Pages

vendredi 30 janvier 2015

L'amour ne regarde pas avec les yeux, mais avec l'âme...

Il faut que je vous parle de ma (superbe) découverte de l'après-midi : le film I.Origins.

« Synopsis Sur le point de faire une découverte scientifique, un médecin part en Inde à la recherche d'une jeune fille qui pourrait confirmer ou infirmer sa théorie. Le film retrace le voyage incroyable qui va relier des individus totalement différents, et prouver que la science et les sentiments ne sont pas deux univers séparés...». J'avoue qu'au départ j'étais sceptique en voyant sur Allociné les mentions "science-fiction" et "romance" côte-à-côte, et je craignais un peu de tomber sur un de ces films pour ados de qualité moyenne (voire médiocre) qui fleurissent de plus en plus. Cependant, le pitch n'avait pas manqué d'attirer mon attention et promettait un film peu commun et intéressant, pour peu qu'il fasse l'objet d'une bonne réalisation… 

On apprend alors que chaque être humain possède un œil unique grâce aux innombrables crevasses de l'iris. Passionné par la science, le réalisateur s’intéresse, avec ce mystère, au conflit qui oppose la science et la religion. Son personnage principal cherchant à prouver avec ses recherches sur l'œil que notre évolution est naturelle et non pas l'œuvre de Dieu. Toutes ses découvertes vont cependant être remises en doute par un fait qui pourrait prouver l'existence de la réincarnation. Ainsi, si chaque personne a un motif unique de l'iris, pourquoi deux personnes ayant exceptionnellement le même motif n'auraient pas un lien profond ? Si la science avait tort ? Et si nous avions une âme ? Après tout, l'âme étant connue pour être immortelle et indestructible, il est tout à fait recevable que celle-ci ne puisse s'empêcher de goûter à la vie de différentes façons, sous différentes formes, dans différentes cultures, lieux et familles...

On a là une réalisation qui exploite un scénario peu commun et aborde les thèmes de la science, de la spiritualité et de la religion, au travers d’une mise en scène juste, romantique et poétique. Car ce film est une ôde au mystère de la vie, cette forme de magie, qui dès qu’on y prête attention ne cesse de se rappeler à nous. Au travers d’une coïncidence, d’une rencontre, au détour d’un livre... D’autant que les images très belles et les musiques planantes apportent sans conteste un supplément d'âme à ce "Eye [I] Origins". Plus qu'une bonne surprise je le classe personnellement au rang de mes gros coups de cœur de l’année (même si, en théorie, il date de 2014)… Alors à tous ceux qui me lisent ici, courrez le voir car, si vous avez un minimum de sensibilité, vous ne serez pas déçus et vous en ressortirez envoûtés...

Like a good book I can't put this day back..

Que dire ? La journée s'est très bien passée... et puis c'est venu dans la soirée. Il y avait quelque chose qui me gênait, comme une petite démangeaison si légère qu’on n’arrive même pas à la localiser précisément, dont on ne peut pas dire si elle se trouve à la surface de la peau ou quelque part en-dessous, mais qui vous empêche de vous détendre. J'ai ainsi réalisé ce qu'il se passait suite à un échange de sms anodins où j'évoquais ma peur panique de passer bientôt sur le billard pour mes foutus dents de sagesse... Il me manque. D'autant que la dernière admission hospitalière qui m'a touché de près s'est terminé par sa perte, son départ, son "grand voyage". Tonton Fred. Le compromis parfait entre l'intelligence et l'humour taquin que j'aime tant. 

Et vous savez l'ironie dans tout ça ? C'est que, face à cette peur absurde, il est sans doute le seul qui aurait su trouver les bons mots pour me décontracter, en me prouvant tout d'abord par A+B qu'il est désormais impossible que ce genre d'opération tourne au cauchemar. Puis, il aurait trouvé le moyen de m'arracher - c'est le cas de le dire - quelques fous rires en imaginant mes futures joues de hamster.. En pensant à ça, je me suis effondrée. Vous savez, dans ces moments-là, on se dit qu'on ne s'arrêtera jamais de pleurer. Mais si, on s'arrête. D'épuisement. Quand le corps n'en peut plus, oblige au calme après le tourbillon démentiel de la détresse. Car on ne surmonte jamais ce genre de peine, hein ? Surmonter cela signifierait oublier, passer au-dessus. Mais ce soir, j'ai compris : je ne pourrais plus être avec lui dans cette vie, mais je ne serais jamais sans lui. Et, rien que pour ça, ça vaut bien la peine de pleurer de temps en temps... 


Je suis tellement fière d'être ta nièce, si tu savais. 

mercredi 28 janvier 2015

Un peu d'amour dans ce monde de brutes.

Il se passe tellement de choses en ce moment dans ma tête. Mais je ne peux pas trop en dire car, dès que je parle de quelque chose ou de quelqu'un qui me tient à cœur, ça a tendance à rapidement me porter la poisse (vous l'avez forcément noter vous aussi !). Alors je me contenterai de dire qu'en ce moment, mes journées sont empreintes d'une douce félicité que j'essaye d'apprécier au maximum, le temps que ça dure..

