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mercredi 26 novembre 2014

_ J'ai rencontré un garçon, il m'a retourné la tête..

 « Les hommes sont comme les mots croisés du New York Times : difficiles, 
tordus et vous n'êtes jamais sûre d'avoir la bonne réponse. »

(Un aperçu de mon shooting de la dernière fois.. )     
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J'ai testé... l'escape-room de ma ville.

Vous vous en doutez c'est en totale Noob (= débutante) que je me suis présentée à la séance...  

Dans un premier temps, Jean-Baptiste (le gérant) nous met dans l’ambiance en nous « pitchant » sur le processus et en nous donnant quelques conseils pratiques. Le jeu peut alors commencer... et nous voilà dans une pièce à l’ambiance Sherlock Holmes et une heure pour trouver le moyen d’en ressortir. C’est là tout le concept de cette « Escape Room », un jeu grandeur nature qui consiste à trouver le moyen de s’échapper d’une pièce dans une durée limitée. 

Le but étant de trouver des indices disséminés dans l’espace, indices qui, combinés entre eux permettent de résoudre des énigmes et d’avancer vers la résolution globale du challenge. Car, oui, chaque indice permet d’ouvrir un nouveau cadenas ou de découvrir un code qui permet l’accès à un coffre, un tiroir ou à une porte. Il faut donc procéder avec méthode et bien fouiller, quitte à repasser derrière ses petits camarades pour ne rien oublier. Une précaution qui nous a fait chuter sur la fin à cause d’une serrure que l’on n’a zappé. Car oui, malgré notre engouement et notre équipe surmotivée, nous avons échoué de quelques secondes. Un beau parcours, certes, mais reste la petite frustration malgré tout de ne pas avoir pu sortir seuls de la salle..
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En tout cas, le principe est très prenant : on se prend vraiment au jeu. Si les premières énigmes sont assez simples, cela se complique assez rapidement ! On se remet à fouiller deux, trois fois la salle pour voir ce que l’on a pu oublier. Parfois, on tombe sur des fausses pistes, parfois, on ne va pas au bout de nos idées et on perd du temps. Mais en réfléchissant, et en utilisant le tableau à disposition, on finit par trouver. Et si vraiment on tourne en rond, on est remis sur le droit chemin par l'animateur qui suit notre progression grâce à des caméras (Big Brother is watching you !). Parce qu’en effet, il n’y a pas de temps à perdre car je peux vous assurer qu’une heure c’est très court pour parvenir à tout faire….

Idéale pour une activité sympathique et originale en famille ou entre amis, l’Escape Room nécessite, pour « survivre »  d’être curieux, de savoir activer ses méninges, d’être patient mais aussi et surtout de savoir communiquer avec les autres car tout est relié, même si cela ne saute pas aux yeux de prime abord. Evidemment, un peu de chance peut aussi ne pas nuire… Dans le même temps, les meubles et objets sont plus ou moins anciens et visiblement chinés, ce qui apporte une belle touche d’authenticité appréciable. En bref, il s’agit là d’une belle découverte et même la petite photo-souvenir de fin constitue un bon moment. L’accueil est vraiment excellent et le gérant sait vraiment communiquer son enthousiasme à propos de son projet ce qui donne indéniablement envie de venir découvrir les prochains scénarios... 


( Vite, Vite, Vite, Vite ! )

mardi 25 novembre 2014

I feel so close to you right now, it's a force field... (Part-3)

Une fois chez moi - après l'avoir fait patienter 2 min le temps que je planque les trucs compromettants (soutien-gorges, vaisselle sale...) - nous nous sommes posés devant la tv, un verre à la main et nous avons continué notre jeu du chat et de la souris...

Tout à commencé d'une "pichenette", un coup porté du bout des doigts qu'il m'a fait contre ma joue auquel j'ai rétorqué quasi-instantanément. S'en est suivi une sorte de bataille sur mon canapé où j'ai fini "coincé" dans ses bras et où il m'a fait un bisou fugace dans le cou, rapide et tendre à la fois. Après m'être redressé, il a fait littéralement comme si de rien n'était ce qui m'a encore plus intrigué et incité à continuer sur cette voie. Quelques minutes après, les petits coups se sont transformés en câlins prolongés qui ont fini en autre bisou dans le coup... Si je me souviens bien, c'est moi qui ait fini par vraiment l'embrasser...

Contre toute attente, il s'est révélé plus tendre que jamais comme s'il faisait attention au moindre de ses gestes... Vous vous en doutez, j'ai fini par passer la nuit à ses cotés et, même au réveil, il s'est montré très câlin et ça faisait vraiment longtemps que je n'avais pas ressenti cet étrange bien-être. Pour le coup, nous avons émergé aux alentours de 14h et je l'ai quasi-directement ramené chez lui dans un mélange de soulagement (ouf, je vais pouvoir retrouver mes esprits) et de frustration (merde, il est pas resté). Il m'a quitté en me faisant une bise d'un air hésitant comme s'il avait senti mon malaise sur le fait de ne pas savoir comment réellement se quitter. Vu qu'on ne se parle quasiment pas de la semaine, je ne sais pas si ça va se poursuivre, ou même s'il va vouloir me revoir après ça. 

Quoi qu'il en soit, je me surprends à avoir des petits papillons dans le ventre quand je repense à cette nuit passée ensemble et je croise les doigts à l'idée que ça pourrait peut-être amener un truc. Parce que malgré toutes les désillusions que j'ai connu, je n'ai pas perdu espoir. Du moins, pas encore. Et je n'aurai pas été capable d'aller aussi loin s'il ne m'avait pas vraiment interpellé... 

