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vendredi 31 juillet 2015

Pourquoi regarde-t-on des films d’horreur ? ...

Voilà une question que beaucoup d’entre nous peuvent se poser. Pourquoi éprouvons-nous du plaisir à regarder des scènes que nous trouvons ignobles ?

On distingue souvent deux types de personnes : Ceux qui attendent avec impatience la fameuse scène où l’héroïne se fait enfin attraper et découper en morceaux, et puis les autres qui se cachent les yeux dès qu’une goutte de sang apparaît à l’écran (je vous ai démasqué !). Le film d’horreur est un passage obligé de l’adolescence. On se retrouve entre amis, on se prépare du pop-corn, ou toutes sortes de nourritures trop sucrés, on éteint la lumière, on se trouve une place entre deux copains pour s’y agripper, et... on attend d’avoir peur. Tandis que les petites filles préféreront regarder un conte de fée et les mères de famille un film romantique, les adolescents chercheront la peur. Explication ? Les personnes qui regardent des films d’horreurs sont à la recherche d’adrénaline. Ils ont envie d’être effrayés, d’être captivés le temps d'une parenthèse... 

Aux Etats-Unis, lors de la projection test de la série Hannibal, qui raconte les origines du mythique serial-killer à grand renfort de chair humaine mitonnée en sauce, la directrice de la chaîné a pu faire un constat plus que surprenant. Tous les hommes sont sortis en disant "beurk, c'est beaucoup trop gore.", alors que les filles s'extasiaient - "c'est brillant, j'adore !". C'est donc officiel. Au prince charmant fayot, nous préférons désormais l'ogre cannibal. Car se plonger dans cet univers, c’est ressentir autant de sensations que dans le manège d’un parc d’attraction. De plus, des neurologues ont montré que dans le cerveau, les synapses de la peur sont relativement proches de ceux du plaisir. Coïncidence ? En plus de permettre de s’évader, les films d’horreurs sont un moyen de transgresser les normes sociales qui condamnent la violence et la torture. 

Dès l'enfance, on nous dit que si on marche dans une ruelle sombre, on risque de se faire agresser. Alors autant affronter ses peurs. De plus, le bourreau est quasiment toujours appréhendé à la fin, contrairement à ce qui se passe dans la réalité. Enfin, il ne faut pas oublier que quand nous regardons un film d’horreur, nous nous trouvons dans un endroit sécurisé. Imaginer un instant être spectateur de torture dans la réalité... Le plaisir disparaitrait immédiatement pour laisser place à la panique totale ! (Dans le cas contraire, cassez-vous d'ici vous n'êtes qu'un psychopathe !). Alors je l'avoue, l'épouvante est un de mes pêchés mignons, ça me déstresse après une rude journée... Et si vous vous retrouvez un tant soi peu dans cet article, je vous conseille de foncer voir le troisième volet de la saga "Insidious" qui est juste ...Terrorisant. 

lundi 27 juillet 2015

La liste de mes envies.

J’ai lu quelque part qu’un des secrets pour concrétiser ses objectifs, c'est d’en parler. Le fait de le dire, même une fois, même en passant comme ça, c’est un premier pas pour le rendre réel... Une « Bucket-list », vous connaissez ? C’est une liste de choses à faire, lieux à voir, expériences à vivre que l’on veut faire dans sa vie. Un peu comme une grosse liste de tâches avec pour date d’expiration la même que la nôtre. Imaginez qu’un médecin vous dise qu’il vous reste 1 an. Vous voudriez faire quoi ? Il y a tellement de choses à vivre que je ne veux pas attendre d’être face à la mort pour y penser et pour commencer à réaliser mes rêves, réalistes ou pas d'ailleurs. Dans tous les cas, ça devrait m'occuper les 23 prochaines années. Et, si je n’arrive pas à tout réaliser, je profiterai à fond de ce que j’aurai la chance de vivre...
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  1. Faire tous les gros festivals de musique (Coachella, Tomorrowland...)
  2. Vivre avec des moines (c’est chelou, je sais, mais je suis fascinée par leur paix intérieure, je veux ça. Je me raserai pas la tête mais je suis prête à me lever à 4h du mat’, à saluer le soleil, et à rester 2 semaines sans parler.)
  3. Faire le tour du monde... (la Statut de la Liberté, le désert de sel en Bolivie, le Taj Mahal...)
  4. Jouer dans un film (Et si je peux gratter un oscar au passage, je ne dis pas non).
  5. Sauter en parachute...
  6. Épouser Pierre Niney. Épouser un mec bien et le pousser à être la meilleure version de lui-même, jusqu’à ce qu’il ne reste aucune parcelle de son potentiel inexploitée.
  7. Faire du bénévolat dans un village au bout du monde (et construire une école, un puit, un générateur d’électricité… Quelque chose qui changera leur vie et leur permettra de s’émanciper, de vivre mieux et de ne plus être prisonniers des aléas de la nature)
  8. Laisser le monde en meilleur état que celui où je l’ai trouvé (c’est différent de vouloir le sauver. C’est plus réaliste. C’est l’idée d’avoir un impact positif sur les gens qui croiseront mon chemin ou les œuvres que je laisserai derrière moi.) 
  9. Croire, envers et contre tout, à la vie. A ses surprises, à sa beauté, à sa magie.                        
 " Dis, tu y crois toi aussi ? Dis-moi que tu y crois."


