guigui, les confidences de Jules, l'entrain de P., les blagues de Marion (que j'adore de plus en plus) et l'air ébahi de JR... j'ai eu une certitude. Quoi qu'il arrive, ou qu'il se soit passé, je suis certaine d'être à la bonne place, aux bons moments, et surtout avec les bonnes personnes. Et ça, je peux vous dire que c'est un bonheur inestimable. 

C'était vendredi dernier... petite crémaillère entre filles dans l'appartement de Dav' et Lulu que celle-ci a eu tant de mal à obtenir. Nous étions toutes les 4 : Charlyne, Elo, Lulu et moi... et mon dieu, qu'est-ce-qu'on a pu rire ! Les filles ont évoqués leurs expériences respectives quant à leurs dents de sagesse, nous avons parlés d'hypnose (j'ai déjà hâte de voir le show de Messmer !), et surtout nous nous sommes racontées nos anecdotes marquantes de nos années collège/lycée... Et je peux vous assurer que c'est dans ces moments-là qu'on est contente d'avoir grandi !    
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

C'était avant-hier... Schtroumph' m'a invité à dîner dans un petit restaurant très sympa du centre-ville. Depuis le temps qu'on se connait, nous n'avions encore jamais eu l'occasion de nous retrouver en tête-à-tête. Jusque-là, Schtroumph' était ce pote de soirée 100% motard avec qui je n'avais pas spécialement de points communs étant donné qu'à part nos délires de soirées, nos vies semblaient totalement différentes. Et en fait... c'était génial ! Nous avons parlés de tout : nos amis communs, nos familles, nos envies, notre sentiment de passer à "l'age adulte", nos derniers flirts, nos caractères.... Et sans se rendre compte de rien, nous étions les derniers clients du restaurant, et il était 1h du matin ! Autant vous dire que j'ai été moi-même très étonnée de cette nouvelle alchimie, et que cette soirée marque une jolie avancée dans notre amitié...

C'est ce soir... comme tous les mercredis (ou presque), nous nous retrouvons avec L. pour notre "soirée série". Quoi qu'il en soit, je me surprends à attendre de plus en plus ce petit rendez-vous hebdomadaire que j'affectionne particulièrement. Je ne saurai définitivement pas vous expliquer la nature de ma relation avec L. : une part de moi le considère comme mon petit frère, l'autre n'oublie pas que c'est mon ex mais il y a bel et bien ce "petit truc en plus" entre nous qui fait que nous sommes bien l'un avec l'autre. Comme son petit message de cet aprem : "J'ai hâte d'être ce soir, j'en peux pluuus ^^ Mon petit macdo + toi, Parfait ! ♥".  Et vous savez quoi ? J'ai adoré.. :)



dimanche 1 mars 2015

Une soirée chez Antoine... (Part.3)

En effet, Antoine m'a envoyé un message lourd de sens : « Reste si tu veux ;) »...

Imaginez ma réaction dans ma voiture... "Putain, qu'est-ce-que je fais ?!". Alors non, contrairement à ce que vous pensez, je ne suis pas restée. Oui, je le sais, il y a encore quelques mois, j'aurai fait demi-tour sans me poser de questions mais... je devais d'abord mettre les choses au clair avec une certaine personne avant de faire quoi que ce soit (alors que, lui, le même soir n'a pas eu la décence d'attendre pour faire la même chose de son coté, passons.) et surtout, j'ai vu le message qu'une fois arrivée chez moi. Enfin, ce qui m'a vraiment dissuadé, c'est que ça ressemblait beaucoup trop à mes débuts avec Mr.X et que je n'ai pas envie de me réengager dans ce genre de torture continuelle où tu passe ta vie à te demander ce qu'il se passe vraiment...

Franchement, vous noterez qu'ils ont l'art et la manière de se ressembler sur de nombreux points, ce qui m'attire autant que ça m'effraie. En revanche, je n'ai (évidemment) pas pu m'empêcher de lui répondre ce qui a donné une conversation un peu tordue comme suit : 
_________________________________________________________________________________

Moi (totalement paniquée et ne sachant pas quoi dire) : ??
Moi : Ta mère est là… Le pire c’est que je serais restée ;)  
Antoine : Bah oui :) 
Moi : Prochaine fois :)
Antoine : Yes :)
Moi : Enfin, si prochaine fois il y a ^^ (Je pourrais mourir de mes dents de sagesse hahaha)
Antoine : Grave, le réveil en plein milieu ^^
Moi : Arreteeee !
Antoine : Mdrrr.
_________________________________________________________________________________

Vous vous en doutez, je garde ainsi un très bon souvenir de cette soirée et j’en ressors totalement troublée. Mine de rien, je me rends compte que le coup de cœur que j’ai ressenti pour lui est bel et bien ancré. Dès que je l’ai revu, tout ce que j’ai pu ressentir à son égard est revenu comme un boomerang. Et apparemment, je suis loin de le laisser indifférent non plus mais... je n'arrive décidément pas à le cerner. Pourquoi cela semble si compliqué ? Et surtout, qu’est-ce-qu’il cherche vraiment ? En tout cas, il ne sort pas de ma tête...