       « Déjà si éloignés, encore si proches, ils étaient tous les deux empruntés 
et maladroits, n’osant presque plus se regarder ou se parler. »

I feel so close to you right now, it's a force field... (Part-2)

Rapidement, ces potes nous ont quitté et nous avons pris tous les trois - à ce moment-là, je commençais déjà à regretter d'avoir emmené Valentin... - la direction du Loft, une boite réputée. Le but étant de rejoindre d'autres potes à Antoine, dont Baptiste que je commence à connaitre un peu. Ce début de seconde partie de soirée fut pour le moins bizarre étant donné que j'étais entourée de deux gars que je connaissais à peine et que je n'arrivais définitivement pas à cerner. D'un coté, Antoine (juste trop beau), qui commençait à s'énerver car nous ne retrouvions pas ces potes à l'intérieur du club plus bondé que jamais et, de l'autre, Valentin qui se montrait de plus en plus entreprenant avec moi ce qui commençait clairement à me gêner.

Après avoir passé une bonne demi-heure à chercher Baptiste et compagnie, sans succès, nous avons décidé de regagner les vestiaires histoire de récupérer nos affaires et d'abréger la soirée d'autant qu'Antoine semblait plus soûlé que jamais. Sauf que là - bim - nous sommes tombés sur une de ses connaissances, un mec survolté qui nous a directement reboosté en nous entraînant sur la piste de danse. Et là, je ne sais pas par quel miracle, mais Antoine a commencé à se lâcher, à se laisser porter par la musique et à rigoler de plus belle. Nous avons ainsi dansé comme ça deux bonnes heures et à la fin, Antoine et moi n'arrêtions pas de nous "embêter", ce qui a finit par faire fuir Valentin qui m'a sorti "Bon ben je rentre, vu que tu passes ton temps avec Antoine...".

Sur les coups de 3h45, nous avons décidé de partir à notre tout sachant que je le raccompagnais chez lui étant donné que monsieur n'a sa voiture que dans un mois. Sur le retour, nous avons discuté de tout et de rien, comme si la soirée que nous venions de vivre n'était qu'une parenthèse et que nous n'arrivions plus à reprendre pied dans la "vie réelle". Arrivés devant chez lui, Antoine m'a proposé de poursuivre la soirée chez moi histoire de prendre un dernier verre et finalement, nous avons pris la direction de mon appart. J'étais alors à la fois stressée et contente...


I feel so close to you right now, it's a force field... (Part-1)

Vous l'aurez compris d'après ce titre : je suis en proie à un énième "tourment" amoureux. 

Depuis la "phase Hugo", je suis passée par tous les stades requis de la convalescence : fixation sur le boulot, fixation sur le shopping, fixation sur la bouffe. J'ai également eu mon lot de rencards foireux pour boire un verre et basta, au cours duquel j'ai été pour le moins déçue et/ou soûlée des cas d'exceptions sur lesquels j'avais le don de tomber. Je passais alors mon temps à me répéter que rien ne clochait chez moi - ce que mes amis me confirmaient - mais je commençais sérieusement à en douter. Du coup, j'ai quelque peu abandonné mes recherches de l’Âme Sœur, avant de rencontrer par hasard Ju', soit le seul gars qui avait réussi à me chambouler un peu la tête et qui m'avait redonné confiance aux rencontres fortuites.

Malheureusement pour moi, Ju' étant déjà pris, et n'habitant plus dans la même ville que la mienne, j'ai décidé de rapidement lâcher l'affaire. Sauf qu'entre temps, j'ai appris à connaitre Antoine, un des amis qu'il m'avait présenté. Physiquement : très mignon. Mentalement : sympa, mais avec un air constamment blasé qui le rend à la fois mystérieux et inaccessible. Sauf qu'en apprenant à le connaitre, j'ai commencé à découvrir (un petit peu) ce qu'il se cachait en-dessous de sa carapace : un mec plus sociable qu'il n'en a l'air, intelligent, taquin et surtout très fêtard. Bref, il a commencé à me plaire. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Vraiment. Vraiment. (..) 

Petit retour en arrière de mon week-end :

Nous sommes samedi soir, il est 21h et je viens de fermer mon magasin. Le plan de la soirée est relativement simple : je file chez Max pour fêter l'anniversaire de sa copine avec le groupe habituel avant de rejoindre Antoine plus tard dans le centre-ville. La première partie de soirée fut comme je l'espérais : tranquille, conviviale et bourrée d'éclats de rires. Ainsi, nous nous sommes tous réunis autour d'un énième jeu d'alcool organisé par P. ce qui m'a donné l'occasion de renouer un peu avec Sam. J'ai également bien déconné avec Elo. ce qui a désamorcé un peu la tension qui s'était installée entre nous ces derniers temps. Et sans grande surprise, j'ai appris que Lulu et Dav' venaient de se remettre ensemble...