A part ça, je suis toujours très prise par le boulot mais, heureusement, le gros rush des soldes est désormais derrière nous et nous pouvons continuer à écouler les stocks plus sereinement, tout en profitant de la joie de découvrir la nouvelle collection... Et même si je vois mon départ comme une véritable opportunité de découvrir autre chose et de voir du pays, j'avoue que ma petite équipe va me manquer (vous noterez que mon CDD se termine fin mai mais que je me prépare psychologiquement comme une dingue). Les crises de rires avec Déborah, les ragots avec Fiona, les anecdotes familiales et culturelles partagées avec Corinne, les magazines féminins échangées, les livres empruntés, les victoires, les défaites, les challenges et l'esprit d'équipe envers et contre tout.. Quoi qu'il arrive, je n'oublierais jamais cette période de ma vie passée à leurs cotés.
 _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Sinon, je profite de ces petits instants d'amitié partagés par-ci, par-là, qui me donne chaud au cœur et qui me font prendre conscience que, malgré mon récent coup de gueule, j'ai la chance d'être bien entourée. Je pense notamment à Laura S. qui tend à prendre de plus en plus de place dans ma vie alors que rien ne nous rapprochait au départ. Mais le fait est qu'à l'heure actuelle, elle est celle avec qui je peux faire les 400 coups, celle avec qui je peux parler d'amour, de tout et de rien, en sachant qu'elle saura me remettre les pieds sur terre tout en me prêtant une oreille tolérante. Il y a également F. qui, pas plus tard que ce soir, m'a invité chez lui en me préparant un joli petit repas juste pour me faire plaisir, pour me souhaiter la bonne année en personne et pour prendre de mes nouvelles parce que "ça faisait longtemps".

Je pense aussi à mon P-A, qui part peut-être s'installer en Angleterre incessamment sous peu. Alors oui, je suis contente pour lui et je sais que notre amitié est assez forte pour supporter vents et marées mais... bon dieu ce qu'il va me manquer. Comme d'habitude, j'ai aussi les vengeurs qui me font redevenir une gamine de 14 ans avec des rires, des petits riens et des escapades toutes plus délirantes les unes que les autres. D'ailleurs ces deux derniers week-ends ont marqué notre découverte d'un nouveau bar à cocktail démentiel qui nous a permis de tester des mélanges inédits, parfois assez surprenants mais terriblement addictifs. (Ma nouvelle obsession : les Margaritas avec cette petite pointe de sel sur le bord du verre..) Bref ! Toutes ces personnes représentent des amitiés qui comptent beaucoup, des personnes très différentes de moi sur de nombreux plans mais qui font parties intégrantes de mon cœur...

A défaut de me répéter, je les aime. 

lundi 26 janvier 2015

H comme Hypocrites. (Part.2)

Alors non, je ne dis pas que mon amitié avec Charlyne est officiellement finie. Mais on ne peut se cacher que les gens changent... 

Certaines amitiés évoluent au point que l'on se sente un jour étrangement loin d'eux sur le plan mental... Bien évidemment au début on s'imaginera que l'on se fait des films, voire que l'on n'est pas dans un bon jour pour juger... Et on continuera à prétendre que tout va bien. Au fil du temps, on ressentira de plus en plus un fossé avec cet ami. On ne partagera plus ses fous rires, on détestera ses discours, on évitera d'écouter sa vision de la vie et on tournera la tête pour éviter son nouveau regard. On persistera à croire que les années précédentes d'amitié peuvent combler ce que cette personne est en train de devenir. On prendra sur soi pour faire plaisir aux autres et surtout parce que l'on a peur de briser les liens. On fera quelques efforts et ce, au détriment de sa paix intérieure. Puis un jour, on ne comprendra plus vraiment..  Et on ne voudra plus chercher à comprendre. 

Fatigué des coups bas, des mensonges, des discours négatifs, des comportements irrespectueux... On dira simplement stop. Ceux qui vous veulent du bien ne vous mentiront jamais et ne jalouseront jamais vos petits bonheurs personnels. Le mal-être ne doit pas servir d'excuse à la frustration et à la méchanceté. Mais ne vous en faites pas, ces "amis" là vous regretteront le jour où ils reprendront, peut-être, leurs esprits... Ainsi, avant de mettre au clair la "situation Charlyne", je préfère m'éloigner temporairement de tout ça plutôt que de me plonger dans cette spirale d'hypocrisie. Et ça tombe plutôt bien puisque les week-ends prochains seront consacrés à la famille. Le 31, repas chez mon père avec les cousins, puis le 7 février marquera le fameux séjour parisien avec mon petit frère qui va découvrir pour la première fois la magie de notre capitale.. 

" Vous connaissez si peu... ceux que vous croyiez connaître."

       Paris..

H comme Hypocrites. (Part.1)

L'amitié se corrompt, tout est rêve et chimère ; on n'a pour vrais amis que son père et sa mère. Citation de Charles-Augustin Sainte-Beuve ; Les consolations, À Madame Victor Hugo (1829)

Là je commence très fort mon article en dramatisant via la littérature mondaine. Ne vous inquiétez pas je vais descendre d'un cran dès le paragraphe suivant.

Tout ça pour vous dire que le comportement de Charlyne ne manque pas de culot et atteint actuellement le summum du ridicule. Souvenez-vous... après un temps d'amitié fusionnelle, celle-ci s'est par miracle trouvé un mec et à partir de là... adieu tout le monde. Ils ont ainsi emménagé ensemble dans les deux mois qui ont suivi et ont fini par s'isoler du reste de l'humanité en ne donnant pas un signe de vie, ou même une once d'explication. Et nous voilà 10 mois après ce fameux incident, Madame envoie son mec me trouver sur Facebook via un message de retrouvailles qu'elle n'a même pas eu l'audace de rédiger elle-même. On rêve là ! Dans ce fameux message, ce dernier sous-entend très gentiment qu'il aimerait me connaitre davantage et qu'il espère n'avoir été en aucun cas la raison pour laquelle JE n'aurais pas donné de nouvelles à Charlyne depuis des lustres. (ne pas s'énerver, ne pas s'énerver, ne pas s'énerver..)