jeudi 23 juillet 2015

« Les hommes. Il est aussi difficile de vivre avec, que de s'en passer. »

Je ne sais pas si c'est parce que ma copine célibattante (Laura) s'est enfin trouvée un mec, mais en ce moment j’enchaîne rencard sur rencard... et c'est loin de me déplaire. 

Pour l'instant, je n'ai pas encore fait LA rencontre, mais je me complais à découvrir de nouvelles personnes et à passer de jolies soirées. Ça me fait changer d'air, apprendre des choses et, même s'il ne se passe rien, j'apprécie cette période. Contre toute attente, j'ai accepté une nouvelle soirée en tête-à-tête avec William qui, à ma grande surprise, s'est révélée vraiment bien. Peut-être que j'avais juste besoin de temps ou que ces attentions me font vaciller petit à petit mais en tout cas, je ne veux plus m'arrêter là avec lui. J'ai envie de lui donner une chance car je me mets à ressentir un petit truc en sa présence. Mais... comment savoir si on est vraiment en train de s’attacher ou si c’est juste car on s’intéresse à nous ? Oui, je me rends compte que je ne sais plus dissocier mes sentiments. J’ai l’impression de toujours avoir vécu dans l’erreur, merci à mes idiots d’ex. 

Et maintenant, lorsque je fais la connaissance de quelqu’un je me demande si je m’enflamme, si de réels sentiments sont en train de naître ou si c’est juste temporaire. Je m’attache très facilement ça c’est évident, mais je peux aussi me lasser tout aussi rapidement. Alors comment savoir ? Se lancer et voir au risque de blesser la personne concernée ? Ou attendre que les choses se fassent naturellement ? Depuis Mr. X, seul Antoine avait réellement retenu mon attention. Les autres petits flirts n’ont été que des sortes de distractions dont je me suis facilement détachée et me suis même sentie soulagée. Et maintenant ? Est-ce juste car je n’ai pas trouvé celui qui me ferait vibrer (vu le dernier en date je vibre que pour des cons xD) ou est-ce juste pour me protéger car je n’ai plus envie d’être déçue comme je l’ai été avec tous ces autres auparavant... Je ne sais pas. 

Je sais juste qu’il y a un homme sérieux (bien, gentil, drôle, à l’écoute, etc.), désireux d’avancer et moi qui doute (ou bien qui aies peur…) pour une énième fois …

mercredi 22 juillet 2015

... Sur la route de Madison ...

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« Quand le soleil se reflète sur l'eau du nord-ouest, j'essaie d'imaginer où tu en es dans ta vie, ou ce que tu es en train de faire pendant que je pense à toi. »

« En quatre jours, il m’a donné une vie entière, un univers… »

« Les vieux rêves étaient, malgré tout, de bons rêves. Et, même s’ils ne se sont pas réalisés je suis content de les avoir eus. »

« Dans un univers d’ambiguïtés, ce genre de certitude ne vous est donné qu'une fois, et jamais plus. Quel que soit le nombre de vies qu'on traverse. »
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Ce film m'a bouleversé.

dimanche 19 juillet 2015

« Work hard, be happy, enjoy your life in Wayward Pines. »

Wayward Pines : un mélange de Twin Peaks et de Lost, co-signé par le réalisateur du Sixième Sens.. Il n'en fallait pas plus pour qu'on tienne mon coup de cœur télévisuel de l'été.  