Dans le même temps, j'ai fait la connaissance de Valentin, un ami de Marie (la copine de Max), qui s'est révélé très mignon bien qu'un peu "gamin" sur les bords. Mais bon, à sa décharge, il vient d'avoir 20 ans... J'ai donc passé tout un moment à discuter avec lui ce qui fut assez agréable. La soirée s'est achevée aux alentours de 1h étant donné que les parents de Max rentraient de leur propre soirée. Tandis que les autres décidaient de poursuivre tranquillement la nuit chez Tonio et Amandine, je filais rejoindre Antoine - en compagnie de Valentin - qui voulait faire la fête et était motivé à l'idée d'aller en ville. Comme prévu, nous avons retrouvés Antoine et sa clique dans un square du centre, accompagné de pas mal de cadavres de bouteilles expliquant ainsi l'état d'ivresse plus ou moins prononcé de certains d'entre eux. Antoine était de loin celui qui était le plus sobre et naturellement, nous avons commencé à nous taquiner sur tout et n'importe quoi.

Chaque prétexte était bon pour charrier l'autre, rigoler ensemble et nous rapprocher... 

vendredi 21 novembre 2014

« La jeunesse, l'âge où tout est possible.. »

Au risque de passer pour une fêtarde invétérée, je le dis : j’adore faire la tournée des bars. 

Franchement, il n'y a rien de mieux pour s'éloigner un peu de la monotonie de la semaine. J'aime particulièrement le moment où l'on passe la porte, telle un rempart entre le quotidien et le monde de la nuit.. Où l'on est directement submergé par le brouhaha des rires, des musiques et des bavardages de parts et d'autres de la salle. Ces quelques secondes où l'on s'imprègne de l'atmosphère : les gens discutent à bâtons rompus, les rires fusent et l'ambiance se déguste...

Pour le coup hier soir, nous nous sommes faits un petit resto avec P., sa copine, Tonio, Amandine, JR et moi. Nous avons réellement bien mangé tout en prenant des nouvelles les uns des autres alors que ça faisait un petit moment que je n'avais pas vu certains d'entre eux. Pour le coup, P. nous a donné des nouvelles de Y., qui revient en ville courant décembre et qui ne semble définitivement pas motivé pour renouer avec Anna, ce qui n'est peut-être pas plus mal après tout. On commence tous à aborder le sujet du nouvel an vu que le temps presse pour trouver un endroit (maison, gite, salle..) qui permettrait de tous nous accueillir. D'autant qu'on serait rassurés d'avoir un plan définitif pour cette fameuse date. 

Après ça, nous sommes allés en ville rejoindre Jules et Guigui avant de faire la connaissance de Guillaume, un ami de JR qui était exceptionnellement de passage en ville dans le cadre d'une formation de quelques jours. Pour le coup, nous nous devions de lui faire visiter certains de nos Q.G préférésen dégustant les cocktails phares de chacun d'entre eux. A la base, il s'agissait alors juste de faire connaissance de manière tranquille vu que nous travaillions tous le lendemain.. Mais je ne sais pas pourquoi ni comment, mais j'ai fini plutôt ivre, à danser le Madison sur les coups de 3 heures du matin, dans un illustre pub irlandais entouré d'inconnus... Pour le coup, l'ambiance était très conviviale et Guillaume s'est révélé particulièrement sociable avec absolument tout le monde ce qui nous a permis de discuter rapidement avec des personnes qu'on n'aurait jamais abordé d'ordinaire. Bref, les soirées comme ça, il n'y a que ça de vrai... 

PS : Je viens de m'offrir le parfum en stick "Parisian Rhapsody" ... et c'est juste une tuerie ! :)

mercredi 19 novembre 2014

Oh cruelle destinée...

Finalement, on fait peut-être le nouvel an chez X. et Y.  (What ?!!)


Certes, Hugo sera en tournée mais bon, merde.
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Note à moi-même : Relax (Part.3)

A part ça, je me suis considérablement rapproché d'Antoine et de Baptiste, les potes de Ju' (qui par ailleurs est reparti pour ses études). J'ai donc passé la soirée de samedi dernier en leur compagnie, chez Antoine en compagnie d'une de leurs amies, Mélanie.
Je dois avouer que ça m'a fait un bien fou de voir de nouvelles têtes d'autant qu'Antoine se révèle tout a fait à mon gout... (je suis incorrigible, je sais). On apprend donc à se connaitre en nous taquinant virtuellement et j'espère vraiment avoir l'occasion de repasser une soirée à ses cotés. Au-delà de ça, Baptiste et lui sont vraiment des gars adorables, qui ne se prennent pas la tête et avec qui ça fait du bien de souffler..
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Autres nouvelles en vrac

1) Nous avons décidé de fêter le nouvel an avec le groupe au complet (ce qui constituera sans doute une des dernières fois vu les couples, déménagements et autres aléas de la vie qui se forment petit à petit) en louant un gite à proximité de notre ville chérie.

2) Corinne est enfin revenue de vacances ce qui me provoque un certain soulagement dans le sens où je peux de nouveau me reposer sur elle. Contre toute attente, elle a été assez satisfaite des résultats réalisés en son absence car, même si nous n'avons pas fait les chiffres escomptés, nous nous en sortons bien vu que nous sommes remontés dans "le top 5" des magasins de la région.