Mais ce n'est pas le pire... après avoir envoyé un message étonné à Elo. pour lui relater la situation, celle-ci m'a affirmé que P-A monaco avait reçu le même message de la part de Charlyne elle-même ! En effet, ce que j'ai pris comme une tentative maladroite de reprendre contact s'est révélée en fait un vulgaire message groupé ! Le pire dans tout ça étant que je semble la seule à halluciner de la situation car P-A Monaco et Elo. ont gentiment répondu à ce "petit mot" et se trouvent donc inviter chez Morgan et Charlyne le week-end prochain pour leur crémaillère à retardement ! Non mais c'est trop facile de faire le mort et de revenir comme une fleur ! Suis-je la seule à ne pas comprendre ? Après s'être crachés dans le dos pendant des mois, voilà que tout ce beau monde se réconcilie en faisant comme si de rien n'était. On s'imagine naïvement que toutes les amitiés résistent au temps... 

Mais, la réalité aboutit à des conclusions moins utopiques.


vendredi 23 janvier 2015

Les soldes, cette épreuve humaine. ____

Lorsque l'on est vendeuse en magasin, on découvre que les Soldes sont un droit inaliénable, une période pendant laquelle tout est permis, de l'agressivité mal placée à la bêtise la plus profonde. Mais bon ça nous fait des bonnes anecdotes à raconter…

Les mots (idiots) de tous les jours
  • Le prix affiché, c'est "avant" ou "après" réduction ? 
    Ah ok... Et celui-là, c'est "avant" ou "après" réduction ? Ah... aussi... Et celui-là ?...
  • Vous l'avez en 38 ?
    Je sais que "tout est là", vous me l'avez déjà dit... mais est-ce que vous l'avez en 38 ?
  • Pourrais-je avoir le pied droit ?  Non mais vous comprenez j'ai un problème à ce pied, j'ai un oignon regardez ! J'ai dû me faire opérer... (par pitié, tais-toi)

Les rencontres (vraiment) maudites
  • Le client qui arrive à 20h59 : "Je peux essayer ces trois paires svp?" (Mec t'as pas compris quoi dans "je ferme dans 1 minute")
  • Le client qui ne daigne même pas t’accorder un regard (Valable également pour les merci, s’il vous plait, bonjour et au-revoir)
  • Le client qui ne sait pas lire les tableaux de correspondance : « Combien fait 59€ moins 47%? » (Euh…)

& Les crises de rire avec les collègues
  1. Mate comment il est trop beau ! (ou la classe en toute circonstance)
  2. Oh ! Tu sais pas de quoi j’ai rêvé ?!!
  3. J’ai faim...
  4. Qu’est-ce-qu’ils sont cons aujourd’hui !
  5. Il manque combien pour faire le chiffre ?
  6. Putain je passe pas un P.E… ("produit d’entretien", vente additionnelle)
    Cerise sur le gâteau : Quand une cliente me demande une réduction
 supplémentaire parce qu’il y a « un petit accroc, juste là, si si ! »...

jeudi 22 janvier 2015

Et si mon destin était ailleurs ?

« Je veux que tu promettes une chose : Si tu aimes quelqu’un, dis-lui. Même si tu as peur que ça ne soit pas une bonne chose. Même si tu as peur que ça te cause des problèmes. Même si tu as peur que ça te détruise la vie, tu le dis, et tu le dis fort. Après tu verras ce qu’il se passe. Le principal, c’est de le dire. »

Premier rencard de l'année : le verdict.

Je pense que je n’étais pas pour lui. 

C’est toujours plus gentil que de dire qu’il n’était pas pour moi. Pour ma part, un simple bonjour et cinq minutes de conversation suffisent à sentir si la magie prend ou non. Et rien qu’au téléphone, je suis capable de dire si ça peut coller entre un inconnu et moi. Est-ce-que ça fait de moi une fille superficielle pour autant ? Quoi qu'il en soit, il n'y a pas définitivement pas eu le "feeling" que j'aime tant retrouver dans mes relations...

Vous le savez, j'aime les hommes qui ont une voix affirmée et grave, ceux qui savent ce qu’ils veulent. Moi qui suis du genre passionnelle et over-dynamique, j'ai besoin d'un mec qui soit capable de me suivre dans mes délires tout en ayant ce petit coté posé qu'il me manque parfois. Et pour le coup, Marc est calme. Très calme. Trop calme. Certes, je m'étais dit que je me concentrerai sur les mecs plus vieux car ils seraient largement plus posés dans leur tête, mais bon, faut pas pousser le bouchon non plus... Bref, Nous nous sommes ainsi donnés rendez-vous dans un restaurant italien se situant dans le pôle commercial de ma galerie (autant vous dire que j'avais l'impression d’être au boulot), (pourtant c'est moi qui avais choisi le resto), (je ne suis pas très futée, parfois). 
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Et dès les premières minutes, j'ai caché ma gêne de retrouver un parfait inconnu par l'humour (Chandler Bing, sors de ce corps !) mais, bizarrement, c'est bien passé vu que ça l'a fait rire et que ça a permis de briser un peu la glace. Alors imaginez un peu ma déception lorsque j'ai réalisé que la majeure partie de la conversation allait porté sur nos jobs respectifs et nos études pour en arriver là (véridique !). Autant vous dire que je déteste qu'on parle de ça au moment où je me tape des horaires de fous et où je ne vis que par et pour les soldes. Heureusement, nous avons dérivé sur les voyages (monsieur a vécu à Londres et Munich) ce qui fut déjà plus intéressant même si encore, j'avais envie de lui balancer une blague bien graveleuse histoire de le décoincer un peu. D'ailleurs, je crois bien que c'est moi qui ait été à l'origine du dernier sujet de la soirée, aka "les pires cuites de notre vie". 