Synopsis : Ethan Burke, l’un des meilleurs agents des Services Secrets du Bureau de Seattle, qui enquête sur la disparition mystérieuse de deux collègues, se réveille dans une ville inconnue après un grave accident de voiture : Wayward Pines. Une petite bourgade avec un hôpital sans patients, un bar qui change de propriétaire d'un jour à l'autre, un sheriff qui adore la glace au rhum-raisin... et tout un tas d'autres bizarreries. A son réveil, ses souvenirs sont intacts mais il réalise qu’il n’a plus aucun moyen d’entrer en contact avec le monde extérieur. Son téléphone, son portefeuille, son argent et sa carte d’identité ont disparu et il commence à prendre conscience que la petite Wayward Pines n’est pas aussi lisse et parfaite qu’il n’y paraît…

Après avoir réussi à s'extirper des griffes d'une infirmière qu'on dirait tout droit sortie d'un film d'horreur, Ethan Burke va croiser le chemin d'une barmaid qui lui suggère que les apparences sont toujours trompeuses. Tandis que ses proches s'inquiètent de sa disparition, Burke essaye désespérément de s'enfuir de Wayward Pines mais, rien à faire, toutes les routes le ramènent au sinistre village... En effet, Wayward Pines n'est pas seulement un lieu tranquille. La ville semble immobile dans le temps, comme vivant à une autre époque, en décalage avec le monde dont Burke est issu.. Dès la fin du pilot, la série mise sur la confusion qu'elle inspire au téléspectateur : Où sommes-nous ? Dans un complot de grande envergure ? Dans un univers d'anticipation ? Dans l'imagination du personnage principal ? Ou dans une version moderne du Truman Show

De questions en questions, on ne cesse de vouloir comprendre ce qu’il se passe et chaque épisode entraîne de nouvelles interrogations qui, nous apporte des réponses éclairées dès l'épisode 5. On a donc là une mini-série de 10 épisodes remplie de mystères qui nous plonge dans un univers inquiétant et qui réussit agréablement à tirer son épingle du jeu... 


jeudi 16 juillet 2015

L'art de casser mon image de fille romantique...

J'ai revu Jordan... ce qui m'a enfin permis de combler... mon manque de sexe (Il faut savoir que, depuis Hugo, il n'y avait absolument rien eu). Attention je parle bien de Jordan, le-cousin-super-sexy-d'Antoine à ne pas confondre avec Jordan T, le-pote-super-relou-d'Antoine... (Bref). 

Il faut savoir que Jordan est beau à mourir, a des tatouages partout, est foutu comme un dieu et son style motard accentue considérablement son coté bad boy... Alors certes, il n'est pas du tout le genre de mec que je recherche à terme, mais - god !- qu'il est sexy... Rappelez-vous, nous avions déjà passé une nuit ensemble au printemps, avant de replonger chacun dans la spirale de nos ex respectifs peu de temps après. Comme prévu, ça n'a pas marché pour l'un comme pour l'autre, et nous avons fini par reprendre contact assez naturellement il y a quelques jours de ça, au cours duquel j'ai carrément eu le droit à un message plus étonnant que réellement sincère : "Depuis qu'on s'est vus chez toi la dernière fois je n'en peux plus car c'est toi, je suis tombé sous ton charme". 