3) Mon père vient de retrouver un de mes livrets jeunes qui avait été totalement oublié depuis des années, j'ai donc eu la joie de rajouter 1900 euros à mon compte habituelle. J'en suis encore choquée de joie rien que d'y penser. :) 

4) Je vais incessamment sous peu me faire enlever les dents de sagesse, ce qui me fait flipper au plus haut point. D'autant que j'ai les quatre et que je déteste toute forme d'anesthésie, de plaie, ou de piqûre. Je ne suis donc pas persuadée que je survivrai à la combinaison des trois... ( !!! )

Note à moi-même : Relax (Part.2)

Histoire que vous compreniez mieux, voici un exemple de notre dernière conversation :

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Pour que vous saisissiez un peu le contexte, on essayait de prévoir un moment pour tester l'escape-room qui vient d'ouvrir dans le centre-ville. Or, vu que c'est tout récent, il faut réserver à l'avance et savoir le nombre de personnes qu'on est. A la base, on voulait le faire entre vengeurs (JR, P-A Monaco, Jules et moi) mais P-A monaco a voulu à tout prix qu'on intègre Elo. ce qui ne dérangeait aucun de nous. Sauf qu'il s'est engagé pour elle alors que manifestement elle n'en avait strictement rien a faire et ne semblait pas plus motivée que ça. 

Pourtant ils nous ont dit de réserver pour 5 avant de se rétracter en nous disant - après qu'on ait payé la résa - que finalement, Elo. travaillait ce week-end. Alors certes, j'ai rapidement trouvé un remplaçant vu que L. était vraiment intéressé mais, personnellement ça ne fait pas passer la goutte d'eau pour autant. Bref. Pour le coup, nous nous faisons la fameuse mission "escape" dimanche soir, sur les coups de 20h. Pour ceux qui ne connaissent pas le concept, il s'agit d'un jeu d'évasion grandeur nature où les participants se retrouvent "enfermés" dans une pièce et ont un objectif commun : s'évader en moins de 90 minutes en résolvant les énigmes/secrets enfouis dans la fameuse pièce. 
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Note à moi-même : Relax (Part.1)

J'avoue, je suis moins bavarde en ce moment... Honnêtement, j'ai du mal à trouver l'envie d'écrire. 

Je n’ai plus la motivation pour me caler devant l’écran et laisser les mots se poser tranquillement. Pourtant quand je blogue ça n’a rien d’un tour de force. Je me pose, je laisse les mots se déverser sans trop réfléchir, instinctivement. Je relis pour corriger les fautes et les lourdeurs, j’associe à ça une illustration sympatoche, et zou, c’est publié. Je suis une blogueuse tranquille quoi. J’aime les mots simples, authentiques et sans détours. J’aime quand ça me représente : instinctive et entière.

Mais voilà, depuis quelques semaines, j'ai un peu perdue l'inspiration. Quoi raconter ? Et Qui raconter ? Et comment ? Quel angle donner à mes récits ? Pour quelqu’un d’instinctif je me pose souvent beaucoup trop de questions... Peut-être parce que ce blog m'a apporté ce que j'attendais : la tranquillité d'esprit, le recul sur moi-même dont je manquai et qui fait qu'actuellement, je n'ai plus besoin de mettre noir sur blanc mes petits émois pour trouver le courage de les affronter. Peut-être que c'est ça la maturité ? (après tout, je viens quand même d'avoir 23 ans, haha). J'ai donc décidé de continuer ce blog en faisant des articles de manière occasionnelle, sans me forcer à tenir le rythme quotidien d'un journal intime. En gros, je vais lâcher du lest.

Quoi qu'il en soit, ma situation amoureuse est toujours plus ou moins la même, si ce n'est que je me rends définitivement compte que le "cas Florian" n'est qu'une lubie et qu'il n'est en aucun cas l'homme de ma vie. Ce que je prenais comme des attentions mignonnes il y a encore quelques temps, me donnent un sentiment d'étouffement aujourd'hui. Comme si je me "devais" de le voir toutes les semaines histoire de contenter "monsieur" de ma présence. Sauf qu'en ce moment je suis un peu en mode asociale. Déjà Elo. et Lulu m'énervent toujours autant avec leur manière de penser, d'agir et de juger le monde entier et, cerise sur le gâteau, je découvre petit à petit certains cotés de P-A Monaco qui m'irritent d'autant plus

Je me rends compte qu'au-delà de ces belles paroles, il n'est pas capable de se remuer et attend que les autres fassent constamment tout à sa place... 

    samedi 15 novembre 2014

    Et puis pourquoi se justifier l'amour ne s'explique pas...


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    " A tous ces gens qui vivent par amour,
    A tous ceux qui se perdent par amour,
    A tous ces cœurs qui tiennent par amour,
    A toutes ces femmes qui restent par amour,
    A tous ces hommes qui s'cachent par amour,
    A toutes ces vies gâchées par amour,
    A tous ces gens qui crèvent par amour
    & à tous ceux qui survivent par amour..."
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    Bon, je reste malgré tout une loveuse dans l'âme. 


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    " Do not look for love, let love find you. That's why it's called falling in love, because you do not force anything. "

    En ce moment je passe le plus clair de mon temps au boulot.. mais j'aime ça. 

    Ma responsable étant en vacances, Déborah, Fiona et moi devons assurer les heures supp' nécessaires pour continuer à faire tourner le magasin comme il se doit. Même si les temps commerciaux sont durs, nous nous en sortons toutes plutôt bien et nos statistiques de vente restent plus que satisfaisantes. J'ai commencé à aborder gentiment la fin (encore lointaine) de mon CDD avec Déborah qui m'a assuré que Corinne aimerait définitivement me garder...