Et franchement, même pendant les récits de ses "soirées de lâcher-prise", je me suis dit qu'un aperçu de nos soirées entre vengeurs l'aurait fait fuir en courant. Alors vous vous en doutez, j'ai été plus que soulagée quand nous avons réalisés que nous étions les derniers clients du restaurant (oui, même quand je m'ennuie, j'ai la palme d'or du bavardage futile) et qu'il était temps pour nous de prendre congé. Pour le coup, je pensais que cet échange bien-trop-sérieux-pour-être-un-rencard n'était pas à marqué dans les annales, autant pour lui que pour moi. Il me semblait évident que je n'étais pas son genre non plus. Mais contre toute attente, depuis notre rencontre, Marc n'arrête pas de m'envoyer message sur message pour savoir ce que je fais de ma soirée, et il s'est apparemment mis dans la tête l'idée de m'inviter au cinéma dans les prochains jours. 

Damn de damn. 

__________________________________________________________________________________

PS : En revanche, je suis tombée amoureuse de mon plat de pâtes au chorizo :)
PS (bis) : Pourtant Marc était vraiment mignon, mais il n'était pas drôle. (rappel : ne jamais sous-estimer l'importance de l'humour chez une femme). A bon entendeur..

dimanche 18 janvier 2015

Mes amours de vengeurs, mes plus chers.

J'ai compris que le bonheur c'était pas un lieu, ou un moment. Le bonheur c'est des gens. Des gens particuliers. Et qu'on se trouve à Hawaï,en plein désert ou n'importe où ailleurs, ça ne change rien, du moment que ces gens, ces sourires, ces yeux, nous accompagnent.

Ils ne m'ont pas lâchés en cours de route. Ils sont devenus mes habitudes, mes rires, ils ont creusé des fossettes sur mes joues et ont su me relever pendant les moments difficiles. Alors quoi qu'il arrive, je sais qu'avec eux, tout ira bien. Je les aime d'une force inconditionnelle. Ils sont le ciment de mon équilibre, de ma vie. Et je ne les remercierai jamais assez pour ça. 

" Les amitiés les plus sincères sont souvent celles que l'on ne soupçonne pas." 

& Parce que les soirées improvisées sont toujours les meilleures... 
#Vengeursmasqués

vendredi 16 janvier 2015

« Si ta volonté te lâche, dépasse ta volonté »

Enfin, je me devais de vous parler du film que j'ai vu cette aprem avec P-A : Wild. 

SynopsisAprès plusieurs années d’errance, d’addiction et l’échec de son couple, Cheryl Strayed prend une décision radicale : elle tourne le dos à son passé et, sans aucune expérience, se lance dans un périple en solitaire de 1700 kilomètres, à pied, avec pour seule compagnie le souvenir de sa mère disparue… Cheryl va affronter ses plus grandes peurs, approcher ses limites, frôler la folie et découvrir sa force...

On se plait ainsi à suivre Cheryl dans sa quête personnelle au travers de paysages grandioses et d'images impressionnantes qui m'ont juste renversé (et encore, je pèse mes mots). On a peur avec elle lors de ses rencontres plus ou moins improbables, et on comprend comme elle qu'elle réalise un trip de malade, sans aucune préparation physique mais avec un mental d'acier et des souvenirs beaux, tristes, glauques, attendrissants, affligeants qu'elles essaient de digérer pour se pardonner et se donner un nouveau départ de vie. La principale force du film vient de son ambiance générale, obtenue en partie par l’excellente bande originale dont les titres variés s’assemblent parfaitement. La fin du film nous annonce une Cheryl repentie, et grandit de son voyage. 

Mieux encore, une Cheryl cherchant maintenant à se construire un futur plutôt que de continuer à se retourner vers son passé...


WILD.

But you got the love I need to see me through...

Enfin - et surtout - il y a Jonathan. Je n'ai tout simplement pas de mot pour vous expliquer ma joie de le retrouver. C'est le destin : inexpliquable et écrit d'avance. Et nos vraies retrouvailles approchent désormais à grand pas. (Je ne peux rien dire de plus, il lit ce blog et je ne veux pas que ses chevilles enflent, haha). 

Dans la série des projets motivants, je revois Laura S. dimanche autour du désormais traditionnel sauna/hammam/jaccuzzi qui promet encore plein de confidences, de râleries et de crises de rires en tous genre. J'ai déjà hâte d'y être. Sinon, j'organise un week-end parisien avec mon petit frère pour début février, je pars dans le sud à la mi-mars, P-A et moi commençons à rentrer dans le vif du sujet par rapport à notre voyage de cet été tandis que je prévois une escapade à Disney avec L. 

D'ailleurs, L. et moi assurons toujours nos rendez-vous du mercredi soir ce qui me fait un bien fou. Nous avons ainsi notre petit rituel : un Mcdo à emporter, le nouvel épisode de Pretty Little Liars et la poursuite de la saison 1 de Nip/Tuck, série auquel je l'ai récemment initié. Pour le coup, nos soirées s'étendent de plus en plus vu que nous passons pas mal de temps à refaire le monde : De Disney, aux capitales Helsinki et Rome en passant par la maison horrifique la plus gore du monde (le manoir Mckamey).. tout est abordé. Et ça me fait plaisir de nous voir de nouveau aussi proches. Petite note de fin, la situation semble s'améliorer avec Elo. qui traverse actuellement quelques problèmes de santé. Je ne peux m'empêcher de m'inquiéter pour elle et de lui demander de ses nouvelles, ce qui semble vraiment lui faire plaisir. Affaire à suivre, donc. 