Vous vous en doutez, mon manque d'affection et mon attirance pour lui ont mis une raclée à ma raison et il m'en fallait pas plus pour accepter sa proposition de "passer la soirée chez moi". Nous nous sommes donc posés devant un film d'horreur - propice au rapprochement - histoire de dire que nous n'étions pas là "que" pour ça... Il m'a pourtant fallu moins d'une heure pour que je mette mes bonnes résolutions au placard lorsque j'ai craqué lamentablement, et que j'ai répondu à ses caresses en l'embrassant fougueusement... Oui, je suis faible. Je sais. Mais pour me déculpabiliser de cette petite incartade (qui correspond quand même à l'un des moments les plus hots de ma vie), j'ai donc listé quelques petites raisons me rappelant qu'un coup d'un soir n'a jamais tué personne et que, de temps en temps, c'est même plus que bénéfique... 
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  1. Parce que, même si ce n’est pas lui, il est quand même terriblement attirant #attractionnaturelle
  2. Parce qu’il est important de garder le rythme #sexesourcedepertedecalories
  3. Parce que les autres ne succombent pas aux coups d'un soir mais, en même temps, ils ne couchent pas du tout #nenousmentonspas
  4. Parce que c’est mon destin #ilnefautpascontrariersondestin
  5. Quand t’es resté en jachère bien trop longtemps (3 mois !) tu ne te poses pas trop de questions…#fautbienentretenirlamachine
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    vendredi 10 juillet 2015

    William, (ou la preuve que toute la meilleure volonté du monde ne suffit pas forcément).

    Il y avait ce gars avec qui je discutais depuis plusieurs jours... 

    De longs, très longs messages échangés, un humour à tomber, déjà des petites attentions au travers de ses lignes. Très vite, l'étape du rendez-vous se profile. Date fixée. J'ai peur, bien sûr. Je suis stressée, comme d'habitude. Mais ces longs échanges me rassurent, j'ai l'impression de le connaître déjà. J'ai vu de nombreuses photos de lui : son physique me plaît, ce n'est pas à négliger. Vient le rendez-vous. Au début, un peu intimidés, forcément. Assez rapidement, la conversation se fait, coule d'elle-même. Je ne vois pas le temps passer, je passe une bonne soirée, je l'en assure avant de se quitter. Le petit SMS attendu confirme les impressions échangées.

    Lui, très enthousiaste, moi, davantage dans la retenue, je ne m'avance pas, ne fait que confirmer que, oui, c'était une bonne soirée, oui, je veux te revoir. Le prochain rendez-vous est alors fixé. Et encore une fois, tout se passe vraiment bien. La nuit passe. Et je me découvre alors un sentiment d'oppression... Je tente de comprendre : j'ai donc passé une bonne soirée. Le gars est gentil, il a l'air sérieux, vouloir d'une relation... Je m'observe penser, et je comprends : j'essaye de me convaincre de le revoir. Je n'en ai pas envie, ne pas le revoir m'indiffère, mais bon voilà, le gars est gentil, sérieux, sympa, mignon, bien sous tout rapport, je n'ai rien à lui reprocher... 

    Alors quoi ? Il suffirait de remplir un certain nombre de critères, de cases à cocher pour se lancer ? Ne pas pouvoir refuser car, sur le papier, le gars semble parfait ? J'ai réfléchis, encore, avant d'envoyer le message pour annuler ce troisième rendez-vous. Ce qui manquait, c'était la petite étincelle. Celle qui aurait fait que la question de le revoir ou pas se serait imposée comme une évidence. "Donne lui une chance" me dit ma bonne conscience, ma culpabilité. Mais après ? Attendre qu'un jour, un éventuel déclic se fasse ? "Il est gentil", cette phrase que je me suis répétée signifie qu’accepter de le revoir aurait signifié avoir renoncé. Renoncer à cette étincelle, renoncer à ces papillons que l'on ressent en regardant celui qui nous plaît parler, en se disant, en pensée, comme une évidence "ohlala : il me plaît". J'ai déjà hâte de ressentir ça à nouveau...

    Et c'est en me souvenant le plaisir que l'on a à être dans cet état, que je lui ai fait comprendre que "j'aurais aimé ressentir cette étincelle...".


    Conclusion : Oui, je suis enfin prête à être en couple... mais pas avec n'importe qui.

    mardi 7 juillet 2015

    Mes loupiottes d'amour... ♥

    Avec les filles (Laura & S.), on a une sorte de code selon l'ampleur du naufrage. Blanc : "Je ne suis pas bien, je viens d'apprendre que Pierre Niney allait se marier...". Jaune : "Je suis trop malade, en plus je me sens moche et tout et tout...". Rouge : "Mon mec me quitte / me trompe...".