    Mais la loi étant la loi, si la vendeuse initiale décide bel et bien de revenir - ce qui est loin d'être sûr - je me verrai gentiment remercié et ce, même si je fais du bon boulot. Dans tous les cas, Corinne va sans doute promouvoir mon profil vis-à-vis de la direction histoire d'être en tête de liste sur les éventuels postes à pourvoir dans le groupe. Une chose est sure : je me plais réellement dans l'entreprise et je pense en être un bon élément... alors je croise définitivement les doigts pour continuer à avoir une vie professionnelle aussi épanouissante dans l'avenir. D'autant que l'ambiance est toujours aussi géniale avec les filles et, comme d'habitude, on passe notre temps à rigoler et à s'entraider.  
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    Au niveau perso, la situation avec Florian me semble toujours aussi floue et je ne sais plus où j'en suis vis-à-vis de mes sentiments. Sans déconner, avec toutes ces marques d'attentions et ces confidences de plus en plus fréquentes, il va finir par m'avoir à l'usure. Alors qu'une part de moi se demande si elle n'est pas en train de m'attacher lentement mais surement, j'ai cette petite voix dans ma tête qui continue de me dire de me méfier. Pourquoi ? Parce que c'est un pote de Hugo ce qui est bel et bien un frein MAJEUR dans notre éventuelle relation. Ensuite, il est plus jeune et semble déjà "brisé" par la vie or j'ai déjà donné dans les cas de "mecs-qui-ont-besoin-d'être sauvés". Enfin, j'ai trop peur de compromettre mon bien-être récemment - et difficilement - acquis pour une histoire qui semble être, dans les faits, une très mauvaise idée. Car les rencontres de cette année m’ont fait grandir, souffrir mais grandir, avancer et comprendre qui j’étais et celle que je devenais. 

    Mais choisir reste difficile. On peut être amené à devoir faire un choix entre deux personnes, ou bien à choisir entre célibat et relation amoureuse, faire un choix professionnel. Quoi qu’il en soit comme on me l’a clairement dit il y a quelques mois de ça, choisir c’est renoncer et actuellement, je ne suis pas prête à renoncer à ma nouvelle tranquillité...

    mardi 11 novembre 2014

    Réfléchissez-y : vous pourriez être une grande partie de la vie de quelqu'un et ne même pas le savoir.

    Je bénis le fait qu'on soit un jour férié. Pourquoi ? Parce que je suis malade à crever. 

    Je me sens obligée de préciser que je « déteste » être malade, parce que j’ai appris qu’il y a des gens qui aiment ça. Tu leur dis que t’as été arrêtée 3 semaines, ils réagissent comme si tu leur annonçais que t’avais gagné la cagnotte du vendredi 13 au Loto :  – Ouah la CHANCE ! Tu m’en donnes un peu ? Steplaît, steplaît ! (en vrai, je ne suis pas en arrêt car 1/ j'ai encore l'espoir que demain tout ira mieux et 2/ ma responsable est en vacances 2 semaines...).

    C’est bien connu, pendant un arrêt-maladie, t’es tellement en forme que tu peux aller faire du shopping et regarder les 6 saisons de Sex and the city. Bullshit. Quand t’es malade, tes neurones sont engloutis par les miasmes, tu tiens sur tes jambes tel Bambi qui apprend à marcher (et quand je dis « Bambi », je parle du faon, pas de Michael Jackson, suivez un peu). Même suivre « Motus », tu peux pas, trop compliqué. Tu envisages juste de boire la solution hydroalcoolique pour voir si ça peut aussi tuer les virus à l’intérieur de ton corps.

    Quand j’étais petite, j’étais hyper douillette. J’en rajoutais même un peu pour que ma maman vienne me faire des câlins et me permette de sécher l’école. J’avais un petit rhume et je le vivais comme une tuberculose. Mais le truc chiant quand t’es malade, c’est que tout le monde te le fait remarquer. C’est dans ces moments-là qu’il faut avoir confiance en soi et en son potentiel séduction, parce que le monde entier se passe le mot pour te faire comprendre que la crève te rend clairement moche :
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    -      Mon dieu, t’es blanche !
    -      Oui, je suis malade.
    -      Et puis tu as de ces cernes !
    -      Je sais.
    -      Non mais tu fais vraiment PEUR !
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    Hier, veille de jour férié oblige, mon état de fragilité absolue ne m'a pas empêché d'organiser une soirée film-chicha, chez moi avec F. (toujours avec sa copine), S. (en couple depuis 3 mois) et Coco, nouvellement célibataire (sa copine l'aurait trompé). On s'est tous posé devant un film d'horreur et, encore une fois, ça m'a donné l'occasion d'apprendre à mieux connaitre Coco qui s'avère véritablement être quelqu'un de très sympa avec la tête sur les épaules. La soirée fut très réussie et Coco m'a envoyé un message comme quoi il avait passé un très bon moment et qu'on devait se refaire ça prochainement... 

    PS : Je dois voir Florian dans la semaine... (et on s'envoie des messages quasi tous les jours)... 

    dimanche 9 novembre 2014

    Soirée chez Max - Part.3

    La soirée s'est donc terminée sur les coups de 4h30-5h avec un P-A Monaco ivre comme je ne l'avais jamais vu. Il nous a tous beaucoup fait rire aussi bien pour ses taquineries que pour ses petites marques d'affection en tous genre, même si les gars se seraient bien passées de certaines d'entre elles. (le fameux coup du "je-te-montre-mon-sexe-dans-la-salle-de-bain", God bless me, je n'étais pas là).