Une soirée chez Antoine... (Part.2)

J’ai notamment fait la connaissance du fameux Jordan T., un mec dont j’avais entendu parler réputé pour ses frasques alcooliques. Et j’avoue qu’il correspondait tout à fait à ce que j’imaginais de lui. D’ailleurs, sans savoir pourquoi, ni comment, je me suis trouvée dans l’obligation de le ramener chez lui – à l’autre bout de la ville – étant donné que Mr. n’avait plus de moyen de transport et avait décrété que je serais la « pilote » parfaite. Génialissime. 

Voyant qu’il fatiguait je l’ai donc ramené sur les coups de 1h30, ce qui m’a pris littéralement une éternité vu qu’il était (évidemment) totalement blindé et se trouvait dans l’incapacité de retrouver le chemin de chez lui. Dans le même temps, il faut savoir qu’Antoine m’avait dit de repasser chez lui si j’en avais encore la force et/ou le courage… Nous sommes (enfin) arrivés à destination une bonne DEMI-HEURE plus tard alors que je remarquais l'insistance de Jordan, qui ne voulait tout simplement pas me laisser partir. Pour la petite histoire, il a passé toute une partie du trajet à me caresser la joue « parce que j’étais adorable de le ramener. ». Moi, sympa – naïve ? –  j’ai cédé à ses supplications en acceptant de visiter son appart’, avant de refuser gentiment sa proposition de « mater un film avec lui »...

Je suis donc retournée chez Antoine sur les coups de 3h où nous avons fait quelques jeux d’alcool (là je commençais à être vraiment vraiment dans le mal de l'ivresse) et bizarrement, je sentais de plus en plus ces regards vers moi, même si j’essayais de me convaincre que c’était purement psychologique. Et sur les coups de 4h30, tout s'est un peu précipité... La mère d’Antoine – qui n’était pas censée rentrer de la nuit – a fait irruption dans la maison mi-énervée, mi- étonnée quand elle a vu qu’il y avait une poignée de jeunes chez elle qui, apparemment, n’étaient pas censés être là. Autant vous dire que nous sommes tous partis en éclats de rire avant de finir par bel et bien quitter les lieux à l’arrache. 

Sauf que, ça ne s'est pas arrêté là...


Une soirée chez Antoine... (Part.1)

Oui, oui, vous avez bien lu il s’agit bien DU Antoine. LE mec qui m'avait retourné la tête, LE mec aux mille et une complications, LE mec qui m’a déçu plus d’une fois en un temps record... Bref. 
_______________________________________________________________________________

Tout est parti d’une conversation par sms, où il est revenu vers moi, sans raison particulière :

Antoine : Coucou J
Moi : Hey, tu vas bien ?
Antoine : Cava, tu fais quoi ce soir ?
Moi : Je sais pas encore, peut-être aller boire un verre en ville, mais rien n’est encore sur. Toi ?
Antoine : Haha dacc. Ben j’ai ma maison là donc si tu veux passer J 
Antoine : Après j’ai match tôt demain donc ça fait chier..
Moi : Carrément J Tu peux me rappeler l’adresse par contre ? Monsieur ne devra pas se coucher trop tard attention ^^.
Antoine : Ouais ça fait chier putain. Tiens (il me donne l'adresse..).
Antoine : Et bon courage pour le taf, plus que 45 minutes… 
_______________________________________________________________________________

Quoi qu’il en soit, l’occasion était trop belle pour faire la fête et picoler comme il se doit (2015 a été plutôt sage de ce côté-là, pour l’instant), tout en changeant un peu de la clique habituelle. Le but ultime étant évidemment de lui montrer que de l’eau était passée sous les ponts depuis la dernière fois et qu’on pouvait se voir en toute amitié… Ben, ça n’a pas loupé. Je le dis et le re-redis : je pense que les mecs ont un radar secret qui leur permette de lancer un processus « alerte rapprochement » s’ils sentent que l’on se désintéresse d’eux. 

Je suis donc arrivée chez lui hier soir, sur les coups de 22h15… 

Je me suis rapidement rendue compte que 1/ Il est toujours aussi canon (franchement ça devrait être interdit d’être aussi sexy en jogging), 2/ Nous sommes toujours dans le même délire et 3/ Je ne connaissais absolument personne à part lui. Aucun des potes communs qu’on a via Thibaut, aucun des amis qu’ils m’avaient déjà présentés, rien, que dalle, nada. Même pas Baptiste (moi qui commençait à me demander s’ils étaient siamois...). Nous étions 8, dont 3 que je connaissais « de vue », étant donné que nous avons grandi dans la même commune campagnarde où absolument tout le monde se connait (il faudra que je vous en parle un jour). Et c’est bien simple : j’ai accroché avec tout ce petit monde et je n’ai réellement pas vu le temps passer...