Qui a dit que l'année 2015 n'était pas pleine de promesses ?

NIP/TUCK

Sooner or later in life, the things you love you lose...

Il y a quand même un avantage indéniable au célibat... 

La joie magique de l’anticipation. La fameuse excitation de ceux qui ne sont pas encore officiellement casés. Et par exemple, la possibilité de choisir de sortir avec un mec différent tous les week-ends (bon après faut pas déconner non plus, je m'appelle pas Carrie Bradshaw). Bref, tout ça pour vous informer que demain soir marquera mon premier rencard de l'année.. 

Pour la petite histoire, il s'appelle Marc, il a 26 ans et est nouveau venu en ville. Il s'occupe de la gestion et de la mise en place des systèmes climatiques dans les grandes entreprises de la région et me semble tout ce qu'il y a de plus sympa. Je n'attends rien de particulier de ce genre de rencontre, mais je dois avouer que ça fait du bien de côtoyer de nouvelles personnes, de changer un peu du cadre habituel. Dans le même temps, Antoine - à croire qu'il a un radar - s'est mis à me reparler, à mi-chemin entre la taquinerie et le flirt à peine dissimulé. Pour le coup, je me demande à quoi il joue. Ce qui me sidère le plus, c'est qu'un mec puisse à la fois être génial, et se comporter comme le dernier des cons.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Après tout, il est beau gosse, intelligent et a ce petit cynisme qui en ferait craquer plus d'une. Pour les filles, c'est différent : une salope, c'est une salope. Une salope sympa, c'est rare. Mais là...
Un soir, c'est un mec tendre et prévenant, et le lendemain, quelqu'un de froid qui s'évertue à mettre de la distance entre nous. Pour mieux revenir un mois après ! La logique masculine, allez comprendre. Avoir une relation avec ce genre de personne consiste à essayer de danser la valse avec un partenaire qui fait du cha-cha-cha. Tu tournes, jusqu'à ne plus rien voir autour, pendant que lui fait un pas en avant, et deux en arrière. Antoine est revenu ainsi comme une fleur me demandant où se trouvait exactement mon magasin et a trouvé le moyen de dériver sur le fameux "Tu paye ton coup chez toi ce soir ?"... Genre.

Suivant mes bonnes résolutions, je lui ai dit que j'étais crevée et surtout qu'il n'avait pas besoin d'inclure sans arrêt la présence de Baptiste, pour avoir "le cran" de passer une soirée en ma compagnie. Sous-entendu : je ne vais pas te manger, tu ne m'impressionne pas et la-dernière-fois-était-une-erreur-qui-ne-se-reproduira-pas. Malgré ça, on s'est quand même officiellement échangés nos numéros de téléphone histoire de se revoir un jour peut-être, quand monsieur se sera décidé à grandir et à porter ses couilles. En tout cas une chose est sûre : j'ai eu ma dose de mecs peu fréquentables, et je ne suis (et ne serai) plus à la merci de qui que ce soit.

mercredi 14 janvier 2015

Putain de bordel de merde.

Il y a une heure de ça, j'ai failli replonger... 

J'entends par-là que j'ai vu Hugo connecté sur Facebook, que ça m'a rappelé où j'en étais l'année dernière à ce moment-là, que ça m'a conduit à checker s'il était en France actuellement, et à envisager le fait de lui envoyer un message... Alors dans le pire des cas, il ne me répondra pas car, depuis le temps, il est évidemment passé à autre chose et n'a en aucun cas le temps de discuter. Ou alors, par n'importe quel miracle, il me répondra, nous engagerons une conversation géniale, nous conviendrons d'une date pour "aller boire un verre". Et ce sera reparti...

Mais après ? Dans tous les cas, lui-même finira par repartir de son coté pour continuer à vivre les milles et une aventures de sa vie d'artiste. Et dans tous les cas, je finirai par souffrir à nouveau et à mettre un bon milliard d'année à l'oublier. Parce que, preuve du battement de mon cœur, il reste toujours là, bien ancré. Je l'ai toujours dans la peau, malgré tous mes efforts pour me concentrer sur un(e) autre chose/personne/projet. Et quand je me le remémore en train de rire ou de fredonner de vieilles chansons, je me souviens exactement de ce que je ressentais à ce moment-là, comme si ce n'était jamais vraiment parti. C'est encore sous la surface. La certitude que c'est lui : l'homme auprès de qui je veux vivre pour toujours.

Le premier, le tout premier souvenir de lui est un regard. Un regard, ce n'est presque rien. Sans signification particulière, sans conséquence. Et c'est ce qui continue à me stupéfier, encore aujourd'hui : que l'existence d'un être puisse être bouleversée par quelque chose d'aussi éphémère, d'aussi périssable. Chaque jour, nous croisons des centaines de regards, dans la rue, dans le métro, au supermarché. C'est une réaction instinctive : vous remarquez quelqu'un en face de vous sur le trottoir, vos yeux se rencontrent une seconde et vous continuez votre chemin l'un et l'autre et c'est terminé. Pourquoi ce regard-là aurait-il dû tant compter ? Il n'y avait aucune raison et cependant... Il a tout changé, irrévocablement.