    A part ça, ma semaine s'est très bien passée : je m'éclate au boulot et les clients sont redevenus sympas avec les fêtes de fin d'années qui, mine de rien, approchent à grand pas. J'ai revu Florian mercredi soir et, même si nous n'avons pas passé la nuit ensemble, encore une fois la situation a dégénéré puisque nous avons fini par nous bécoter devant le film comme si nous nous étions pas vus depuis dix ans. Au-delà de ces moments d'affection (je ne sais toujours pas mettre de mots là-dessus), nous nous confions beaucoup l'un à l'autre et il n'y a aucun sujet tabou : la famille, les amis, les coups de déprime... Je ne l'explique pas mais, à ses cotés, je me sens en confiance.

    Vendredi après-midi, j'ai fait un shooting photo avec un professionnel (merci Groupon !) en plein centre-ville, dans des endroits que j'affectionne particulièrement. Le moment était assez particulier et, même si au départ je ne me sentais pas spécialement en confiance, j'ai bien accroché avec le photographe et, même si je n'ai pas encore les photos, les quelques aperçus me laissent croire que le résultat peut vraiment être sympa. D'autre part, je voulais renouveler l'expérience d'un shooting (j'en ai fait un en studio il y a de ça un an) qui permet toujours de passer un bon moment en ayant des "traces" de la fille que je suis sur le moment. Sinon, grand accomplissement : j'ai enfin trouvé le jean parfait : un skinny taille haute effet 90's à Mango. Il est juste ma-gni-fi-que...

    Soirée chez Max. - Part.2

    Nous avons tous reçu une invitation de Max samedi après-midi qui organisait une soirée chez lui...

    En première partie de soirée, nous nous sommes faits une raclette chez P-A monaco et Elo. avec les vengeurs et Lulu histoire de bien nous mettre dans l'ambiance. Contrairement à la soirée d'avant, Elo. semblait de bien meilleure humeur d'autant qu'elle n'était pas seule vu que Lulu est un peu pareil dans le genre "mamie blasée". (Oui, je sais, je suis vache mais comprenez-moi, en ce moment dès que l'on propose un truc un peu fun, elles prennent un malin plaisir à tuer l'ambiance). M'enfin pour le coup ce ne fut pas le cas puisque la conversation allait de bon train : les gars descendaient les bouteilles de whisky tandis que nous parlions de tout et de rien en matant du coin de l’œil le beau Rayane Bensetti dans Danse avec les Stars. 

    Aux alentours de 23h30, les gars étant déjà bien chauds, nous avons déboulés chez Max pour retrouver le groupe au complet, hormis Lulu qui avait décidé de rentré prématurément car elle n'était pas spécialement d'humeur à faire la fête. La soirée fut pourtant très réussie (même si pour le coup Elo. a fait la gueule de voir son copain totalement ivre) et nous nous sommes payées de nombreuses crises de fous rires. Ainsi, j'ai passé deux bonnes heures à discuter seul-à-seul avec Max de nos histoires de cœur en tous genres : mes souvenirs d'Hugo, la peur de ne pas réussir à m'investir autant avec un garçon "normal" alors qu'il me parlait de "l'amour de sa vie" de qui il s'est séparé à cause de la maladie (celle-ci ayant un Alzheimer précoce) et du fait qu'il ne se sentait pas spécialement amoureux de Marie (sa copine actuelle) vu que la passion n'était pas spécialement à la hauteur de sa relation passée.

    Même si les sujets abordés n'étaient pas spécialement joyeux, j'ai vraiment apprécié ce moment de confidence d'autant que Max est vraiment quelqu'un de cher à mes yeux que je n'ai pas spécialement l'occasion de voir aussi souvent que je le souhaiterai. Après ça, j'ai passé ma soirée à discuter à gauche, à droite en ayant l'impression que R. me dévorait encore pas mal du regard comme s'il tentait de faire amende honorable (bizarre !). Comme à son habitude, P. a pas mal mis l'ambiance et nous a montré un jeu sur portable qui a déchaîné les passions : Wrestle Jump. Le but du jeu étant de mettre KO notre partenaire en faisant tomber sa tête contre les différentes surfaces de l'arène proposé, les personnages étant des catcheurs. Nous avons passé tout le reste de la nuit à s'affronter les uns les autres et à jouer avec nos trips, hurlant pour chaque coup donné comme si nos vies en dépendaient.

    A l'heure qu'il est, je n'ai plus de voix mais - à la surprise générale - je me suis retrouvée en tête du classement et je n'en suis pas peu fière... 

    Soirée chez Max - Part.1

    Encore un énième week-end passé en compagnie de mes fameux vengeurs...

    Vendredi, direction un restaurant indien du centre-ville pour fêter dignement l'anniversaire de Jules avec la clique habituelle : JR, Guigui, P-A Monaco, Jules (of course !), moi et Elo. 
    Comme d'habitude, les vengeurs étant au complet, la soirée fut très conviviale : Jules est redevenu mon meilleur ami, je suis de plus en plus proche de P-A Monaco tandis que JR semble être passer à autre chose par rapport à son "crush" vis-à-vis de moi. Du coup, nous sommes plus soudés que jamais et nos moments de retrouvailles sont toujours teintés d' une sacré folie.

    Sauf que.... Elo. vient désormais tous les weeks-ends. En effet, celle-ci ayant l'habitude d'avoir des horaires de nuits, nous ne la voyions que très peu lors des vraies soirées et j'avais tendance à davantage la côtoyer dans la semaine. Or depuis peu, elle a changé de service pour retrouver des horaires "normales" lui permettant ainsi d'avoir un minimum de vie sociale. Mais, ça ne se passe pas si bien que ça... Son coté "mémère" et donneuse de leçons à tendance à nous brider dans nos délires (surtout P-A monaco, normal) et elle ne semble pas du tout s'intégrer à nos éclats de rires en préférant nous regarder de haut, comme si nous étions des gamins de primaire. Pour ma part, je me sens d'autant plus éloignée d'elle que j'ai appris qu'elle avait parlé de moi à Lulu le week-end dernier. (propos rapportés par Jules).