    Si je mettais à bout tous nos chagrins aux unes et aux autres, ça donnerait un film incroyable avec des tonnes de mouchoirs, des verres d'alcool, de bras tendus et de gros câlins. Des câlins énormes, irremplacables. Des torrents de larmes et des bouées pour se sauver. Bien sur, quand j'ai un mec, je lui raconte mes histoires de famille, mes vieux dossiers, mes tragédies passées. Mais à elles.. je peux dérouler des kilomètres de secrets inavouables, mes pires hontes, mes plus gros fantasmes. Ces filles connaissent le nombre précis de mes ex, la taille de leur appendice et leurs performances, qu'elles soient époustouflantes ou consternantes. Je sais leurs anxiétés, leurs doutes et aussi ce qu'aucun mec ne soupçonne qu'on puisse s'échanger. Car si les hommes pouvaient écouter les conversations des copines entre elles, ils rougiraient instantanément. Leurs oreilles ne sont tout simplement pas adaptées à tant de liberté dans les confidences.

    On se psychanalyse alors les unes les autres, on se conseille en comparant nos expériences, en se projetant dans nos situations respectives. On critique les nouvelles copines de nos ex, les ex-copines de nos mecs. Parler et écouter, c'est notre façon de se dire "je t'aime". Et on s'aime beaucoup, c'est tout. Pas besoin d'être sur nos gardes, de se tenir à carreaux, de boire sans abus, de danser sans hystérie... avec elles, tout est permis et surtout, tout est marrade. Oui, on aime refaire la choré des Las Ketchup, oui, on aime chanter à tue-tête le refrain de "Still loving youuu oouh ouuhouu". Oui, on se tient la porte aux toilettes et les cheveux au-dessus de la cuvette quand il y en a une qui gère moyennement la marée. Oui, on aime rentrer toutes ensemble car, OUI, même à 5h du mat' on a encore des tonnes de trucs à se dire ! Mes choupettes, pour tous les chagrins passés, tous ceux à venir, nos montagnes de secrets qu'on arrive parfois pas à garder plus d'une journée, et nos kilotonnes de marrade dont aucun régime ne pourra jamais nous débarasser, je vous dédie cet article les filles...

    Que dis-je, MES filles. ♥


    dimanche 5 juillet 2015

    • « L’âme humaine puise sa substance dans des expériences inédites... » •

    Il y a des moments rares dans l'existence où une porte s'ouvre et où la vie vous offre une rencontre que vous n'attendiez pas. Celle de l'être complémentaire qui vous accepte tel que vous êtes, qui vous prend dans votre globalité, qui devine et admet vos contradictions, vos peurs, vos ressentiments… et qui les apaise. Celui qui vous tend un miroir dans lequel vous n'avez plus peur de vous regarder. Celui qui vous fait rire en toutes circonstances. Celui qui vous fait découvrir de nouvelles choses et vous pousse au-delà de vos retranchements habituels : participer à des festivals tous plus déments les uns que les autres, expérimenter la vitesse en moto, apprendre à tirer à la carabine, se baigner dans une carrière isolée, aller vers l'inconnu...

    Bob, Axel, Malo, Ragnar, Laura, S., Kevin, Tanguy, Quentin et Ben... des noms qui ont pris un impact considérable dans ma vie ces derniers mois, en plus de mes vengeurs adorés. Des personnes extraordinaires se tiennent désormais à mes côtés, qui aiment le monde dans sa totalitéet qui montrent un sens de l’amitié à toute épreuve. Ça me change tellement de ce dont j’avais l’habitude ! Mais toutes les expériences que j’ai eu dans la vie – les faciles et les difficiles – m’ont conduites là où j’en suis aujourd’hui. Vous ne le savez que trop bien, une vie morne et routinière serait ennuyeuse pour moi, et… la mienne est tout sauf ça. Grace à eux. J’ai foi dans le fait que je suis enfin entourée des bonnes personnes et que rien n’arrive par hasard. J’ai foi en l’aventure magnifique qu’est la vie. Alors merci à vous, mes très chers, pour tous ces merveilleux moments. Je vous aime de tout mon cœur et bien plus encore...

    « Et avec eux, je comprends tout : que le temps n’existe pas, que la vie est notre seul bien, qu’il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés… et que l’essentiel nous échappera toujours. »