" A jamais à toi,
A jamais à moi,
A jamais à nous. "



mardi 13 janvier 2015

Aaah ces connards salvateurs... (Part.2)

Du genre à me demander des comptes dès que je ne répondais pas à ses messages dans la minute, à se vexer parce que j'ai refusé de lui donner mon numéro ou à m'envoyer des "ah les femmes ! Toutes les mêmes !", à chaque fin de phrase dès qu'il manquait de répartie. Alors à mon tour, je lui ai sorti tout ce que je pensais de la gente masculine : leur lâcheté, leur arrogance, leur connerie...  Et, là-encore, quel soulagement ! C'était comme si j'expiais l'ancienne C. qui n'osait jamais vraiment dire ce qu'elle pense et qui avait pris la fâcheuse habitude de tout ressasser en silence. Car oui, cette année 2015 marque bel et bien une nouvelle ère : celle où j'oserais mettre des mots sur mes doutes et mes pensées les plus profondes plutôt que d'attendre des actes et de prises de conscience qui ne viendront jamais tous seuls !

Bien entendu, je garde à l'esprit le fait que les hommes ne sont pas tous à mettre dans le même panier... D'abord, il y a mes vengeurs qui ont fêté leur anniversaire ce week-end (rappel : JR et P-A Monaco). La soirée fut assez réussie (et le restaurant était à tomber) même si j'étais bien trop fatiguée par cette semaine de soldes (et les heures supp' qui allaient avec) pour en profiter réellement. J'ai tenu le coup jusqu'à 3h, en faisant plus acte de figuration qu'autre chose, mais on retiendra que j'ai quand même été présente. Ça a également permis de désamorcer un peu la tension qui régnait avec Elo. autour de quelques éclats de rire, même si la distance persiste(ra). Il y a aussi L., avec qui nous nous sommes fixés des rendez-vous hebdomadaires - chaque mercredi soir - histoire de visionner ensemble une de nos séries fétiches (Pretty Little Liars), qui vient de revenir sur les antennes.
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

Cela fait bien longtemps que nous n'avons pas été aussi proches et ça me fait vraiment plaisir de retrouver notre complicité. J'avais oublié qu'il était si touchant, si gentil.. et surtout si simple. Enfin, parce que les bonnes habitudes ne sont jamais bien loin, Florian est de retour. Parce que, parmi tous ces connards, je dois admettre qu'il est toujours aussi attentionné et que, dans ses yeux, je ne suis définitivement pas une fille comme les autres... Dans tous les cas, on va se revoir incessamment sous peu. (oui, je sais, je mérite des claques). Malgré mes bonnes résolutions, il faut croire que je n'ai toujours pas la force de lui dire vraiment au-revoir. Et en attendant, je crois à la simplicité des coïncidences, à la vérité du hasard...

PS : Il y a eu un troisième Idiot (avec un grand I) mais je vous abstiendrai de l'anecdote qui ressemble bien trop à celle du Relou ! Et oui, en début d'année, les-mecs-sont-tous-en-chiens.


Aaah ces connards salvateurs... (Part.1)

En ce moment je me trouve (plutôt) jolie... Non, je vous rassure, cet article n'est pas une ôde à ma "soi-disant beauté", mais cette sensation est suffisamment rare pour que je trouve l'intérêt d'en profiter et d'en parler ici. Alors je ne sais pas si c'est ma frange coupée à l'arrache qui repousse étonnamment bien, mon nouveau rouge à lèvres parfait (sans déconner, la teinte "or nacrée" est démentielle pour les brunes !), ou si c'est parce que j’enchaîne les rencontres fortuites, mais je commence à reprendre confiance en moi. Car oui, cette semaine a été peuplée de rencontres indescriptibles, entraînant deux/trois pétages de plomb de ma part, qui se sont pourtant révélés étonnamment salvateurs...

D'abord, il y a eu l'Inconnu, alias un "beau gosse" qui est passé furtivement au magasin et qui m'a demandé mon numéro, tout plein de confiance en lui. Alors je ne sais pas si c'est l'instinct (foireux) du moment ou ses yeux d'un bleu perçant, mais j'avais décidé de lui passer, l'air de rien. Or, ce mec s'est révélé être un gros lourd qui n'a pas arrêté de me harceler deux soirs d'affilés (Tu fais quoi ? T'es en soirée, on se capte après ?). Et après lui avoir fait subtilement comprendre qu'on pouvait commencer à faire connaissance en douceur, je me suis rendu compte que monsieur se prenait tout simplement pour un Dieu. Oui, un Dieu avec un grand D, qui a osé me balancer un truc du genre " Tu sais d'habitude, c'est la gente féminine qui me harcèle pour passer du temps avec moi...". Bam ! Il n'en fallait pas plus pour me sortir de mes gonds.

C'est ainsi que je lui ai dit d'aller se faire foutre en bonne et due forme, en l'invitant à rejoindre le plus rapidement possible son "prétendu harem" avec un mélange de foutage de gueule et de fierté (via les fameux clins d’œils virtuels, style "je suis tellement au-dessus de tout ça"). Et entre nous, ça m'a fait un bien fou de me décharger comme ça sur un parfait inconnu imbu de lui-même. Dans le même temps, un Relou que je ne connaissais ni d'Eve, ni d'Adam (j'adore cette expression !) m'a ajouté cette semaine sur Facebook par le biais d'un "ami commun" que je n'ai pas vu depuis genre un milliard d'année. J'ai eu ainsi le droit à un "Je t'ai trouvé mignonne donc j'ai pris l'initiative de t'ajouter !", so cliché. Suivant mon esprit d'aventure (on notera, toujours aussi foireux), j'ai accepté la request sans savoir que ce mec était insupportable...


samedi 10 janvier 2015

(L'éternelle optimiste).