    Apparemment, celle-ci semble juger mon mode de vie parce que, en tant que femme, c'est définitivement "bizarre que je sorte tous les week-ends et que je fasse la tournée des bars avec les garçons" et - oh damn ! - je fais partie de ces filles de la génération Y qui osent fréquenter plus de trois garçons en UNE année sans pour autant me poser réellement ce qui lui parait anormal. Pour le coup, elle passe donc la soirée à nous toiser du regard d'un air résigné en attendant qu'une chose : aller se coucher. Bref, la Elo. fêtarde  et marrante que nous connaissions semble définitivement perdue. Bizarrement, sa condescendance ne fait qu'alimenter notre amusement d'autant que nous traversons une période où nous avons envie de "tout tester"...

    lundi 3 novembre 2014

    Scoop : exclusivité, révélation, nouvelle, information ...

    Potins, potins : 

    1/ Après une énième tentative d'explication et de réconciliation avec Dav', Lulu a décidé de confirmer la séparation, même si celle-ci n'a pas encore un caractère définitif. Ce week-end marquait ainsi leurs retrouvailles lors de la crémaillère de Kiki et sa copine, et malgré les sentiments flagrants de Dav' à l'égard de Lulu, celle-ci ne le sent toujours pas prêt à s'engager d'autant qu'elle n'a plus l'impression d'être sa priorité comme avant. Grosse affaire à suivre, donc...

    2/ Je commence à vraiment me demander si Florian est amoureux de moi. Il est dans une phase où il me propose tous les jours de nous voir et il est limite dans la supplication. Hier soir, totalement crevée et vraiment malade (grosse migraine, rhume et angine), j'ai refusé pour la énième fois sa proposition de nous voir ce qui a donné lieu à une de nos premières disputes où il s'est réellement énervé en me disant qu'il avait vraiment envie de me voir et que ça le soûlait que la situation ne lui semble pas réciproque. A l'heure d'aujourd'hui, je ne sais pas si j'ai envie de tourner la page...

    3/ Malgré ma fierté légendaire, j'ai essayé de reprendre contact avec Laura, ma meilleure amie des années lycées. En effet, je suis tombée par hasard sur son compte Facebook et après avoir rêvé d'elle la nuit dernière (hasard ?), je me suis décidée à lui envoyer une "demande d'amie" ainsi qu'un message privé pour lui expliquer un peu mon acte : " Salut Laura ! Je viens de te voir par hasard dans mes "suggestions d'amis" et je me suis dis pourquoi pas, depuis le temps... Je me demande ce que tu deviens alors même si y a eu des disputes et compagnie, peut-être que l'eau est passé sous les ponts même si je ne suis pas du tout sur que t'accepte de reprendre contact ^^ Je tente quand même ! Bises ;) ". Quoi qu'il arrive, je ne vivrai pas dans le regret vu que j'aurai essayé...

    4/ Toujours dans le registre des "relations-tendues-qui-s'améliorent", j'ai pu constater avec plaisir que le malaise avec Jouan s'était dissipé et que nous avions retrouvé notre "amitié d'avant". Ainsi, alors que j'étais en mode "tournée des bars" avec les vengeurs, nous l'avons croisés avec Alex' et, contre toute attente, il a été très chaleureux avec moi et s'est montré vraiment sympa en osant même me taquiner. Pour le coup, moi qui faisait moitié la gueule de le voir au début, je dois avouer que je ne regrette pas cette partie de la soirée qui nous a un peu permis de "faire la paix", même si nous étions loin d'être en conflit.

    PS : J’ai commandé les (fameux) champignons magiques…

      

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    Ma semaine-anniversaire (Part.3)

    Amoureusement parlant, tout est très calme : je n'ai pas de nouvelles de Ju' et les prétendants habituels (Florian, Baptiste) continuent de me proposer des rencards que je refuse car j'ai la flemme. Ces derniers mois, j'ai vraiment subi mon célibat. Mais aujourd'hui, je le choisis. Oserais-je dire que je l’aime ? Sans doute. J'apprends à me connaitre, à me découvrir, et à m'aimer seule. Je n’ai pas tout de suite envie de retomber amoureuse, je ne cherche plus, je suis bien.

    Et les phrases du genre : "Tu es trop exigeante, c'est pour ça que tu ne trouve personne", je les merde. J’aimerais que l’on remette les pendules à l’heure concernant la définition du mot « exigeant » car en ce qui me concerne mes critères de sélection du peut-être futur homme de ma vie se limitent au chiffre de quatre et sont tout à fait surmontables : 1/ Il est vivant, 2/ Il est attiré par moi (et vice-versa), 3/ Il ne croise pas ses bras en mettant les mains sous les aisselles (c’est à mon sens, une règle d’hygiène absolue) et 4/ Il n’est pas dentiste (personne n’aime les dentistes, c’est pour ça qu’ils s’épousent entre eux dans la majorité des cas)

    Les bases étant posées, vous pouvez me dire en quoi je suis trop exigeante ? Et, comme j'aime le répéter, il ne faut pas oublier qu'au-delà de l'amour, il y a l'amitié. (et maintenant, j'ai un vibro, haa).


    Ma semaine-anniversaire (Part.2)

    Comme vous vous en doutez, j'ai eu le droit à un "énorme" vibromasseur du genre rose vif et avec une dizaine de mode de vibrations. Je vous laisse imaginer la tête des gars quand j'ai ouvert mon "offrande". Il faut alors ajouter que j'avais des petits "extras" histoire de compléter tout ça à savoir : les piles qui allaient avec, une "sucette-bite" qui ferait pâlir une nonne et un masque vénitien mi-classe, mi-sexy que j'affectionne particulièrement. Autant vous dire que je ne risque pas d'oublier cette petite soirée et, malgré le coté ridicule de la situation, j'ai été vraiment émue par leurs petits gestes d'affection.

    Coté boulot, après une période de ras-le-bol où j'ai été bonne à rien, me voilà de nouveau sur les rails en commençant très bien le mois de novembre. Pour ma défense, j'avais été particulièrement énervée par une remarque de mon DR qui avait trouvé le moyen de me dire que j'étais trop palote et que je devrais penser à me "maquiller plus". (ok, ce jour-là j'étais pas bien mais quand même !). Je ne sais pas pourquoi ni comment, mais j'ai retrouvé la motivation de mes débuts. Là-aussi, j'ai été touchée par l'initiative des filles qui ont toutes pensé à me souhaiter mon anniversaire, chacune à leur manière, et qui se sont cotisées pour m'offrir une petite carte cadeau H&M avec de brefs petits mots qui m'ont fait vraiment plaisir.

    Niveau famille, j'ai passé ma journée chez ma mère à fêter mon anniversaire, et celui de mon petit-frère. J'ai eu le droit à des chaussures (escarpins compensés), une bague et (beaucoup) d'argent. Il y a deux semaines de ça, j'ai passé une journée en tête-à-tête avec ma mère qui nous a permis de nous retrouver un peu. Après lui avoir parlé de ma fameuse expérience avec le super voyant, elle avait décidé de prendre rendez-vous à son tour et avait insisté pour que je l'accompagne. Après cette nouvelle expérience (qui m'a encore une fois estomaquée !), nous nous sommes fait un de nos restos préférés (celui des grandes occasions) avant de partir dans le centre pour quelques heures de shopping. Une fois là-bas, je l'ai emmené dans mes spots préférés... Nous avons fini la soirée assez tard, ponctuée de nombreux éclats de rire à propos des révélations du médium. (mention spéciale à mon frère qui serait amené à devenir jeune papa dans 3 ans!).

    Vous l'aurez compris, j'ai passé ma semaine à être attendrie par les différentes marques d'affection que m'ont procuré les personnes qui font partie de ma vie.

    Ma semaine-anniversaire (Part.1)

    J'avoue, je vous ai un peu laissé tomber ces derniers jours. Mais pour ma défense, la vie a été très monotone et je n'avais pas de quoi me plaindre. Alors, quel intérêt d'étaler mon bonheur tranquille alors que je n'ai pas matière à râler ? (je vais le faire quand même, hein).

    Tout d'abord, j'ai passé un super anniversaire. Comme les enfants, j'ai toujours dans l'idée que cette journée est magique et ce petit trip a l'avantage de me donner le smile pour jours qui suivent cette "merveilleuse" date. A mon grand étonnement, tout le monde y a pensé : j'ai ainsi eu le droit à une pléthore de messages virtuels (Facebook, l'ami des dates !), et d'appels en tous genre. (mention pour Jules qui m'a appelé à minuit pile). Mais, contrairement aux autres années, j'ai eu le droit à plein de sms tous plus attentionnés les uns que les autres ce qui m'a vraiment touché.
    Même Sam y a pensé. Même Camille. Même P. qui est plus tête en l'air que n'importe qui ou quoi.
    Même Flav' qui ne souhaite jamais rien à personne. Bref, ils ont tous été réellement adorables.

    Le soir de mon anniversaire, travail oblige, j'ai fait un petit truc tranquille avec P-A. Maintenant que notre relation est de nouveau au beau fixe, nous nous sommes fait un de nos traditionnels Mcdo/Ciné où nous avons été voir "Labyrinthe", que je conseille absolument. Pour info, le film relate l'épopée d'une bande d'adolescents pris au piège dans un labyrinthe géant, dont les couloirs se modifient chaque nuit. Evidemment, aucun membre de la petite bande ne se rappelle quoi que ce soit de son passé ou de la manière dont ils ont été amené dans ce lieu de "test"....

    Le jeudi soir, Guigui m'avait proposé son appart (2 fois plus grand que le mien) pour que je puisse organiser un apéro d'anniversaire en petit comité en invitant qui je voulais. J'avoue que j'ai été vraiment surprise par le coté "mignon" de la proposition de Guigui qui, au-delà de ses airs bourrus, voulait réellement me faire plaisir. Alors évidemment, j'ai saisit l'opportunité en invitant ceux que j'avais vraiment envie de voir ce soir là : mes vengeurs (P-A monaco et Jules vu que JR n'a pas pu être là), les copines (Lulu et Elo) et les potes que j'affectionne (Max, Alex...). La soirée fut comme je le voulais : intime, agréable et bourrée de rires. J'ai notamment eu le droit à des cadeaux un peu spéciaux de la part des filles qui ont eu le mérite de me coller à la fois la pire honte et le plus gros éclat de rire de ma vie...


    ( Hello November ! )