Prenez soin de vous, des autres et aimez. 
C’est la seule chose qui pourra rendre le monde moins fou.
_________________________________________________________________________________
Film : Intouchables.

mercredi 7 janvier 2015

Notre nom est Charlie !

« L'humanité remportera toujours face a la terreur. »

Bulletin d'information : " Ce mercredi matin, une fusillade meurtrière a éclaté au siège du journal (satirique) de Charlie Hebdo. Le bilan s’aggrave de minute en minute, mais pour l’instant, il serait de 12 morts, dont deux policiers, et de 4 blessés graves. Selon plusieurs sources concordantes, les dessinateurs Cabu, Charb, Tignous, et Wolinski ainsi que le journaliste Bernard Maris, ancien directeur adjoint de la rédaction de Charlie Hebdo, sont morts. Le plan vigipirate a été élevé à son niveau “alerte attentat”, son niveau maximal..."

Que dire après l’horreur d'aujourd’hui ? Ces hommes représentaient la liberté d’expression et ils l’ont payé de leur vie. Ils s’exprimaient uniquement avec un crayon de papier, un feutre, un stylo, un pinceau… Ils sont 12 à nous avoir quittés, et nous sommes des milliers à pleurer pour eux, unis dans une seule et même cause : défendre notre liberté d’expression. Ces 12 êtres partis là-haut bien trop tôt, et de façon barbare, ont fait de nous un seul et même être. Peu importe notre culture, note couleur de peau, notre croyance : nous devenons un pour eux. Parler et rire sont deux des plus beaux dons qu’on nous a donnés et personne ne devrait nous punir pour ça. Alors exprimons-nous et vivons notre liberté pour ceux à qui on l’a enlevée.

Désormais, on découvre qu’on vit dans un pays où des journalistes et des dessinateurs peuvent être exécutés pour leurs idées, parce qu’ils sont libres. Mais il ne suffit pas d'éliminer des hommes pour que leurs œuvres disparaissent... Charlie est partout désormais. Ce soir et pour encore longtemps dans nos cœurs, nous sommes Charlie et le monde entier est Charlie. Il est devenue immortel désormais, tout comme la liberté d'expression ou même l'humour. Cabu, Charb, Tignous et Wolinski resteront à jamais des personnages emblématiques pour tous. (Sans oublier les rédacteurs qui sont également décédés).

" Je n'ai pas peur des représailles, je n'ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. Ça fait surement un peu pompeux mais je préfère mourir debout que vivre à genoux. " 
- Charb. 

Les avantages d'une année qui commence.

Damn, c'est déjà les soldes ! C'est assez dingue comme le temps passe vite je trouve. Je vous l'ai déjà dit, dans ces périodes un peu particulières, exit le conseil-client. L'important étant de vendre bêtement mais sûrement. Après, chaque vente reste une petite victoire, une oeuvre en soi... et de l’argent supplémentaire sur ma feuille de paie qui plus est. Depuis mes années d'études, je me suis initiée aux finesses de l’argumentation commerciale : du bla-bla à la flatterie soigneusement dosée, de la sincérité la plus ingénue aux pièges les plus trapus... C'est ma vie.   

_________________________________________

En revanche, en tant que cliente, j'ai décidé de boycotter les soldes de cette année parce que : 
1/ il faut que j'économise pour mes envies de roads-trips à gogo, et 2/ vu le nombre d'heures que je vais me taper ces prochains jours, il est hors de question que je passe mes instants de liberté dans les magasins. Bon, après rassurez-vous, je suis humaine malgré tout étant donné que dans un petit moment de faiblesse, j'ai craqué pour une seule et unique petite pièce (même pas soldée en plus) : une magnifique jupe patineuse. _________________________________________

Dans le même temps, ce week-end va marquer la première vraie soirée de l'année (le week-end dernier s'est passé chez Guigui en petit comité et nous étions encore tous HS du nouvel an). 
En effet, le début du mois - hormis les galettes et tout ça - marque l'anniversaire de deux de mes vengeurs : JR et P-A Monaco. Les gars ont donc décidé de marqué le coup en réservant un resto (auquel je ne pourrai sûrement pas aller vu que je suis une "travailleuse acharnée") et en poursuivant la soirée dans l'appart' de P-A monaco et d'Elo.. (ça promet).

Dans la catégorie "projets un peu fous", Jules et moi avons réservé des billets pour le spectacle de Messmer, en juin 2015. Pour ceux qui ne connaissent pas, Messmer est un hypnotiseur/fascinateur qui aurait le pouvoir de plonger le public dans une sorte d'état de semi-conscience et de faire lâcher prise à certains de manière considérable. Sceptique mais ouverte d'esprit, j'avoue que ma curiosité a été piquée et que j'ai vraiment envie de voir ça de mes propres yeux.. Enfin, miracle, j'ai des vacances en mars prochain (2 semaines dont quelques jours réservés pour mes dents de sagesse) et les idées de destination se bousculent déjà : France, Londres, Barcelone/Dublin (encore)... Rien qu'un petit week-end me ferait le plus grand bien et servirait de préambule efficace à mon grand voyage de cet été avec P-A. :D :D :D

mardi 6 janvier 2015

Once More, with Feeling.

Buffy, The Vampire Slayer.
« Life's a show and we all play our parts
And when the music starts,
We open up our hearts.. »

Nostalgie, quand tu nous tiens. 
__________________________________________________________________________________

Oh, en fait ! Je vous souhaite une jolie, jolie année 2015. J’ai confiance, elle va être bien. Qu’elle vous apporte des rires, des joies, de la sagesse, des prises de conscience bénéfiques, des projets couronnés de réussite, des aventures, et tout ce qui pourrait vous rendre heureux. 

Pour ma part, j'espère assouvir incessamment sous peu mon irrépressible envie de repartir à l'étranger. Au-delà de New-York (rêve ultime), j'aimerai vraiment découvrir l'Asie – envie totalement nouvelle, sortie de nulle part, allez savoir – et je rêve très très fort de la Nouvelle-Zélande...
__________________________________________________________________________________

dimanche 4 janvier 2015

« Seule, et Fabuleuse ! »

Certains prétendent que nous ne tomberions pas amoureux si les contes, les romans et le cinéma ne nous avaient pas appris à le faire... 

Un enseignement que j’ai tiré des grandes histoires d’amour est l’importance de céder à la folie. En effet, la plupart du temps, nous sommes amenés à faire des choix précis et rationnels : qu’il s’agisse d’acheter une nouvelle voiture, de préparer un repas, d’installer des étagères. Mais lorsqu’il s’agit des quelques décisions véritablement importantes, d’ordre professionnel ou amoureux, nous devrions nous autoriser un peu plus de folie. Quoi qu'il arrive, il faut toujours essayerAprès tout, comment voulez-vous qu’à 20 ans, nous sachions ce qui nous rendra heureux jusqu'à la fin de nos jours ? Oui, s'investir dans une relation amoureuse ça veut dire prendre des risques, c’est un peu comme un acte de foi. Peu importe le nombre de fois où on a peut-être été blessé par le passé. Et pour ma part, je ne suis pas vraiment prête à laisser de nouveau entrer quelqu'un dans ma vie. 

Dans le cas opposé, il y a ceux qui ne supportent pas d'être officiellement célibataires et qui sont prêts à tout pour se mettre avec quelqu'un, peu importe le manque de sentiments ou d'affinités en tous genre. C'est ainsi que des couples tels Lulu/Dav' et Flav'/Manon se remettent ensemble au moment des fêtes, période propice à la peur de se retrouver seuls pour de bon. Et pour le coup, je trouve ça vraiment pathétiques. Alors j'avoue que j'ai moi-même eu ce genre de période : vouloir à tout prix trouver un copain et essayer de "déclencher" un feeling censé être naturel. Sauf qu'avec moi, ce genre de "voilage de face" ne dure jamais bien longtemps. Je le dis et le re-re-re-redis : j'ai besoin de (beaucoup) plus. Dans le même temps, Antoine est venu me souhaiter une "Bonne Année", Jules me semble nostalgique de notre relation, et apparemment Elo. aurait dit au monde entier que "les mecs n'en avaient que pour moi" (Reste dans ta jalou-jalousie).

Alors certes, j'aime les hommes et je suis une adepte inconditionnelle de l'amour. Mais comme dirait l'autre... je m'aime encore plus.

Tenue du nouvel an 2014/2015

(PS : Je me suis offert le fameux lisseur "Curl Secret" de Babyliss... et il fait des miracles !)

jeudi 1 janvier 2015

Le changement c'est (vraiment) maintenant.

Et voilà, nous sommes en 2015....

Déjà premier bon point par rapport à l'année dernière : je ne me suis pas fait exploser ma bagnole et, par conséquent, je n'ai pas été obligée de passer ma matinée au commissariat. Au lieu de ça, j'ai passé un nouvel an tout à fait normal j'ai bu, dansé et rigolé avec ceux que j'aime.

Pour le coup, je me rends compte que mon amitié avec les filles (Elo et Lulu) est arrivée à un point de non-retour : nous n'avons réellement plus rien à nous dire, on ne se confie plus et on ne se marre même plus vu qu'Elo. a développé une sorte de jalousie maladive par rapport à ma relation purement amicale avec son P-A Monaco. En revanche, la soirée a permis de repartir sur de nouvelles bases vis-à-vis de mon amitié avec R. : ça faisait un petit moment qu'on avait pas déliré ensemble, sans ambiguïté d'aucune sorte. Et pour le coup, ça m'a vraiment fait plaisir. Pour une fois, ma soirée s'est donc passée sans encombre et celle-ci a été rythmée par des confessions et des déclarations d'amitié avec ceux qui comptent le plus à mes yeux : mes vengeurs (Jules, JR, P-A Monaco), mon P-A (avec qui nous avons prévu de repartir à l'étranger dans l'année) et L. avec qui j'ai facilement passé une bonne heure à discuter d'Anna.

En effet, celui-ci semble toujours amoureux de son ex d'autant qu'en ce moment, elle revient vers lui pour lui demander des faveurs de toutes sortes (compagnie anti-solitude, argent et coup de main en tous genres). Bizarrement, sa dépendance vis-à-vis d'elle me rappelle celle que j'ai encore vis-à-vis de Hugo... Dans la théorie, on sait que c'est une mauvaise idée mais dans la pratique, on ne peut tout bonnement pas résister. Je me suis donc contenter de lui répéter de faire attention, car tout le monde sait qu'Anna sait trop bien obtenir ce qu'elle veut... Dans le même temps, je me suis confiée sur le fait que je n'avais pas complètement tourné la page avec Hugo non plus. Depuis cette période de fêtes, je suis en proie à pas mal de souvenirs équivoques quant aux moments passés ensemble et à l'intensité de mes sentiments à son égard, qui ne prendraient qu'une minute à resurgir si je venais à le recroiser (il reste mon Mr.Big*). Mais cette année sera celle du renouveau et de la concentration vers l'essentiel : les vrais amis, le travail, la famille...

Et peut-être une jolie histoire d'amour à la clé, qui sait ? 


(* Référence au "Grand Amour" de Carrie Bradshaw, dans Sex and the city.)